Bonjour,
Le mois de mars s’inscrit dans la continuité de celui de février avec des indices qui surperforment (au-delà des attentes), et ce, malgré les annonces de durcissement des mesures sanitaires dans plusieurs pays.
Le marché semble être plus fort que la propagation du virus… La hausse du mois s’expliquerait grâce à l’accélération de la vaccination qui laisse entrevoir un futur proche optimiste. Également grâce aux différentes annonces de la FED et de la BCE de maintenir leurs taux directeurs stables.
Aux Etats-Unis, l’acceptation du plan de relance économique de Biden à hauteur de 1900 milliards d’euros explique la hausse des indices d’actions américaines. L’accélération des livraisons de vaccins, et la reprise économique qui s’en suivra (selon les dernières évaluations) compensent l’inquiétude sur la résurgence des infections. Joe Biden a d’ailleurs doublé son objectif de 100 millions de vaccinations pour la fin avril. La politique vaccinale redonne aussi de l’espoir à la bourse américaine.
Résultat du mois de mars : un CAC 40 à 6 067.23 au 31/03/2021, soit une hausse sur le mois de +6.38% ! L’Euro Stoxx Select Dividend 30 frôle les +10% sur le mois de mars. Ce qui permet de rattraper un début d’année compliqué (cf. performances janvier 2021) et de continuer dans la lancée du mois de février (cf. performances février 2021).
g

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 5.42% !
g

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de 4.79% ! Notamment avec l’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% Index qui connait une hausse de + 7.27% !
g

Les indices ISR sont également en hausse sur la période de Mars avec une moyenne des performances de +6.19% !
g

La période de Mars a donc été le théâtre d’une forte hausse sur l’ensemble des indices.
Les nouveaux confinements annoncés à travers le monde auront-ils un impact sur les mois à venir ?
… Affaire à suivre…
Retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST.
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.

Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
f
Alex Cresswell, anciennement du GCHQ (l’équivalent britannique de la NSA) estime que « les entreprises européennes ont des cyberdéfenses moins robustes qu’aux États-Unis », et qu’en 2021, une vague d’attaques en Europe pourrait remplacer la perte de revenus cybercriminels aux États-Unis. |
f
Un risque grandissant
En effet, l’incidence et la gravité des attaques de ransomwares et de cyber extorsion en Europe continentale ont fortement augmenté au quatrième trimestre 2020 et au premier trimestre 2021. Et d’après les analystes, près d’une vingtaine de groupes criminels utilisent la cybercriminalité pour infliger de graves pertes commerciales aux entreprises américaines du secteur privé – les membres opérant généralement depuis la Russie, la Biélorussie et l’Ukraine, et formant une « industrie » très rentable. Il est vrai que les acteurs type Microsoft, AWS, Apple et Google emploient plus de 20 000 personnes dans le domaine de la sécurité numérique car ils connaissent bien les enjeux et l’impact potentiel sur leurs clients. L’Europe – quant à elle – n’ayant pas été autant attaquée, n’a malheureusement pas encore investi les moyens nécessaires pour faire face à ce type de menaces, et se trouve donc en situation de grande vulnérabilité. Avec de plus en plus de gens connectés à un ordinateur, un téléphone ou une tablette, les pirates peuvent multiplier les tentatives d’infections pour soutirer de l’argent et des données personnelles. |
f
Vers une stratégie nationale
Consciente des risques grandissants – et afin de mettre en place une stratégie nationale pour la cybersécurité – l’État s’est récemment engagé à investir jusqu’à 20 millions d’euros pour cofinancer (à hauteur de 50 % maximum) au moins trois projets destinés à accentuer notamment la cybersécurité des collectivités territoriales, des établissements de santé et des infrastructures portuaires. Il était temps ! Car le nombre d’attaques a fortement augmenté ces dernières années… Et particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19 et des périodes de confinement – celles-ci ayant accéléré l’interconnexion des vies privées et professionnelles des individus, et ainsi fait croître le risque de compromission des données des entreprises et des organismes publics. Pour exemple, en 2020, pas moins de 159 collectivités locales ont officiellement été victimes de cyberattaques – soit une hausse de 50 % par rapport à 2019. Et plus récemment, plusieurs mairies, mais aussi des hôpitaux ont été victimes d’attaques en ligne. Selon le FBI, la France serait même le huitième pays le plus touché au niveau mondial… |
f
Des acteurs essentiels
C’est un fait, les entités publiques et privées peuvent renforcer leur cybersécurité un minimum en suivant un processus simple : sensibiliser le personnel sur les risques d’attaques cyber, renforcer les mots de passe et effectuer les mises à jour de sécurité. Au-delà de ces mesures de prévention, certains acteurs majeurs du domaine, type FireEye, CheckPoint, Cisco et autres, sont des valeurs sûres dans le développement et la gestion de la cybersécurité. |
f
CISCO – Date de création : 1984 – NASDAQ Cisco Systems est une entreprise informatique américaine spécialisée, à l’origine, dans le matériel réseau (routeurs et commutateurs ethernet), et depuis 2009 dans les serveurs. L’entreprise n’est pas exclusivement spécialisée dans la cybersécurité, elle propose parallèlement d’autres produits et services informatiques, mais un futur brillant l’attend dans le domaine de la cybersécurité. Le portefeuille varié de produits et services informatiques de Cisco lui confère un immense avantage sur les entreprises qui travaillent uniquement dans ce domaine. Outre sa stabilité financière, voici deux arguments qui donnent de bonnes perspectives à l’action : – La première est que Cisco a racheté en février 2020 l’équipementier australien Exablaze, spécialisé dans la fabrication des périphériques réseau. – La seconde raison d’un tel optimisme vis-à-vis de cette action est le lancement de la puce Silicone One par Cisco en décembre 2019. Selon Cisco, cette puce est déjà utilisée par des géants de l’informatique, tels que Facebook et Microsoft. La puce permet aux entreprises de s’améliorer considérablement en matière de gestion des données. |
f
CHECK POINT SOFTWARE (CHKP) – Date de création : 1993 – NASDAQ Cette entreprise de tech israélienne cotée au NASDAQ fournit des logiciels et du matériel de cybersécurité. Son revenu annuel de plus de 1 milliard de dollars fait de Check Point l’une des actions les plus prometteuses du secteur de la cybersécurité en 2020. Les lancements de produits et les rachats de l’entreprise ont stimulé la réussite de Check Point ces dernières années. Cela lui offre une place de choix au sein d’un marché qui continue de croître à toute allure. Protego, une entreprise de cybersécurité sans serveur, fait partie de ses rachats les plus importants. Les différents rachats ont aidé Check Point à sortir des solutions et services de cybersécurité de haute qualité, ce qui l’a poussée à continuer sur sa lancée. |
f
FIREEYE (FEYE) – Date de création : 2004 – NASDAQ Située en Californie, cette entreprise fondée il y a 15 ans propose des logiciels et du matériel de cybersécurité. Ses produits et services aident ses clients à analyser les risques liés à l’informatique et à se protéger contre les logiciels malveillants. Grâce à ses produits et services, ses rachats et ses partenariats, FireEye fait partie des meilleures actions en matière de cybersécurité sur le marché. En 2013, FireEye a racheté Mandiant. Cette importante opération lui a permis de donner à ses clients la possibilité de repérer des violations de sécurité et d’accroître ses ventes. Ses produits cloud ont été lancées en 2019 sur Amazon Web Services et joueront un rôle dans l’augmentation des revenus de FireEye. |
f
Nos propositions

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
v
f
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Bonne lecture et à bientôt !
v
v
L’équipe EAVEST
La situation économique et notamment la crainte que le plan de relance américain n’entraîne une vague d’inflation ont engendré une hausse des taux d’intérêts sur les marchés financiers. Les investisseurs exigent en effet des rendements plus importants pour faire face au risque de dérapage des prix à la consommation. |

(Données du 24/02/21)
En Allemagne et en France, les taux à 10 ans sont remontés de plus de 20 points de base. Les taux allemands de référence à 10 ans, eux, sont toujours négatifs à -0,35 %, mais à très long terme (30 ans), ils sont redevenus positifs. |


(Données du 24/02/21)
Dans les faits : La crainte se situe principalement au niveau des Etats et des entreprises avec un endettement très élevé, puisqu’en effet une remontée trop rapide des taux pourrait avoir un effet fortement déstabilisateur et entraîner des ajustements de positions assez brutaux. Cet impact se situerait donc également sur la nouvelle dette ainsi que sur les anciens emprunts refinancés. Pour ce qui est des autres sujets de préoccupation, la hausse des taux étant essentiellement due à la remontée des anticipations d’inflation, le risque est davantage celui d’un épisode de correction temporaire que celui d’un véritable krach obligataire à court terme. Et à moyen terme, que l’inflation soit simplement plus élevée qu’aujourd’hui – les banques centrales étant là à coup sûr pour endiguer la hausse s’il y avait une progression trop brutale. Partant de ces éléments, il est à envisager que les taux bas sont là pour longtemps – d’autant que la BCE comme la Réserve Fédérale américaine continuent à racheter les obligations d’Etat sur les marchés et contrôlent donc – en partie au moins – les taux d’intérêt. A noter également ces indicateurs qui confortent la tendance : les inégalités persistantes et le vieillissement de la population mondiale qui poussent l’épargne à la hausse alors que la moindre importance de l’industrie tire les investissements à la baisse. Il est même à envisager que si ce phénomène était appelé à durer, cela pourrait impliquer que même une dette élevée pourrait être compatible avec un déficit primaire. Aussi, si les taux d’intérêt remontaient parce que les investisseurs pensent que la croissance – et donc aussi l’inflation – va grimper, alors cela pourrait bien être paradoxalement une bonne nouvelle pour la soutenabilité de la dette publique. |
v
Notre proposition :
v

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
* Le produit est exposé à la dette subordonnée Generali
** Le produit est rappelé par anticipation dès que la somme des coupons touchés (coupons garantis inclus) est égale à 4.90%
CMS = Constant Maturity Swap
v
v
L’équipe EAVEST
Vous accompagner et faciliter vos échanges avec vos clients, c’est aussi ça notre métier ! Notre objectif : rendre votre gestion la plus simple et la plus efficace possible ! |
v
v
v
L’équipe EAVEST

Le repli de l’activité au quatrième trimestre de 2020, du fait du deuxième confinement, puis du couvre-feu, s’est avéré moins marqué qu’anticipé (-1,3%, après +18,5% au 3ème trimestre), portant la récession pour l’ensemble de l’année à -8,3% par rapport à 2019 (contre 9% initialement anticipés). Dans sa première estimation, l’INSEE note que le confinement, moins strict de fin d’année, a fait la différence : le PIB se contracte de 5% au 4ème trimestre par rapport au 4ème trimestre 2019, alors que la contraction annuelle du Printemps avait été de -18,8%, par rapport à la même période de l’année précédente. En 2020, la production de biens s’est contractée de 11,2%, la construction a baissé de 13,2%, l’activité des services marchands s’est repliée de 8,2%, celle des services non marchands de 3,1%. La consommation des ménages a baissé de 7,1% (après+1,5% en 2019), l’investissement recule de 9,8% en 2020, contre +4,3% en 2019), le commerce extérieur est en baisse de 1,5% après -0,3% en 2019. |

Ces données annuelles, ne rendent pas tout à fait compte des tendances trimestrielles, qui ont été extraordinairement bousculées. Comme le montre le graphique ci-dessus – par rapport à l’année précédente – l’effondrement de l’activité, particulièrement marqué au cours du 1er confinement, a en partie été compensé par le formidable rebond de l’été. Le PIB a reculé de 5,9% puis 13,6% au premier et deuxième trimestre (par rapport au trimestre précédent). La reprise de l’activité au 3ème trimestre a été de 13,6%, pour se contracter de 1,35% en fin d’année (en glissement trimestriel). Au total l’économie française s’est affaiblie de 5% par rapport à 2019. |
2021, au bout du vaccin, la reprise…
En France comme chez la plupart de ses partenaires économiques, le rebond de l’activité reste conditionné à la baisse des contaminations. La vitesse de déploiement des vaccins devient donc l’enjeu crucial de ce début d’année. En attendant, la persistance de la pandémie et des mesures restrictives d’activité, les perspectives de rebond de l’activité pour 2021 ont été revues en baisse. La Banque de France table désormais sur une croissance totale de 5% cette année (contre plus de 6% précédemment). L’indice de confiance des directeurs d’achats (ci-dessous) marque le pas dans les services, qui signalent toujours une contraction de l’activité dans ce secteur. En revanche, on peut noter que la production industrielle résiste et continue de progresser, une tendance que l’on retrouve dans les indicateurs mondiaux. |

Comme pour d’autres pays, et comme le montre le graphique ci-dessous, les services ont été particulièrement touchés en France – le tourisme représente 8% du PIB – tandis que le secteur manufacturier résistait mieux – à l’exception de l’aéronautique.
Les mesures budgétaires mises en œuvre ont permis de préserver en grande partie les revenus des ménages : le revenu disponible brut des ménages aurait progressé de 0,5% sur les trois premiers trimestres de l’année 2020, soit un pouvoir d’achat stable. Cette moyenne de rend pas tout à fait compte des disparités de revenus, les quintiles les plus modestes ayant vu leurs revenus baisser, comme certaines professions indépendantes directement touchées par l’arrêt de leurs activités.
Au total les ménages ont accumulé une importante épargne (le surplus est estimé par la Banque de France à 130 milliards d’euros pour 2020), une tendance qui pourrait se poursuivre cette année (bien que dans une moindre mesure). Du côté des entreprises, le taux de marge s’établit en moyenne à 28,8% sur les trois premiers trimestres de l’année passée, contre 33,2 en 2019. Sans surprise, les taux d’épargne et d’autofinancement ont reculé, tandis que l’endettement a progressé grâce notamment à la mise en place des PGE (prêts garantis par l’Etat).
Ainsi, en 2020 le déficit public français s’est envolé à 178 milliards d’euros contre 93 milliards initialement prévus, ce qui le portera à 10,2% du PIB et la dette à 116,4% (contre 3% et 98,1% respectivement en 2019). L’Etat a joué un rôle majeur dans l’absorption du choc provoqué par la « mise sous cloche » de l’économie. La prolongation des mesures d’urgence et de soutien économique aux secteurs encore à l’arrêt, laisse présager du maintien d’un déficit public au-delà de 6% du PIB cette année (graphique ci-dessous), compensé seulement par les effets de la reprise de l’activité. Dans ce contexte, et nonobstant les financements attendus du plan de relance européen (40 milliards d’euros), la France reporte au-delà de 2022 la normalisation budgétaire que les marchés pourraient commencer à lui réclamer.

Plusieurs interrogations demeurent pour cette année : comme le montre le graphique ci-dessous, les faillites des petites et moyennes entreprises ont fortement reculé en 2020, ce qui ne cadre pas avec l’état de la conjoncture et laisse augurer de défaillances à venir au moment de la reprise de l’activité et du retrait des aides publiques. Ceci fait craindre une augmentation supplémentaire du chômage – notamment dans les secteurs des services et des emplois les plus précaires. Ces tendances sont propices à un maintien de l’épargne à des niveaux supérieurs à ce qu’ils étaient en 2019 (actuellement autour de 20% contre 14,9% fin 2019).

2021, le pivot asiatique
Au total, et comme le souligne le FMI dans sa dernière note, l’économie française a particulièrement souffert de la pandémie (graphique ci-dessous). Cependant, et comme l’a montré la reprise au cours de l’été, une fois libérées, les forces vives sont en capacité de produire et de rebondir. Soulignons-le, le choc actuel, n’est comparable ni à une crise économique classique, telle celle de 2008 ou de 1929 (pas d’effondrement durable de l’activité à la suite de l’éclatement d’une bulle de la dette), ni à une guerre (pas de destruction du capital). Elle en revêt néanmoins certains traits : dans le premier cas, le choc extérieur est tel qu’il pourrait se transformer en crise économique et financière, ce que craignaient les Banques Centrales et les Etats, qui sont intervenus massivement pour contrebalancer les effets des confinements. Dans le second, la pandémie et le confinement marquent l’accélération de tendances déjà à l’œuvre – digitalisation, robotisation, réorganisation des chaînes de valeur, avec ou sans guerre commerciale à la clé.

Rappelons également que la pandémie de la Covid-19 a frappé nos économies en « bout de course » d’un cycle de reprise certes modeste, mais particulièrement long, et qui marquait déjà le pas depuis 2018.
Le monde a été soumis à un choc d’offre et de demande quasiment synchrone. Le redressement rapide de la Chine, la reprise de l’activité autour du bassin Pacifique, ont accentué les tendances déjà en place qui voient le monde pivoter vers l’Asie. La signature en fin d’année dernière d’un vaste accord commercial dit RCEP[1], réunissant l’ASEAN, la Chine, le Japon, la Corée du Sud, l’Australie et la Nouvelle Zélande, constitue une zone économique qui représente 30% de la population et du commerce mondial, et ¼ de son PIB.

Pour l’ensemble du monde, le FMI dans sa publication de janvier, table toujours sur un rebond marqué de la croissance mondiale en 2021. Notre tableau de prévisions rend compte de ces perspectives. Celles-ci sont légèrement inférieures aux prévisions du Fonds, car nous prenons en compte les obstacles du début d’année qui risquent de peser sur les prochains mois et reportent encore la reprise, alors que l’immunité collective pourrait être atteinte en fin d’année seulement (et non à l’été) en Europe.
Dans l’ensemble, les perspectives pour 2021, se fondent sur un rebond d’autant plus marqué – et supérieur aux potentiels – qu’ils se compareront aux effondrements de 2020 (amplification de l’effet de base). Ces comparaisons annuelles risquent d’amplifier, sinon déformer, la perception de la reprise, dans la plupart des pays. Il n’est pas certain que tous les pays auront retrouvé leur niveau d’activité d’avant-crise d’ici la fin de l’année. Les secteurs tels que l’aviation civile, ou encore le tourisme ne prévoit de « retour à la normale » que pour 2023 voire 2024.
Notons les points suivants :
– Les scénarios économiques reposent tous sur une maîtrise largement acquise et générale de la pandémie d’ici la fin de l’année.
– Si le choc initial a été quasiment simultané, la récession est d’intensité diverse suivant les pays, et l’Europe a été particulièrement touchée. De plus, elle a accéléré le creusement des inégalités, touchant plus particulièrement les emplois précaires, les services – où le travail féminin est majoritaire – et a renvoyé des centaines de millions de personnes dans l’extrême pauvreté dans les pays émergents.
– La reprise pourrait s’avérer plus erratique et dispersée, et provoquer des tensions sociales et politiques dans certaines régions. – La Chine pourrait avoir retrouvé son niveau d’avant-crise dès cette année. Les Etats-Unis, malgré un bilan humain extrêmement lourd, ont bénéficié d’un plan de soutien important au printemps, puis d’un second plan d’aide à la toute fin de l’année, qui ont permis de limiter la crise, tandis que l’activité industrielle restait vigoureuse. Le Président Joe Biden entend faire adopter un nouveau plan de soutien de 1900 milliards de dollars. Même réduit, il est largement dirigé vers les ménages, et devrait soutenir la consommation au printemps et à l’été.
– Mais surtout l’investissement des entreprises et la production ont bénéficié des baisses de stocks et du rebond de la demande pour les biens de consommation et de l’accélération de la transformation vers la voiture électrique (graphique ci-dessous).
– Le pivot asiatique se confirme, contribution de la Chine et de l’Asie à la croissance mondiale dépasse les 2/3 de la croissance globale.
– Les tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis devraient se poursuivre, voire s’intensifier, l’Administration Biden par la voix de sa nouvelle Secrétaire d’Etat au Trésor, Janet Yellen ayant directement mis en cause les pratiques commerciales de l’Empire du Milieu et les violations des droits humains. En réponse, le Président Xi Jinping a évoqué le risque d’une « nouvelle guerre froide », et la partition du monde technologique et commercial. L’Amérique, qui entend renouer avec ses alliés traditionnels en serait le fer de lance.
– La reprise et la forte demande de produits spécifiques tels que les microprocesseurs, créent des tensions sur les prix des matières premières comme de certaines fournitures. La recomposition des chaînes de valeurs pourrait accroître ces tensions.
– Faut-il pour autant craindre le retour de l’inflation ? Les Banques Centrales, considèrent qu’en l’état actuel, ces tensions seraient temporaires au regard de l’écart négatif entre croissance constatée et la croissance potentielle. Aussi, s’engagent-elles à maintenir des politiques monétaires très accommodantes pour cette année.
– A mesure que l’activité repart, les Etats – notamment en Europe – devraient réduire progressivement leurs mesures économiques de soutien. L’Europe a décidé et commencera à répartir entre ses membres, les 750 milliards d’euros du plan de relance économique qui doit accompagner les efforts de redressement et de transition de l’économie en faveur du climat.
– La France, qui a rejoint le « club » des pays endettés au-delà des 100% du PIB, bénéficie toujours de taux d’intérêt d’emprunt négatifs. Le poids de la dette sans envisager de réductions progressives des dépenses ne sera pas stabilisé à court terme.

Valérie Plagnol X EAVEST
Propositions :

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Après un mois de Janvier particulièrement négatif, le mois de Février en est le contraire parfait. Le marché est en hausse ce mois-ci grâce à l’accélération de la vaccination et au plan de relance économique aux Etats-Unis. Ces indices reflètent la reprise économique espérée dans les prochains mois.
En outre, la saison des résultats des entreprises se poursuit avec de bonnes surprises des deux côtés de l’Atlantique ; aux États-Unis, le secteur de la technologie se distingue, démontrant ainsi la capacité d’adaptation à cette crise sanitaire. Le mois de mars a démarré fortement avec une hausse immédiate de la grande majorité des indices.
Résultat du mois de Février, un CAC 40 à 5 703.22 au 26/02/2021 soit une hausse sur le mois de +5.63% ! Ce qui permet de rattraper un début d’année compliqué (cf. performances Janvier 2021)

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 3.79% !

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive + 4.37% ! Notamment avec l’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% qui connait une hausse de + 16.46% !
Nous avons ajouté à notre liste de suivi deux nouveaux indices thématiques de Morgan Stanley :
L’indice Solactive Top 50 France Germany Benelux EW 5% composé des 20 plus grandes capitalisations Françaises, des 20 plus grandes capitalisations Allemandes et les 10 plus grandes capitalisations du Benelux. (A noter : ABinBev, Adidas, Heineken, Total, AXA…).
L’indice iStoxx Global Fintech 30 NR Decrement 5% EUR composé des 30 plus grandes capitalisations du secteur fintech (A noter : PayPal, Visa, Mastercard, Moody’s, Nasdaq, S&P Global…).

Les indices ISR sont également en hausse sur la période de Février avec une moyenne des performances de +3.01% !

La période de Février a donc connu une forte hausse sur l’ensemble des indices et la situation est prometteuse pour les mois à venir.
Retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST.
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.

Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Bonjour,
Le premier mois de l’année 2021 revire en territoire négatif après un mois de décembre 2020 avec des indices en hausse. Le marché parisien a laissé la place au doute à l’idée d’un potentiel re confinement. La nervosité du marché reste palpable due à l’incertitude des mesures que le gouvernement prendra au cours du mois de février.
La volatilité du marché est restée stable au cours du mois janvier avec un pic en fin de mois. Cela est dû à la guerre qui fait rage entre particuliers et hedge funds. A l’origine de cette progression, des groupes de boursicoteurs individuels. En se retrouvant sur des forums pour échanger des idées ou des revendications, ils sont parvenus à faire envoler le cours de l’action Gamestop et faire de l’ombre à certains hedge funds.
Résultat du mois de janvier, un CAC 40 à 5 399.21 points au 29/01/2021 soit une baisse sur le mois de -2.74%

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -2.39%.

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle négative (-1.21%).
Nous avons ajouté à notre liste de suivi 4 nouveaux indices thématiques de BNP Paribas :
L’indice Solactive Home Staying Technologies 2020 AR 5% composé des dix entreprises leader mondiales du secteur de la tech et du divertissement (A noter : Amazon, Facebook, Netflix, Twitter, Alphabet, Alibaba …). L’indice est en hausse de +45.09% sur l’année 2020.
L’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% composé des 10 plus grandes banques américaines et européennes (A noter : Bank of America, Citi Group, JP Morgan, UBS, BNP…). L’indice abandonne -1.31% sur le mois de janvier.
L’indice Solactive Europe & US Top Pharmaceuticals 2020 AR 5% composé des dix plus grandes entreprises américaines et européennes du secteur de la santé. (A noter : Astra Zeneca, Johnson & Johnson, Novartis, Pfizer, Sanofi …). L’indice est en baisse de -0.39% sur le premier mois de l’année.
L’indice Nasdaq Yewno Global Innovative composé des 100 plus grandes entreprises leader mondiales du secteur de l’innovation techno. Il s’agit du seul indice en hausse sur le mois de Janvier avec une performance de +0.81%.

Les indices ISR sont également en baisse sur la période du premier mois de l’année avec moyenne des performances de -2.02%

Retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST.
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.

Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
A peine élu, Joe Biden a annoncé qu’il ne comptait pas revenir pour le moment sur les termes de l’accord signé par son prédécesseur avec la Chine.
Il est établi qu’à ce moment critique où le monde est aux prises avec une crise sanitaire mondiale – dont les retombées économiques se font et se feront durement sentir – il est plutôt de bon augure de ménager les relations sino-américaines, voire que chacun revoit sérieusement sa copie ! Durant son mandat, l’administration Trump aura fait de son mieux pour anéantir les relations bilatérales des deux plus grandes puissances du monde. Il était donc temps qu’une nouvelle équipe vole au secours de ces dernières pour tenter de désamorcer les tensions – même si une baisse des droits de douanes n’est pas encore à l’ordre du jour… |
La nouvelle donne
Partout à travers le monde, le volume des investissements s’effondre – partout sauf en Chine et en Inde. En effet, ces deux pays ont enregistré une hausse des investissements étrangers sur leurs territoires respectifs en 2020. Et ce sont surtout les industries de haute technologie et le secteur des produits pharmaceutiques qui ont attiré les fonds.
Parallèlement à cela, de nombreuses sociétés se sont positionnées pour profiter des liquidités abondantes, de valorisations élevées et / ou prendre leur distance avec Wall Street. De fait, les actions technologiques se sont envolées à la Bourse de Hong Kong, tirées notamment par l’action Tencent. Et avec le projet de loi voté par le Congrès Américain en décembre dernier bloquant l’accès à la Bourse américaine pour les entreprises chinoises peu transparentes sur leurs audits financiers – puis les annonces de la Bourse de New York sur son intention de retirer de la cote les trois géants chinois des télécoms (China Mobile, China Telecom et China Unicom) – la place de Hong-Kong profite maintenant d’une situation propice à son évolution. Pour preuve, les Bourses de Chine continentale (Shanghai et Shenzhen) et de Hong Kong ont connu en 2020 leur meilleure année depuis dix ans en termes d’introduction en Bourse, levant au total 119 milliards de dollars, soit environ 45 % du total mondial. Les autorités de Pékin – qui cherchaient depuis longtemps à garder en Chine ses pépites technologiques – se réjouissent de cette opportunité. |
L’inévitable compromis
Le deal commercial Chine – US – qui était déjà jugé totalement irréaliste avant même que la pandémie ne vienne pénaliser fortement les flux commerciaux – n’a bien entendu pas tenu ses promesses.
Cependant, l’administration de Biden devrait revoir la qualité de ses relations avec la Chine. Historiquement, les deux parties avaient décidé dans les années 1970 de reconnaître et de respecter leurs systèmes politiques et sociaux respectifs, et, malgré leurs différences, elles avaient adopté une attitude faite de compréhension mutuelle et cherché à élargir leur terrain d’entente – que ce soit sur la scène politique ou économique. Il est indéniable que la coopération mutuellement avantageuse au fil des ans a véritablement servi leurs intérêts et ceux de leurs peuples – et même s’il n’est pas aisé de gérer les enjeux de la concurrence, la responsabilité et les intérêts nombreux de part et d’autre appellent à la restauration d’une collaboration serrée. Face à cette pandémie dévastatrice de la Covid-19 (et des potentiels coronavirus qui pourraient voir le jour dans les temps à venir), aux terribles difficultés économiques au niveau international, et à l’aggravation du changement climatique, les deux plus grandes économies du monde ont aujourd’hui – plus que jamais – tout intérêt à se remettre en rang face à l’avenir ! |
Propositions
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
d
La crise économique liée à la pandémie de Covid-19 n’a rien à voir avec la grande crise financière de 2008 et les études montrent que le retour à un niveau de PIB pré-crise devrait être beaucoup plus rapide. En effet, aux États-Unis, il aura fallu 13 trimestres pour que le PIB retrouve son niveau d’avant choc lors de la grande crise financière de 2008 et on estime qu’il en faudrait seulement 4 aujourd’hui pour qu’il retrouve son niveau du quatrième trimestre 2019. Et concernant la zone euro, il en faudrait 9 contre 22 précédemment. En 2020, le choc de consommation a donc été extrêmement brutal à cause des fermetures administratives et des restrictions aux frontières, et le secteur des services a été le plus touché. Cependant, les exportations mondiales de biens ont plutôt bien résisté, principalement grâce au rebond des ventes chinoises et d’Amérique latine. Avec le soutien des plans de relance massifs et selon les perspectives, un redémarrage rapide en Asie et aux États-Unis est donc à envisager. |
d
Vers un regain d’activité du commerce
Le commerce a été beaucoup plus résilient qu’anticipé, et contrairement à 2008, la chute d’activité n’a pas été synchronisée à travers le monde mais a plutôt suivi la pandémie de Covid-19. L’Asie a alors été la première touchée, ensuite l’Europe, les États-Unis et l’Amérique latine. La chute des échanges de biens mondiaux a été plus brutale qu’en 2008, cependant le rebond apparaît comme plus rapide – d’autant que la forte réactivité des banques centrales a permis d’éviter un effondrement des financements à l’exportation.
La généralisation du port du masque, l’application des règles d’hygiène et le lancement de la campagne internationale de vaccination devraient également soutenir la reprise de la consommation au niveau mondial.
d
Un changement d’ère monétaire et des effets durables
L’arrêt de pans entiers de l’activité économique a engendré un recul historique de l’inflation, par conséquent les taux d’intérêt de court terme devraient rester bas pour quelques temps.
Aux Etats-Unis, les anticipations d’inflation ont déjà engagé un mouvement à la hausse… aussi l’inflation tant attendue pourrait, cette fois-ci, bien accélérer !
Mais ces modèles d’épidémie invitent à appréhender des conséquences majeures sur le long terme : changements de comportement des consommateurs, diminution de l’offre de travail, modification de la notation relative des pays. Des modifications structurelles en découleront et il conviendra de s’y adapter.
d
Des impacts sectoriels et des effets sur la dette publique
Les fermetures administratives et le confinement ont touché plus particulièrement les secteurs du loisir, de la culture et des voyages.
Toutefois, la diffusion généralisée d’un vaccin efficace permettrait une reprise de ces activités sur le moyen-terme. Le développement du télétravail et des échanges virtuels a mis sous tension les infrastructures informatiques et les entreprises ont donc investi dans ces domaines – ce qui devrait par ailleurs engendrer un accroissement de la productivité.
Malgré les plans de relance massifs des gouvernements, les mesures de confinement et de restrictions aux frontières ont entraîné une chute du PIB, aussi le ratio de la dette publique et du PIB a augmenté significativement. Toutefois, une fois les mesures restrictives levées, la rapidité du rebond devrait être de nature à limiter la progression de ce ratio. Le stock de dettes – même conséquent – pourra donc être refinancé à maturité si besoin.
d
Et le Brexit dans tout ça
La crise économique liée à la pandémie de Covid-19 n’a rien à voir avec la grande crise financière de 2008 et les études montrent que le retour à un niveau de PIB pré-crise devrait être beaucoup plus rapide.
En effet, aux États-Unis, il aura fallu 13 trimestres pour que le PIB retrouve son niveau d’avant choc lors de la grande crise financière de 2008 et on estime qu’il en faudrait seulement 4 aujourd’hui pour qu’il retrouve son niveau du quatrième trimestre 2019. Et concernant la zone euro, il en faudrait 9 contre 22 précédemment.
En 2020, le choc de consommation a donc été extrêmement brutal à cause des fermetures administratives et des restrictions aux frontières, et le secteur des services a été le plus touché. Cependant, les exportations mondiales de biens ont plutôt bien résisté, principalement grâce au rebond des ventes chinoises et d’Amérique latine.
Avec le soutien des plans de relance massifs et selon les perspectives, un redémarrage rapide en Asie et aux États-Unis est donc à envisager.
s
Propositions

s
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Nous vous souhaitons à tous une belle et heureuse année 2021 !
Le CAC 40 a connu des hauts et des bas, en baisse de plus de 2.000 points en mars 2020 avant de remonter de presque autant au cours des mois suivants.
Finalement, l’indice de la place parisienne a terminé l’année 2020 en recul de -7,14%, sa quatrième baisse en dix ans. Entre le 19 février et le 18 mars, le CAC a perdu 2.356 points, soit une baisse de plus de 38 %. Il a même perdu -17,21 % sur le seul mois de mars, avec l’ensemble des 40 valeurs de l’indice dans le rouge.
La vitesse de la reprise a été tout aussi impressionnante. L’intervention massive des banques centrales, FED et BCE, a entraîné un rebond quasiment aussi important que la chute. Avant même la fin mars, le CAC 40 s’est repris de plus de 20 % par rapport à son point le plus bas !
La fin de l’année 2020 a été tout aussi animée, mais à la hausse, cette fois. En novembre, le CAC 40 a effectué sa plus forte progression mensuelle des trois dernières décennies, +20.12 %, porté par de premières annonces sur l’efficacité des vaccins contre la Covid-19 et le résultat des élections américaines. (Pour plus d’informations, voir perf. Novembre 2020).
Les secteurs du luxe et la tech figurent parmi les plus fortes progressions de l’année 2020.
Hermès a signé la meilleure performance du CAC 40 (+32%), devant Schneider Electric (+29.30%), STMicroelectronics (+26.30%), Worldline (+24.80%) et Téléperformance (+25.30%).
Les géants du luxe ont également terminé l’année en hausse, que ce soit LVMH (+23.40%), L’Oréal (+17.70%).
Avec Hermès, leur poids dans l’indice dépasse désormais les 33%, contre 27% au début de l’année.
Le secteur bancaire est pris de faiblesse, l’attractivité du secteur étant impacté par les restrictions imposées par la BCE en termes de dividendes. Les trois banques du CAC 40 ont compté parmi les pires performances de l’indice, -18,40% pour BNP Paribas, -20.20% pour le Crédit Agricole et -45.20% pour la Société Générale. Le secteur bancaire risque de rester sous pression à l’avenir.
Résultat, un CAC 40 à 5 551,41 au 31/12/2020 soit une hausse sur le mois de +0,60% et une baisse depuis le début de l’année de -7,14% !
Parmi les indices sponsorisés, la majorité sont restés stable avec une moyenne mensuelle des performances de +0,80%.
L’indice sponsorisé par BNP Paribas, Solactive Eurozone 50 EW 5% AR a performé le plus dans sa catégorie : +1,52%.
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle positive (+1,71%).
L’indice de BNP Paribas, iSTOXX® Europe Centenary Select 30 performe le plus sur le mois de décembre 2020 (+3.00%).
Les indices ISR sont quant à eux restés flat sur la période de décembre avec moyenne des performances de +0.88%
L’indice de Natixis, Euronext® Climate Objective 50 EWD est l’indice qui performe le plus sur cette période : +2,05%.
Cette longue année 2020 s’achève comme elle avait commencé : « les marchés ont décidé de prendre la voix de l’optimisme », justifié par la remontée des indices au cours des dernières séances, les déconfinements un peu partout dans le monde et la reprise de l’activité économique.
Accompagné des campagnes de vaccinations en cours, 2021 devrait laisser place à l’optimisme…
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Le 31 décembre 2020, les Britanniques devraient cesser d’appliquer les normes européennes.
Mais comme les parlements respectifs doivent d’abord ratifier l’accord – et compte tenu des points qui restent en litige – il a finalement été décidé de poursuivre les discussions.
En effet, depuis quatre ans et demi, Londres cherche à mener la négociation pour diviser le camp européen et tenter d’obtenir des arrangements lui permettant de retrouver sa souveraineté pleine et entière – tout en maintenant un accès privilégié au marché unique européen, dont il dépend pleinement.
Les sujets principaux restant sur la table sont :
– la pêche : un accord pourrait cependant être trouvé, notamment sur la durée d’une période pendant laquelle serait maintenu l’accès des pêcheurs européens aux eaux britanniques.
– les règles de concurrence : les conditions futures de concurrence équitable sont difficilement concevables dans le concret. Un ensemble de règles sociales, environnementales, et même en matière d’aides d’Etat devrait être mis en place – ce qui semble cependant délicat en matière d’exigence de la souveraineté britannique.
– le mécanisme de respect des litiges.
Plusieurs conséquences se font déjà sentir
Un divorce brutal risquant d’entrainer le rétablissement de coûteux droits de douanes, les Britanniques ont décidé de faire du stock !
Aussi, depuis plusieurs semaines, le trafic de poids lourds a bondi dans le Pas-de-Calais.
Les transporteurs qui travaillent avec la Grande-Bretagne depuis une trentaine d’années relatent n’avoir jamais connu de tels volumes et les chauffeurs se disent excédés par les embouteillages et les intrusions de migrants qui en profitent pour tenter de monter dans les remorques.
Selon la préfecture, plus de 8000 camions franchiraient aujourd’hui la Manche chaque jour dans chaque sens, contre 6000 en moyenne habituellement.
Il s’avère que dans les faits, de nombreuses entreprises européennes n’ont pas encore intégré la nécessité de mettre à jour les formalités douanières pour commercer avec le Royaume-Uni après le 1er janvier prochain.
Et concrètement, cela signifie que les quelques cinq millions de poids lourds qui traversent chaque année la Manche devront présenter des documents avant de pouvoir franchir le tunnel ou emprunter des ferries entre la Grande-Bretagne et le continent.
Pour exemple, quelque 100.000 entreprises françaises commercent aujourd’hui avec le Royaume-Uni mais comme on est en libre échange, on ne connaît pas les conséquences réelles de la mise en œuvre et de l’application de telles mesures.
Côté britannique, le Premier ministre Boris Johnson s’est dit prêt à l’option du « no deal », assurant que cela n’empêcherait pas le Royaume-Uni de prospérer et de nouer des accords avantageux avec de nombreux pays dans le monde.
Mais même en cas d’accord sans droits de douane ni quotas, les entreprises seront soumises à de nouvelles procédures administratives chronophages et à de nouveaux contrôles qui freineront les déplacements.
Pour essayer de palier à la situation, un centre d’opérations va être mis en place, et ce afin de contrôler les mouvements des biens et des personnes à la frontière. La construction de dix vastes parkings pour camions dans le sud de l’Angleterre a également été lancée pour une meilleure gestion du trafic.
Un soutien des US ?
Boris Johnson comptait sur Donald Trump pour parvenir à un accord de libre-échange avantageux en marge de ses déconvenues avec Bruxelles, mais l’élection de Joe Biden change la donne, et notamment sur les dispositions spécifiques à l’Irlande du Nord.
Car en effet, ce dernier – ayant des racines irlandaises – a tout de suite prévenu qu’il n’y aurait pas d’accord commercial si Londres mettait en danger l’accord de paix dans la province britannique.
Au-delà de cette question, le Royaume-Uni et les États-Unis vont néanmoins très certainement pouvoir se rapprocher sur un grand nombre de sujets comme la Chine, l’Iran, la Russie ou le changement climatique… de plus n’oublions pas que la Grande-Bretagne doit accueillir la conférence sur le Climat, à Glasgow, en novembre 2021.
Vers un apaisement dans les négociations
Au milieu du tumulte, et pendant que les échanges se poursuivent, le Royaume-Uni s’affaire vivement à créer des opportunités et de nouvelles stratégies commerciales :
– En décidant notamment d’assouplir sa quarantaine pour les hommes d’affaires, cadres dirigeants, investisseurs, sportifs de haut niveau, journalistes et autres catégories d’indépendants, …
– En mettant en place depuis 2019, des accords de libre-échange avec bon nombre de pays, dont certains ont été signés récemment : Japon, Canada, Egypte, Singapour, Vietnam…
L’ambiance reste donc encore studieuse et tendue à quelques semaines du Brexit… Il est évident que rien n’est encore figé et que les négociations peuvent encore évoluer favorablement sur les sujets litigieux ainsi que pour la mise en place des mesures permettant une certaine fluidité dans le commerce, les transactions, la logistique, etc…
Il s’avère qu’un accord même imparfait serait bien plus favorable à chaque partie et que les dirigeants respectifs l’ont bien compris.
Après une année 2020 déjà marquée par la crise de la Covid-19, espérons donc maintenant une coopération réelle et concrète entre le Royaume-Uni et les autres états-Européens !
Propositions
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
La bonne intégration des produits structurés dans les contrats d’assurance vie Luxembourgeois ! Eavest en collaboration avec Bâloise Vie Luxembourg à eu le plaisir d’accueillir Eric Garcia et Raphaël Ciacchi pour parler des produits structurés et de leur bonne intégration / utilisation au sein des contrats d’assurance vie Luxembourgeois. |
v
v
v
v
L’équipe EAVEST
Face au Covid-19, à l’incertitude du Brexit, à l’investiture de Joe Biden : Quelles perspectives pour l’Europe en 2021 ? Valérie Plagnol, économiste reconnue, membre du Haut Conseil des Finances Publiques de 2015 à 2020, préside le cercle des épargnants est intervenue en exclusivité pour Eavest. Pour revoir la webconférence, n’hésitez pas à nous contacter ! |
v
v
v
v
L’équipe EAVEST
Bonjour,
L’indice de la place parisienne aura vu un vent d’optimisme souffler dans le sens de la hausse depuis la séance du 9 novembre !
Encouragé par de bonnes nouvelles telles que des vaccins efficaces contre le covid-19 à plus de 95%, l’élection présidentielle de Joe Biden et l’orientation d’une transition républicain – démocrate favorable.
De plus, la deuxième vague du covid-19 semble peu ou prou maitrisée avec l’annonce d’un déconfinement établi au 15 décembre. De quoi dresser une toile de fond optimiste sur les marchés des actifs à risque.
Le lundi 9 novembre le CAC 40 n’avait pas connu d’aussi belle séance depuis le 24 mars dernier, à noter qu’il s’agit de la plus importante depuis plus de 10 ans. De même l’indice a performé de +5,90% en seulement 30 minutes !
Résultat, un CAC 40 à 5 518,55 au 30 novembre soit une hausse sur le mois de +20,12% et une performance depuis le début de l’année de -7,69% !
Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +18,07%
L’indice sponsorisé par Natixis : CAC Large 60 EWER a performé le plus dans sa catégorie : +22,26%
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle positive (+18,43%).
Toutes les valeurs ont une performance supérieure à +10%.
Le seuil des +20% de performance a même été dépassé pour trois indices : Euronext® Top 30 France Germany Industrials EWD 5%, l’indice iSTOXX® Europe Centenary Select 30 et l’indice iSTOXX® Europe Select High Beta 50 qui ont performé respectivement de +21,43%, 23,23% et 22,57%.
Les indices ISR qui affichaient des performances négatives depuis deux mois consécutifs ont rattrapé cette tendance baissière pour performer en moyenne de +18,80% en 30 jours.
L’indice de BNP Paribas, Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EWD 5% est l’indice qui performe le plus sur cette période : +24,30%.
Tous les indices sont à la hausse ce qui réanime la confiance des entreprises et des ménages.
Cependant même si cette hausse est signe de bonne perspective, tous les indices ont une performance négative sur l’année 2020… Ces indices sont donc à suivre de près.
Depuis le début de l’année, les 2 indices de Credit Suisse, le FTSE France 40 Low Carbon ESG Screened Decrement 50 Points et le FTSE France 40 Low Carbon ESG Screened Decrement 5% affichent les meilleures performances avec respectivement -3.34% et -2.78%
Surperformant ainsi largement le CAC 40 avec ses –7.69%
Retrouvez chaque mois leur évolution sur le blog EAVEST.
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Une séance historique
Suite aux annonces du résultat électoral US et du vaccin contre la Covid-19 de Pfizer, la séance du CAC40 du 9 Novembre 2020 fut particulièrement intense et restera dans l’histoire des marchés !
Plusieurs raisons à cela :
– le gain de 7.57% ce jour-là était la huitième meilleure performance de l’indice depuis sa création
– le volume de transactions est monté à 9.2 milliards d’euros
– mais aussi et surtout, plus forte rotation sectorielle intraday jamais observée !
Qu’en est-il exactement ?
En effet, un mouvement de rotation sur les marchés actions semble bel et bien s’amorcer depuis ce jour en faveur des titres « value » (actions de bonne qualité financière dont la valorisation est décotée par les marchés), et au détriment des valeurs de croissance comme les valeurs technologiques qui avaient surperformé les marchés en 2020, à l’instar de Apple, Alphabet, Amazon, Netflix…
Ces actions ont en effet été soutenues par la crise du coronavirus et le recours massif aux nouvelles technologies (télétravail, vente en ligne, scolarisation à distance…).
Pendant ce temps, les valeurs dites cycliques avaient été mises de côté par les investisseurs, comme les valeurs industrielles et les bancaires…
Mais pour que cette tendance se confirme réellement, et donc se restaurent la confiance du consommateur et la pérennisation de cet amorçage, il faudra que le vaccin contre la COVID-19 devienne réalité en 2021.
Car il est à noter qu’en terme de valorisation, l’écart est encore conséquent entre les valeurs de croissance qui affichent un PER plus de 2 fois supérieur à celui des valeurs cycliques.
De plus, les principaux gérants européens restent très surexposés en actions « croissance » et sous-exposées en « value ». Ils craignent d’ailleurs dans leur grande majorité de rater cette rotation en faveur des value dans les prochaines semaines.
Vers un relais de croissance
Beaucoup seraient donc tentés de voir une rotation sectorielle sous l’effet d’une perspective de rebond économique qui peu à peu émerge. Il ne faut toutefois pas oublier que des freins existent face à cette reprise, comme le fort endettement accumulé par les entreprises durant ces derniers mois.
Reste qu’il est certain que les secteurs cycliques que sont l’automobile, les banques ou le pétrole, vont voir leur valorisation s’ajuster à la hausse.
Toutefois, au-delà de ces mouvements auxquels on peut assister, il faut savoir que les banques vont rester confrontées à la concurrence des fintechs et aux taux d’intérêts bas, que le secteur pétrolier se trouve face au défi de la transition énergétique et que l’automobile est en lutte avec les entreprises technologiques qui empiètent sur son terrain.
Au sein de ces valeurs cycliques, il sera donc fondamental de bien analyser et sélectionner celles qui seront capables de faire preuve d’une capacité d’adaptation à la nouvelle donne.
Mais si cette rotation sectorielle en faveur des cycliques se maintient – tels que tous les indicateurs le laissent à penser et selon l’équation du fort potentiel de rattrapage dont elles peuvent bénéficier – cela créera le vrai relais de croissance des marchés actions !
Nous sommes à votre disposition pour échanger sur ces quotes.
Ou d’autres !
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
Joe Biden et ses enjeux post électoraux David Benaym, analyste politique US depuis plus de 20 ans est intervenu en exclusivité pour EAVEST.Pour retrouver son intervention et son argumentation sur les enjeux post électoraux de Joe Biden, n’hésitez pas à nous contacter ! |
v
v
v
v
L’équipe EAVEST
Xavier a fait l’essentiel de sa carrière au sein de compagnies d’Assurance Vie. Spécialiste de la distribution de produits financiers auprès des CGPs, Family Office et tiers distributeurs, et fort d’une expérience de plus de 25 ans auprès de ces professionnels, il a entre autres été directeur commercial de Skandia Life, puis directeur des partenariats grands comptes épargne du Groupe APICIL.
« Je suis très heureux de rejoindre Eavest qui est un acteur indépendant reconnu dans le conseil, la construction et la distribution de solutions d’investissements.
Eavest a, de plus, développé la base produits la plus profonde du marché en y associant des outils de suivi et d’analyse uniques, offrant un véritable avantage concurrentiel à nos partenaires. »
Xavier MILLISCHER
« Le monde de la distribution de produits structurés en France est un marché clé pour Eavest depuis sa création. Notre ADN a toujours été de démocratiser les produits structurés en expliquant simplement leur fonctionnement et la place qu’ils pouvaient avoir dans une allocation d’actifs.
C’est donc naturellement que nous avons souhaité travailler avec Xavier.
Sa grande connaissance du monde de l’épargne et des assureurs ainsi que ses qualités humaines vont nous permettre d’accélérer encore notre développement ! »
Franck MAGNE, Président d’Eavest
EAVEST est une société réglementée. EAVEST a obtenu le statut de Conseil en Investissements Financiers auprès de l’ANACOFI, association agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). EAVEST est également immatriculé à l’ORIAS.
Bonjour,
Le mois d’octobre se comporte comme le mois de septembre avec des valeurs qui progressent en territoire négatif.
L’origine est très clairement identifiée : un re confinement annoncé par les gouvernements, certes moins strict que celui de mars dernier mais suffisant pour freiner les investissements dus à une baisse de l’activité économique.
Les élections US viennent également impacter le marché, dans l’attente de l’annonce du nouveau président le marché reste mitigé.
Résultat, un CAC 40 à 4,594,24 soit une baisse sur le mois de -4,36% et une baisse depuis le début de l’année de -23,15% !
Les indices sponsorisés baissent en moyenne de 5.20% sur le mois
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle négative (-5.68%).
Même si certains investisseurs affirment un certain appétit pour les indices ISR, les performances sont négatives pour le deuxième mois consécutif.
L’indice sponsorisé de BNP, Euronext® Transatlantic ESG Leaders 60 EW Decrement 5% est l’indice dont les performances diminuent le moins depuis le début de l’année (-17.07%).
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Longtemps plébiscité par les Français, le secteur des biens et produits immobiliers a été largement malmené par la crise de la Covid-19, passant d’un repère stable et solide à un marché contrasté.
Plusieurs changements profonds devraient s’opérer dans les mois à venir.
Du côté des biens immobiliers
La variation est encore faible, mais la tendance à la hausse des taux de crédit est bien là et les autorités gardent le crédit immobilier sous surveillance.
Les courtiers commencent notamment à s’inquiéter des difficultés que rencontrent les primo accédants.
Le resserrement des conditions de crédit pénalise dorénavant le marché de l’investissement locatif, et les mesures liées à la crise sanitaire ne vont faire qu’amplifier le phénomène.
C’est ainsi que l’indice global de finançabilité a connu une perte de 5 points entre 2019 et 2020, et là où 73 % des dossiers étaient finançables en 2019, ils ne sont plus que 68 % en 2020.
Bien que les résidences principales semblent jusqu’alors épargnées, de plus en plus de demandes sont rejetées.
L’écart se creuse davantage selon le profil de l’emprunteur, entre les clients de nature facilement finançable (salariés du secteur privé, fonction publique, professions libérales) ou difficilement finançable (indépendants, intermittents, artisans, etc).
Du côté des acteurs en SCPI
Déclinaisons appréciées de l’investissement locatif avec gestion déléguée, les SCPI et les résidences services indiquent pour la plupart avoir bien géré la crise.
Les mesures prises semblent avoir été l’aménagement des calendriers de reports de loyers et/ou l’accord avec parcimonie de franchises de loyers en contrepartie d’un allongement de la durée du bail.
Cependant, à bien y regarder, les écarts de performance se creusent entre les différentes catégories de SCPI.
Il apparaît alors que les grandes SCPI diversifiées, celles spécialisées sur la santé (Ehpad, cliniques), celles dans la logistique (en lien avec l’e-commerce) et le résidentiel (non fiscal) ont en effet majoritairement réussi à maintenir leur marge.
En revanche, pour les SCPI axées sur l’hôtellerie, le rendement est en berne.
Faute de touristes, le taux d’occupation des établissements est faible, les rendements seront donc probablement au moins divisés par deux cette année.
Côté commerces, la situation est contrastée, sauf pour les commerces alimentaires de proximité qui se situent dans les centres-villes et dont la rentabilité n’a pas été affectée.
Côté bureaux, la zone de turbulences envisagée semble se confirmer. Les entreprises en difficulté – ou ayant réduit leur personnel – chercheront à réduire leur facture immobilière, en négociant leurs loyers ou en optant pour une surface plus petite.
Autre effet à ne pas négliger et encore difficile à quantifier : l’essor du télétravail qui pourrait, à terme, réduire le besoin de surface des sociétés.
Dans ce contexte, il apparaît que l’investissement immobilier doit être réorienté ou diminué dans les portefeuilles, et qu’une diversification des placements doit être examinée et mise en œuvre.
En matière de produits financiers, les produits structurés offrent une opportunité complémentaire à un portefeuille global.
Des solutions de produits avec des protections en capital élevées peuvent être élaborées selon le cahier des charges et les besoins du client, tout en lui permettant d’envisager des rendements intéressants
———————————–
Vous trouverez ci-dessous 2 propositions de produits défensifs pouvant remplacer une allocation de SCPI.
Les coupons présentent sensiblement les mêmes rendements mais une transparence plus forte du moteur de performance.
En effet, les sous-jacents choisis sont publiés tous les jours sur les sites financiers et les produits présentent une liquidité naturelle quotidienne.
Nous sommes à votre disposition pour échanger sur ces quotes. Ou d’autres !
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Les investisseurs ont pris du recul avec les nouvelles annonces faites par le gouvernement en septembre, ainsi que par les élections US aux résultats incertains !
Le CAC 40 à 4,803.44 points accuse alors une baisse sur le mois de -2.91% !
Tous les indices sponsorisés sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -2.67%
Le seul rescapé est le fonds Euro Evolution avec une performance mensuelle de +0.79% . Sa sous-exposition en actifs risqués joue à plein dans cet environnement baissier !
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle négative (-3.26%).
L’indice de BNP Paribas, l’Euronext® France Germany Leaders 50 EWD 5% et l’indice de Goldman Sachs le iSTOXX® Europe Origin 100 EWD 5% résistent le plus à cette baisse respectivement avec -2.07% et -2.27%
Même si les indices ISR ont tendance à avoir le vent en poupe depuis quelques années, le mois de septembre a laissé évoluer ces indices en territoire négatif.
L’indice de BNP Paribas, l’Euronext® Transatlantic ESG Leaders 60 EW Decrement 5% est l’indice dont les performances diminuent le moins depuis le début de l’année (-11.93%) comme sur le mois de septembre (-1.14%).
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Depuis le début de l’année, les statistiques de la Caisse des Dépôts montrent que le Livret A a capté plus de 22 milliards d’euros !
C’est un fait connu de tous et particulièrement pendant les crises : les Français sont de véritables fourmis !
Véritables champions avec 15% en moyenne de taux d’épargne, ils n’apparaissent pourtant pas comme les meilleurs stratèges en matière d’investissement.
Malgré des taux d’intérêt désespérément bas, ils continuent à gonfler leurs livrets bancaires dont les revenus sont quasi-nuls, voire négatifs si l’on tient compte de l’inflation…
Mais pour quelles raisons et d’où vient cette mauvaise habitude ?
Outre le fait d’entretenir des rapports compliqués avec l’argent, les Français pâtissent également d’une inculture manifeste concernant les mécanismes financiers. Ils n’en sont cependant pas les seuls responsables puisque les banquiers et autres assureurs pèchent souvent en matière de conseils ou ne leur proposent pas des produits adaptés à leurs besoins.
En France, il faut savoir que la peur reste toujours la première motivation à l’épargne et la sécurité est toujours le critère le plus important : aussi selon les dernières études, 51% des épargnants mettent de l’argent de côté parce qu’ils ont peur pour l’avenir de leur situation économique personnelle et 42% afin de préparer une « retraite complémentaire ».
Enfin, la situation économique du pays est la troisième préoccupation qui pousse les Français à épargner. C’est ainsi que depuis le début de la pandémie de Covid-19, les Français ont brutalement freiné leur consommation et amassé des stocks d’argent sur leurs comptes bancaires et livrets.
Les critères les plus importants en matière d’épargne
Sécurité et disponibilité sont les deux principaux critères recherchés par les épargnants Français pour leurs placements, la performance arrive seulement en troisième critère.
C’est ainsi que, pour leurs placements, les Français font avant tout confiance à leur banquier (57%), puis à leur famille (41%) et seulement en troisième position aux conseillers en gestion de patrimoine CGP (28%). Cela peut paraître étonnant mais il semble que près de 40% des petits épargnants interrogés affirment qu’ils ne connaissent pas vraiment la profession de CGP ou sont dubitatifs quant à la pertinence de leurs conseils.
Aussi, avec le boom de l’épargne, le livret A bat des records et les banques se retrouvent avec un matelas de liquidité bon marché et abondant. Bien entendu, cela a permis de financer le Prêt Garanti par l’Etat mis en place par l’état et de soutenir la trésorerie des entreprises, mais d’un autre côté le freinage prolongé sur la consommation est un frein majeur à la reprise.
Alors finalement comment investir cet épargne ?
Dans ce contexte sécuritaire, les Français qui souhaitent diversifier leur épargne se tournent directement vers l’immobilier et l’épargne réglementée.
Il existe une alternative possible : il s’agit du produit structuré, seul produit financier actuellement sur le marché français qui permet à la fois de choisir son degré d’appréhension du risque (avec des barrières de protection en capital) et qui génère des revenus intéressants.
Avec les conseils avisés des équipes d’Eavest, trouvez le produit et le service qui correspondent à vos attentes et faites fructifier votre capital !
———————————–
Dans l’esprit de l’épargne réglementée mais avec un risque en capital, nous avons travaillé sur des produits structurés très défensifs.
En PHOENIX et en AUTOCALL FULL AIRBAG :
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
L’équipe EAVEST

Valérie Plagnol X EAVEST
« En 2018, la France et le Japon ont célébré le 160ème anniversaire du Traité d’Amitié et de Commerce signé entre les deux pays sous le Second Empire. Se souvient-on que les deux pays entretiennent des relations de si longue date et dans de nombreux domaines ? Bien sûr, il y eut dès l’origine une curiosité et une attirance mutuelles. Le «Japonisme» fleurit chez les impressionnistes. Marcel Proust fait l’objet de nombreuses études et traductions… Et que dire des passions culinaires et pâtissières réciproques ? Dès l’ouverture du Japon, la coopération entre les deux pays s’étendit aux questions militaires et navales, mais aussi juridiques, lorsque le professeur de droit Boissonade y séjourna longuement pour y adapter les codes Napoléon.
Une coopération historique
Le Japon sauva l’industrie française du ver à soie (victime de la pébrine) qui détruisit 80% des élevages au milieu du XIXème siècle.
La France put importer des vers du Japon, permettant à Lyon de redevenir la capitale des soyeux.
L’entreprise Air Liquide est présente au Japon depuis 1902. Même semée d’embûches et de «malentendus», voire de frustrations (de l’affaire du dédouanement des magnétoscopes à Poitiers aux «fourmis» d’Edith Cresson, jusqu’aux rebondissements de l’affaire Renault/Nissan), l’histoire des relations franco-japonaises est riche et longue.
Complémentarité industrielle
Aujourd’hui, la France souffre encore d’un déficit commercial structurel vis-à-vis du Japon.
L’entrée en vigueur du partenariat Europe Japon a profité aux exportations agroalimentaires.
La pharmaceutique est déficitaire, comme les échanges de machines industrielles et agricoles.
La France est le deuxième investisseur étranger au Japon derrière les Etats-Unis, tandis que le Japon est le premier investisseur asiatique en France.
Mais cette première place cache la faiblesse des montants investis au regard des autres destinations des investissements japonais (en Europe, le Royaume Uni, les Pays Bas devancent la France), où dominent largement les Etats-Unis.
Des intérêts géopolitiques et économiques communs
L’époque est propice au rapprochement.
Tout d’abord par leurs similitudes : économies de marché, mais centralisées, les Français et Japonais bénéficient d’un niveau de vie élevé, d’un système de santé et redistributif avancé. Ensuite parce que les points d’accord sont importants : les promoteurs des accords de Tokyo et de Paris sont engagés sur la voie de la lutte contre le réchauffement climatique.
De même, alors que la «guerre commerciale» entre les Etats-Unis et la Chine s’intensifie, la France comme le Japon se posent en champions de la défense du multilatéralisme commercial. Alors que la crise de la Covid-19 a suscité la méfiance croissante du monde à l’égard de la Chine, comme elle a révélé sa dépendance économique à l’Empire du Milieu, la France et le Japon veulent promouvoir des relations commerciales plus équilibrées, ce qui passe par la «relocalisation» d’activités sur leurs territoires respectifs.
Marchés à investir !
Mais loin de recourir à un protectionnisme de mauvais aloi, on pourrait considérer des initiatives communes en vue de développer les grandes filières d’avenir dans les domaines qui intéressent les deux pays. Un moyen aussi de rééquilibrer les échanges bilatéraux et faciliter les interactions mutuelles. Trop vite relégués au rang des « vieilles économies » (ce dont témoigne en partie la moindre performance de leurs marchés boursiers depuis le début de l’année), la France et le Japon auraient tout intérêt à intensifier leurs échanges – depuis l’université jusqu’à l’entreprise – et accroître leurs coopérations.
Les sous-valorisations récentes sur l’un et l’autre marché offrent d’ores et déjà des opportunités d’investissement à saisir ! »
Valérie Plagnol
Le 5 septembre 2020
———————————–
Bonjour,
Cela fait longtemps que nous n’avions pas proposé de structures de type « Participation »…
Le thème développé par Valérie PLAGNOL nous semblait propice à un pay off de type LEVERAGE.
Pour rappel, un LEVERAGE protège l’investisseur à la baisse (comme les produits type AUTOCALL ou PHOENIX) et donne une participation au sous-jacent à maturité.
Nous avons l’habitude de dire que ce produit permet à l’investisseur de passer le contrat suivant : « vous abandonnez une partie de la hausse contre une protection en capital ».
Et c’est bien ce que nous avons ici !
-> le LEVERAGE sur le panier équipondéré Euro Stoxx 50 / Nikkei 225 donne 50% de participation à la performance du panier et protège contre 30% de baisse au terme des 5 ans.
Nous sommes à votre disposition pour développer ces idées de produit – et de sous-jacents.
A bientôt,
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Après un mois de juillet fortement négatif pour les marchés actions, les investisseurs ont racheté au mois d’août et ont repris du risque !
Résultat, un CAC 40 à 4,947.22 et une hausse sur le mois de +3.42% !
Parmi les indices sponsorisés, l’indice de Natixis, le CAC® Large 60 EWER présente la meilleure performance de sa catégorie avec +4.58%
La moyenne mensuelle des performances a été de +3.35%.
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche la meilleure performance moyenne mensuelle avec -+5.17%
Les 2 indices de BNP Paribas, le iSTOXX® Europe Select High Beta 50 et le iSTOXX® Europe Centenary Select 30 progressent respectivement de +6.60% et +6.31%
La meilleure performance des indices ISR revient à l’indice de Natixis, le Euronext® Climate Objective 50 EWD avec +5.66% soit quasiment le double des indices de marchés CAC 40, Euro Stoxx 50 ou Euro Stoxx Select Dividend 30.
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Bonjour,
Un mois assez fortement négatif pour les indices actions européennes.
Le CAC 40 réalise la 4e plus mauvaise performance parmi les indices utilisés pour les produits structurés avec -3.09%
Parmi les indices sponsorisés, le fonds Euro Evolution réussit à présenter une performance positive avec +0.21%
Son mécanisme d’allocation entre actifs risqués et actifs non risqués a fonctionné.
C’est le seul sous-jacent à afficher une performance positif sur ce mois de juillet.
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche à nouveau la moins bonne performance ce mois-ci avec un -2.63%
A fin juillet, les meilleures performances Year to Date sont réalisées par :
iSTOXX® Transatlantic 100 EWD avec -13.26%
Euronext® France Germany Leaders 50 EWD 5% avec -13.31%
iSTOXX® Europe Origin 100 EWD 5% avec -14.32%
Pour rappel, l’Euro Stoxx 50® réalise un performance de -15.24% et le CAC 40 -19.98%
Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Avant la crise liée au COVID-19, le fret aérien au sommet de sa capacité
En tant que première plateforme de fret aérien en Europe, Roissy dispose de 80 postes d’avions-cargos sur une zone équivalente à un terminal de 45 millions de passagers.+
Il faut le savoir, tout ce qui est cher prend l’avion : les pièces d’aéronautique, les téléphones portables neufs, les ordinateurs, les chevaux de course et, bien sûr, les accessoires de luxe, etc…
Ces dernières années, avec l’augmentation du trafic passagers et la multiplication des vols, le marché du fret aérien avait atteint le sommet de ses capacités. Pour exemple, chez Air France, cette activité représentait l’an dernier 800 millions de chiffre d’affaires…
L’arrêt quasi total du 15 mars au 15 avril des lignes commerciales transportant des passagers – qui emportaient dans leurs soutes près de 80% de l’ensemble du fret aérien – a immédiatement provoqué une très forte augmentation des prix sur les avions tout cargo vers lesquels s’est alors immédiatement portée la demande (notamment des masques venus de Chine).
Le COVID-19 a provoqué une très forte augmentation des prix sur les avions tout cargo
Dans cette optique, une cellule de pilotage de plan de transport aérien pour l’Europe a été mise en place, affrétant les avions nécessaires à la réouverture d’une vingtaine de routes majeures vers les USA, l’Asie, le Moyen-Orient, l’Afrique du sud et l’Amérique du sud.
Ces prises de position étaient stratégiques pour des compagnies en recherche de trésorerie, acculées par une crise mondiale inédite. Dans ce contexte, le prix au kilo transporté – entre 1,50 et 2,50 euros – a convaincu des dizaines de compagnies aériennes à faire voler leurs avions passagers avec du fret.
La tension sur les prix a donc été et reste très forte car l’offre toujours insuffisante, notamment face à la reprise des flux de l’e-commerce et de la high-tech.
Selon les dernières analyses, les vols passagers vont reprendre progressivement et les vols charter iront se repositionner sur d’autres destinations pour reprendre puis reconstituer les stocks dès que les surstocks accumulés ces derniers mois seront écoulés.
Au final, l’IATA estime que la pandémie du Covid-19 devrait générer USD 84 mds de pertes nettes cette année, puis USD 15 mds de pertes supplémentaires en 2021 pour les compagnies aériennes. Les 290 compagnies membres de l’association ont en effet été durement frappées par les fermetures de frontières décidées à l’échelle internationale pour freiner la propagation du virus. En comparaison, les compagnies aériennes avaient perdu USD 31 mds lors de « la grande crise financière » de 2008 et 2009…
Perspectives
Cette crise majeure porte les leaders du fret aérien vers de nouvelles perspectives.
Parmi eux on retrouve UPS, qui possède sa propre compagnie aérienne et dont le CA 2019 était de l’ordre de 74 milliards de dollars US. Mais également FedEx qui possède également sa propre flotte, et qui finalise actuellement sa nouvelle extension de plus de 25 000 m2 à Roissy CDG, plateforme qui devrait ainsi devenir le deuxième plus grand centre de fret de l’entreprise dans le monde et permettre la création de 200 à 400 postes.
Compte tenu de ces perspectives et de la limitation de l’accès aux soutes des avions passagers, les taux de fret devraient augmenter de 30%. L’activité devrait ainsi générer USD 110 mds de revenus en 2020, contre 102 en 2019 – ce qui représentera 26 % des revenus du secteur contre 12 % en 2019. Et l’activité devrait continuer à se développer en 2021 où l’IATA prévoit des revenus de USD 138 mds, en hausse de 25 % par rapport à 2020.
A défaut d’une reprise rapide des flux de passagers, les couloirs du fret aérien devraient eux prendre de plus en plus de place dans l’économie du ciel !
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Vous voulez en savoir plus ?
Contactez nous !! 🙂
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Deuxième plus gros mois de juin depuis 25 ans pour l’Euro Stoxx 50® (+6.03%) et deuxième meilleure performance trimestrielle depuis 25 ans (+16.05%) !
Le rebond action se poursuit en Europe.
Et les indices pour les produits structurés ne sont pas en reste !
Avec une moyenne de +4.40% sur le mois, les indices à dividende synthétique capturent le retour de performance des actions européennes.
Le segment des indices sponsorisés régionaux réalise une performance moyenne de +4.57%
Et sans le fonds Euro Evolution qui présente un modeste rebond de +0.60% , la catégorie afficherait une performance de +4.96%
La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche la moins bonne performance ce mois-ci avec un +3.64%
La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® CDP Environnement France EWD 5% avec une hausse de +6.44%.
Cet indice sponsorisé par Goldman Sachs permet d’avoir une indexation aux actions françaises avec un filtre ISR.
Dans notre sélection, cet indice fait partie de la catégorie INDICES SPONSORISES ISR
Cette catégorie réalise la meilleure performance avec une progression mensuelle de +4.70%
Les produits structurés sur indices ISR remportent un vif succès parmi les Banques Privées en France, Luxembourg et Monaco.
Le message que véhicule ces nouveaux indices, leurs performances ainsi que les conditions de rendement / protection en capital plaisent aux HNWI et UHNWI.
Chez EAVEST, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans la création de produits sur mesure sur cette thématique.
L’équipe EAVEST
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Cette crise inédite du COVID-19 occasionnant l’arrêt brutal des activités et des déplacements au niveau international a relancé notre attention sur l’espace aérien. L’occasion se présente donc de faire un point sur les réactions et les enjeux de quelques acteurs majeurs du secteur
Air France
Après de longues tractations, le syndicat bancaire et le gouvernement ont finalement consenti un prêt de 7 milliards d’euros à Air France. En contrepartie, la compagnie a dû s’engager à mettre en œuvre différentes mesures et engagements, à savoir :
– la réduction de 50 % de son volume d’émission de CO2 sur ses vols en France métropolitaine d’ici la fin 2024.
– la réduction de l’offre domestique de 40 % d’ici à la fin 2021 en allégeant le volume des vols sur les destinations où il y a une alternative ferroviaire avec une durée de moins de 2h30.
– l’accélération de la restructuration de la flotte d’Air France, avec la sortie anticipée des Airbus A380 et A340, qui permettra de passer de 6 à 4 types d’avions gros-porteurs chez Air France, tout en réduisant les émissions de CO2..
Boeing
L’avionneur américain a finalement repris la production de son 737 MAX, il faut rappeler que l’avion était cloué au sol depuis plus d’un an après deux accidents rapprochés ayant fait 346 morts… Fait important car le créneau des mono-couloirs était le segment de marché le plus important avant la crise du coronavirus. Et face aux nombreux changements occasionnés par les évènements, son poids devrait encore s’accroître car le trafic moyen-courrier est en effet susceptible de redémarrer plus rapidement que celui des long-courriers.
Parallèlement à cela, la compagnie a engrangé une commande de 1000 missiles pour l’Arabie Saoudite pour un montant de 2.6 milliards de dollars. La branche Défense du constructeur aura ainsi enregistré un chiffre d’affaires de 6 milliards de dollars. Un montant en retrait de 8 % sur un an – mais si l’on ajoute le feu vert de la Navy pour d’autres flottes au Brésil, aux Pays-Bas, au Japon, à la Thaïlande, à la Corée du Sud, au Qatar et à l’Inde, les demandes s’élèveraient alors à 3,1 milliards de dollars supplémentaires, ce qui est loin d’être négligeable.
Au final – cela s’ajoutant à un carnet de commandes de 64 milliards de dollars à fin mars dans la défense – en 2020 et pour la première fois, le chiffre d’affaires réalisé dans la défense, le spatial et la sécurité pourrait ainsi bien dépasser celui de l’aviation civile !
Airbus
Avec 130 000 salariés et un chiffre d’affaires de 66,8 milliards d’euros en 2017, le groupe est l’un des champions mondiaux du secteur aéronautique et spatial, toutes catégories confondues.
L’objectif de lancer dès 2035 un premier avion n’émettant pas de CO2 semble atteignable – et cela même si la solution de l’hydrogène, pile à combustible ou carburant synthétique n’est pas encore arrêtée et que la première étape pourrait déjà passer par un avion régional de plus petite taille qu’un A320.
L’Europe souhaite également être un partenaire important de la Nasa pour son programme Artémis de retour sur la Lune. L’ESA a d’ailleurs récemment annoncé la commande pour environ 250 millions d’euros à Airbus du troisième module de service européen d’Orion, le vaisseau spatial habité américain. Cette commande irriguera ainsi un grand nombre de fournisseurs spatiaux européens, dont Thales Alenia Space chargé des systèmes thermomécaniques du vaisseau.
Safran
Malgré le choc économique lié à la pandémie du Covid-19, et la baisse de chiffre d’affaire significative sur la période – ainsi que l’arrêt de la production du Boeing 737 Max depuis le 1er janvier dernier – le groupe Safran continue son incroyable expansion. En effet, rien ne semble freiner la course de ce géant qui équipe en moteurs les trois-quarts des avions monocouloir. Pour preuve, la hausse de 30,8% du coupon par action, reflet de celle du résultat net ajusté part du groupe (+34,5% l’an dernier) et qui fera imperturbablement passer le cap du milliard d’euros au dividende.
De plus, les synergies issues de l’acquisition de Zodiac, chiffrées à 250 millions d’euros d’ici 2022, devraient permettre de dépasser les 300 millions au-delà de ce terme.
En ces temps de crise, Safran déclarait même récemment être prêt à acheter certains de ses petits fournisseurs en difficulté qui ont un réel savoir-faire, les technologies ou les expertises critiques.
En tout état de cause, la crise liée au COVID-19 aura donc terminé d’entériner des décisions nécessaires de restructuration dans ce secteur majeur des équipementiers et autres acteurs de l’aéronautique. Mais elle aura également permis de conforter le cheminement vers les nouveaux enjeux et objectifs à développer et à réaliser dans les années à venir. Parmi eux la poursuite des programmes liés à l’industrie de l’armement, à la conquête spatiale – mais aussi la modernisation de la flotte aérienne et de ses services en alliant à la fois les points stratégiques économiques et écologiques, pour voguer ainsi vers de nouveaux horizons !
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Vous voulez en savoir plus ?
Contactez nous !! 🙂
L’équipe EAVEST
Les investissements dans la recherche médicale et les traitements offrent à l’industrie pharmaceutique de belles perspectives, tant sur le plan de la santé que sur le plan financier !
Evolution du secteur ces dernières années
L’industrie pharmaceutique a subi de nombreuses mutations ces dernières années, faisant face à de nombreux défis structurels : encadrement des dépenses de santé par les pouvoirs publics, des patients toujours plus nombreux et exigeants, et donc une nécessité impérative de relancer l’innovation. En effet, le temps des « Blockbusters » est bel et bien terminé, le développement s’intensifie sur des domaines plus spécialisés, des maladies plus complexes…
Les évolutions de la société et l’augmentation de la population sont favorables à l’épanouissement du secteur : le matériel médical et paramédical est de plus en plus sophistiqué, l’automédication et les produits liés au bien-être sont des produits à marge qui confortent notamment son développement.
Ainsi on a vu évoluer de manière constante les dépenses liées à la santé dans les pays européens et aux Etats-Unis, mais aussi dans les pays émergents où la classe moyenne s’étoffe. Pour exemple, la Chine avec plus d’un milliard de personnes concernées en 2020 !
A elle seule, la filière pharmaceutique française – avec ses 26 800 entreprises – représente 0,3 % du tissu entrepreneurial français et compte près de 235 200 salariés, représentant ainsi 3 % du chiffre d’affaires total réalisé par toutes les entreprises, tous secteurs confondus.
Face au COVID-19 et aux défis du futur
Les organisations politiques et pharmaceutiques ont dû s’allier pour faire face à la situation exceptionnelle générée par le COVID 19, car la bataille se situe à la fois sur le front sanitaire et sur le front économique.
Bataille sanitaire d’abord, car aucun traitement ni vaccin à l’efficacité validée, mais également sur le plan des ressources car manque de protections disponibles et de tests pour appréhender la crise et la sortie du confinement.
Sur le plan pharmaceutique, des essais cliniques ont été lancés dans toute l’Europe sous le nom du projet Discovery et 3.000 patients y participent – dont 800 en France avec cinq branches thérapeutiques. Le but est de tester plusieurs molécules : l’antiviral remdesivir, les anti-VIH lopinavir et ritonavir, seuls ou en association avec l’interféron bêta, et la désormais fameuse et controversée hydroxychloroquine du Pr Didier Raoult.
Une vingtaine de biotechs ou de groupes pharmaceutiques travaillent sur le sujet (Roche, Sanofi, Novartis, Pasteur Mérieux en Europe, Gilead, AbbVie etc) et même si l’Europe était à la traîne sur les biotechs, la vitesse à laquelle les différents essais ont été lancés donne de belles perspectives.
Il apparaît clairement que l’épidémie du COVID 19 est donc l’un des gros enjeux pour les groupes pharmaceutiques et les a remis sur le devant de la scène publique, politique et économique.
Il est donc intéressant de se pencher sur les spécialités et territoires de compétences des principaux acteurs dans la crise actuelle, mais surtout dans les défis médicaux présents et à venir.
Sanofi est en effet le leader français dans la pharmacie dédiée au diabète, maladies rares, sclérose en plaques, oncologie… mais également présent sur le secteur des génériques et des vaccins. Il est d’ailleurs en tête en terme de capitalisation boursière à la Bourse de Paris et détenu partiellement par le groupe l’Oreal.
Il est également devenu l’un des leaders mondiaux des médicaments sans ordonnance dans un marché en croissance régulière et non concurrencé par les médicaments génériques avec ses célèbres marques Doliprane, Magné B, Lysopaïne, etc…
Le groupe Suisse Roche occupe – lui – la première place mondiale sur les secteurs de biotechnologies, diagnostics in vitro, autosurveillance glycémique et reste également le premier investisseur mondial en R&D dans le secteur de la santé. Ces dernières années, le groupe a d’ailleurs massivement investi dans le secteur de l’oncologie et de la résistance aux antibiotiques en faisant l’acquisition de Ignyta, Flatiron Health et GeneWeave BioSciences.
Quant à Novartis, c’est un acteur également très présent dans le secteur de la médecine nucléaire et du traitement des cancers difficiles – marché qui demande toujours plus d’investissement dans la R&D. Mais il est parallèlement un leader incontesté dans la production de médicaments génériques, de produits de soins oculaires et de produits pharmaceutiques destinés au traitement des maladies cardio-vasculaires, respiratoires, dermatologiques, d’affections gastro-intestinales et de troubles hormonaux.
Perspectives du secteur
Nous l’aurons bien compris, ce secteur industriel évolue sur de longs cycles, et les restructurations profondes menées en R&D continueront de porter leurs fruits dans les années à venir. L’épisode du COVID 19 et ses enjeux nous ont rappelé à la vulnérabilité et l’interaction de l’homme dans son environnement. Tenant compte de cette expérience mais surtout des grands défis médicaux de notre société actuelle et de celle de demain, il apparaît que la recherche et le développement de l’industrie pharmaceutique sont des fondamentaux de notre économie.
La démographie, la croissance économique globale dans les pays émergeants, le vieillissement de la population dans les pays développés, la diversification des maladies chroniques et les innovations thérapeutiques donnent de réelles perspectives de croissance.
Les laboratoires seront donc en mesure de tirer parti de ces évolutions, en se basant encore davantage sur ces impératifs stratégiques :
– orienter la recherche sur les besoins encore non couverts et la personnalisation des traitements
– viser le résultat plus que les moyens (efficience économique et performance médicale)
– continuer de travailler le commercial et le marketing aves les outils actualisés
Après des années de restructurations et d’accentuation de la recherche, on peut alors estimer que les dépenses mondiales de santé devraient voguer sur un taux minimum de croissance annuel moyen de 4.4%, pour atteindre plus de 14,000 milliards de dollars en 2030.
L’enjeu de la santé est plus important que jamais et une épidémie type COVID 19 permet de voir la nécessité d’une collaboration maximum entre l’ensemble des acteurs du public et du privé.
Pour résumer, les investissements dans la recherche médicale et les traitements offrent à l’industrie pharmaceutique de belles perspectives, tant sur le plan de la santé que sur le plan financier !
Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici
Vous voulez en savoir plus ?
Contactez nous !! 🙂
L’équipe EAVEST
Bonjour,
Les indices les plus utilisés dans les produits structurés poursuivent leur rebond !
La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® Top 30 France Germany Industrials EWD 5% avec une hausse de +6.98%.
L’Euro Stoxx 50® (+4.18%) surperforme largement le CAC 40® (+2.70%) ce mois-ci.
Et les indices sponsorisés plus centrés sur la France suivent cette tendance : Solactive France 40 EW NTR 5% AR (+2.56%), Euronext® CDP Environnement France EWD 5% (+1.28%), Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EWD 5% (+0.50%)
Et les indices sponsorisés (performance moyenne de +3.33%) font mieux que les indices de marchés (performance moyenne de +3.03%).
L’indice iSTOXX® Transatlantic 100 EWD poursuit sa remontée avec une performance mensuelle de +4.52% et signe la meilleure performance YTD avec -14.86% (pour rappel, le CAC 40 est à -21.46% YTD)
LES PERFORMANCES
Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.
Les règles des indices sont accessibles au public.
Avertissement de STOXX
STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.
Avertissement de l’indice CAC 40®
Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.
Avertissement de SOLACTIVE
Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.
Avertissement de MSCI
Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.
POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,
CONTACTEZ-NOUS !
contact@eavest.com
Aurélie FARDEAU nous a donné la parole dans son dernier article sur les produits structurés.
L’article est paru dans Le Monde le 29 mai.
Retrouvez l’article ici :
https://www.lemonde.fr/argent/article/2020/05/29/placements-attention-aux-fausses-promesses-des-produits-structures_6041117_1657007.html