Bonjour,

Nous vous souhaitons à tous une belle et heureuse année 2021 !

 

Le CAC 40 a connu des hauts et des bas, en baisse de plus de 2.000 points en mars 2020 avant de remonter de presque autant au cours des mois suivants.

Finalement, l’indice de la place parisienne a terminé l’année 2020 en recul de -7,14%, sa quatrième baisse en dix ans. Entre le 19 février et le 18 mars, le CAC a perdu 2.356 points, soit une baisse de plus de 38 %. Il a même perdu -17,21 % sur le seul mois de mars, avec l’ensemble des 40 valeurs de l’indice dans le rouge.

La vitesse de la reprise a été tout aussi impressionnante. L’intervention massive des banques centrales, FED et BCE, a entraîné un rebond quasiment aussi important que la chute. Avant même la fin mars, le CAC 40 s’est repris de plus de 20 % par rapport à son point le plus bas !

La fin de l’année 2020 a été tout aussi animée, mais à la hausse, cette fois. En novembre, le CAC 40 a effectué sa plus forte progression mensuelle des trois dernières décennies, +20.12 %, porté par de premières annonces sur l’efficacité des vaccins contre la Covid-19 et le résultat des élections américaines. (Pour plus d’informations, voir perf. Novembre 2020).

Les secteurs du luxe et la tech figurent parmi les plus fortes progressions de l’année 2020.

Hermès a signé la meilleure performance du CAC 40 (+32%), devant Schneider Electric (+29.30%), STMicroelectronics (+26.30%), Worldline (+24.80%) et Téléperformance (+25.30%).

Les géants du luxe ont également terminé l’année en hausse, que ce soit LVMH (+23.40%), L’Oréal (+17.70%).

Avec Hermès, leur poids dans l’indice dépasse désormais les 33%, contre 27% au début de l’année.

Le secteur bancaire est pris de faiblesse, l’attractivité du secteur étant impacté par les restrictions imposées par la BCE en termes de dividendes. Les trois banques du CAC 40 ont compté parmi les pires performances de l’indice, -18,40% pour BNP Paribas, -20.20% pour le Crédit Agricole et -45.20% pour la Société Générale. Le secteur bancaire risque de rester sous pression à l’avenir.

Résultat, un CAC 40 à 5 551,41 au 31/12/2020 soit une hausse sur le mois de +0,60% et une baisse depuis le début de l’année de -7,14% !

 

 

 

Parmi les indices sponsorisés, la majorité sont restés stable avec une moyenne mensuelle des performances de +0,80%.

L’indice sponsorisé par BNP Paribas, Solactive Eurozone 50 EW 5% AR a performé le plus dans sa catégorie : +1,52%.

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle positive (+1,71%).

L’indice de BNP Paribas, iSTOXX® Europe Centenary Select 30 performe le plus sur le mois de décembre 2020 (+3.00%).

 

Les indices ISR sont quant à eux restés flat sur la période de décembre avec moyenne des performances de +0.88%

L’indice de Natixis, Euronext® Climate Objective 50 EWD est l’indice qui performe le plus sur cette période : +2,05%.

 

 

Cette longue année 2020 s’achève comme elle avait commencé : « les marchés ont décidé de prendre la voix de l’optimisme », justifié par la remontée des indices au cours des dernières séances, les déconfinements un peu partout dans le monde et la reprise de l’activité économique.

Accompagné des campagnes de vaccinations en cours, 2021 devrait laisser place à l’optimisme…

 

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

 

L’équipe EAVEST

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


 

 

 

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STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

 

 

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Le 31 décembre 2020, les Britanniques devraient cesser d’appliquer les normes européennes.

Mais comme les parlements respectifs doivent d’abord ratifier l’accord – et compte tenu des points qui restent en litige – il a finalement été décidé de poursuivre les  discussions.

En effet, depuis quatre ans et demi, Londres cherche à mener la négociation pour diviser le camp européen et tenter d’obtenir des arrangements lui permettant de retrouver sa souveraineté pleine et entière – tout en maintenant un accès privilégié au marché unique européen, dont il dépend pleinement.

Les sujets principaux restant sur la table sont :
– la pêche : un accord pourrait cependant être trouvé, notamment sur la durée d’une période pendant laquelle serait maintenu l’accès des pêcheurs européens aux eaux britanniques.
– les règles de concurrence : les conditions futures de concurrence équitable sont difficilement concevables dans le concret. Un ensemble de règles sociales, environnementales, et même en matière d’aides d’Etat devrait être mis en place – ce qui semble cependant délicat en matière d’exigence de la souveraineté britannique.
– le mécanisme de respect des litiges.

Plusieurs conséquences se font déjà sentir

Un divorce brutal risquant d’entrainer le rétablissement de coûteux droits de douanes, les Britanniques ont décidé de faire du stock !

Aussi, depuis plusieurs semaines, le trafic de poids lourds a bondi dans le Pas-de-Calais.

Les transporteurs qui travaillent avec la Grande-Bretagne depuis une trentaine d’années relatent n’avoir jamais connu de tels volumes et les chauffeurs se disent excédés par les embouteillages et les intrusions de migrants qui en profitent pour tenter de monter dans les remorques.

Selon la préfecture, plus de 8000 camions franchiraient aujourd’hui la Manche chaque jour dans chaque sens, contre 6000 en moyenne habituellement.

Il s’avère que dans les faits, de nombreuses entreprises européennes n’ont pas encore intégré la nécessité de mettre à jour les formalités douanières pour commercer avec le Royaume-Uni après le 1er janvier prochain.

Et concrètement, cela signifie que les quelques cinq millions de poids lourds qui traversent chaque année la Manche devront présenter des documents avant de pouvoir franchir le tunnel ou emprunter des ferries entre la Grande-Bretagne et le continent.
Pour exemple, quelque 100.000 entreprises françaises commercent aujourd’hui avec le Royaume-Uni mais comme on est en libre échange, on ne connaît pas les conséquences réelles de la mise en œuvre et de l’application de telles mesures.

Côté britannique, le Premier ministre Boris Johnson s’est dit prêt à l’option du « no deal », assurant que cela n’empêcherait pas le Royaume-Uni de prospérer et de nouer des accords avantageux avec de nombreux pays dans le monde.

Mais même en cas d’accord sans droits de douane ni quotas, les entreprises seront soumises à de nouvelles procédures administratives chronophages et à de nouveaux contrôles qui freineront les déplacements.

Pour essayer de palier à la situation, un centre d’opérations va être mis en place, et ce afin de contrôler les mouvements des biens et des personnes à la frontière. La construction de dix vastes parkings pour camions dans le sud de l’Angleterre a également été lancée pour une meilleure gestion du trafic.

Un soutien des US ?

Boris Johnson comptait sur Donald Trump pour parvenir à un accord de libre-échange avantageux en marge de ses déconvenues avec Bruxelles, mais l’élection de Joe Biden change la donne, et notamment sur les dispositions spécifiques à l’Irlande du Nord.
Car en effet, ce dernier – ayant des racines irlandaises – a tout de suite prévenu qu’il n’y aurait pas d’accord commercial si Londres mettait en danger l’accord de paix dans la province britannique.

Au-delà de cette question, le Royaume-Uni et les États-Unis vont néanmoins très certainement pouvoir se rapprocher sur un grand nombre de sujets comme la Chine, l’Iran, la Russie ou le changement climatique… de plus n’oublions pas que la Grande-Bretagne doit accueillir la conférence sur le Climat, à Glasgow, en novembre 2021.

Vers un apaisement dans les négociations

Au milieu du tumulte, et pendant que les échanges se poursuivent, le Royaume-Uni s’affaire vivement à créer des opportunités et de nouvelles stratégies commerciales :

– En décidant notamment d’assouplir sa quarantaine pour les hommes d’affaires, cadres dirigeants, investisseurs, sportifs de haut niveau, journalistes et autres catégories d’indépendants, …

– En mettant en place depuis 2019, des accords de libre-échange avec bon nombre de pays, dont certains ont été signés récemment : Japon, Canada, Egypte, Singapour, Vietnam…

L’ambiance reste donc encore studieuse et tendue à quelques semaines du Brexit… Il est évident que rien n’est encore figé et que les négociations peuvent encore évoluer favorablement sur les sujets litigieux ainsi que pour la mise en place des mesures permettant une certaine fluidité dans le commerce, les transactions, la logistique, etc…

Il s’avère qu’un accord même imparfait serait bien plus favorable à chaque partie et que les dirigeants respectifs l’ont bien compris.

Après une année 2020 déjà marquée par la crise de la Covid-19, espérons donc maintenant une coopération réelle et concrète entre le Royaume-Uni et les autres états-Européens !


Propositions


Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici 

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L’équipe EAVEST

La bonne intégration des produits structurés dans les contrats d’assurance vie Luxembourgeois !


Eavest en collaboration avec Bâloise Vie Luxembourg à eu le plaisir d’accueillir Eric Garcia et Raphaël Ciacchi pour parler des produits structurés et de leur bonne intégration / utilisation au sein des contrats d’assurance vie Luxembourgeois.

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L’équipe EAVEST

Face au Covid-19, à l’incertitude du Brexit, à l’investiture de Joe Biden : Quelles perspectives pour l’Europe en 2021 ?


Valérie Plagnol, économiste reconnue, membre du Haut Conseil des Finances Publiques de 2015 à 2020, préside le cercle des épargnants est intervenue en exclusivité pour Eavest.

Pour revoir la webconférence, n’hésitez pas à nous contacter !

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L’équipe EAVEST

Bonjour,

L’indice de la place parisienne aura vu un vent d’optimisme souffler dans le sens de la hausse depuis la séance du 9 novembre !

Encouragé par de bonnes nouvelles telles que des vaccins efficaces contre le covid-19 à plus de 95%, l’élection présidentielle de Joe Biden et l’orientation d’une transition républicain – démocrate favorable.

De plus, la deuxième vague du covid-19 semble peu ou prou maitrisée avec l’annonce d’un déconfinement établi au 15 décembre. De quoi dresser une toile de fond optimiste sur les marchés des actifs à risque.

Le lundi 9 novembre le CAC 40 n’avait pas connu d’aussi belle séance depuis le 24 mars dernier, à noter qu’il s’agit de la plus importante depuis plus de 10 ans. De même l’indice a performé de +5,90% en seulement 30 minutes !

Résultat, un CAC 40 à 5 518,55 au 30 novembre soit une hausse sur le mois de +20,12% et une performance depuis le début de l’année de -7,69% !

 

 

 

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +18,07%

L’indice sponsorisé par Natixis : CAC Large 60 EWER  a performé le plus dans sa catégorie : +22,26%

 

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle positive (+18,43%).

Toutes les valeurs ont une performance supérieure à +10%.

Le seuil des +20% de performance a même été dépassé pour trois indices : Euronext® Top 30 France Germany Industrials EWD 5%, l’indice iSTOXX® Europe Centenary Select 30 et l’indice iSTOXX® Europe Select High Beta 50  qui ont performé respectivement de +21,43%, 23,23% et 22,57%.

 

Les indices ISR qui affichaient des performances négatives depuis deux mois consécutifs ont rattrapé cette tendance baissière pour performer en moyenne de +18,80% en 30 jours.

L’indice de BNP Paribas, Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EWD 5% est l’indice qui performe le plus sur cette période : +24,30%.

 

 

Tous les indices sont à la hausse ce qui réanime la confiance des entreprises et des ménages.

Cependant même si cette hausse est signe de bonne perspective, tous les indices ont une performance négative sur l’année 2020… Ces indices sont donc à suivre de près.

Depuis le début de l’année, les 2 indices de Credit Suisse, le FTSE France 40 Low Carbon ESG Screened Decrement 50 Points et le FTSE France 40 Low Carbon ESG Screened Decrement 5% affichent les meilleures performances avec respectivement -3.34% et -2.78%

Surperformant ainsi largement le CAC 40 avec ses –7.69%

 

Retrouvez chaque mois leur évolution sur le blog EAVEST.

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Une séance historique

Suite aux annonces du résultat électoral US et du vaccin contre la Covid-19 de Pfizer, la séance du CAC40 du 9 Novembre 2020 fut particulièrement intense et restera dans l’histoire des marchés !
Plusieurs raisons à cela :

– le gain de 7.57% ce jour-là était la huitième meilleure performance de l’indice depuis sa création
– le volume de transactions est monté à 9.2 milliards d’euros
– mais aussi et surtout, plus forte rotation sectorielle intraday jamais observée !

Qu’en est-il exactement ?

En effet, un mouvement de rotation sur les marchés actions semble bel et bien s’amorcer depuis ce jour en faveur des titres « value » (actions de bonne qualité financière dont la valorisation est décotée par les marchés), et au détriment des valeurs de croissance comme les valeurs technologiques qui avaient surperformé les marchés en 2020, à l’instar de Apple, Alphabet, Amazon, Netflix…

Ces actions ont en effet été soutenues par la crise du coronavirus et le recours massif aux nouvelles technologies (télétravail, vente en ligne, scolarisation à distance…).
Pendant ce temps, les valeurs dites cycliques avaient été mises de côté par les investisseurs, comme les valeurs industrielles et les bancaires…

Mais pour que cette tendance se confirme réellement, et donc se restaurent la confiance du consommateur et la pérennisation de cet amorçage, il faudra que le vaccin contre la COVID-19 devienne réalité en 2021.
Car il est à noter qu’en terme de valorisation, l’écart est encore conséquent entre les valeurs de croissance qui affichent un PER plus de 2 fois supérieur à celui des valeurs cycliques.

De plus, les principaux gérants européens restent très surexposés en actions « croissance » et sous-exposées en « value ». Ils craignent d’ailleurs dans leur grande majorité de rater cette rotation en faveur des value dans les prochaines semaines.

Vers un relais de croissance

Beaucoup seraient donc tentés de voir une rotation sectorielle sous l’effet d’une perspective de rebond économique qui peu à peu émerge. Il ne faut toutefois pas oublier que des freins existent face à cette reprise, comme le fort endettement accumulé par les entreprises durant ces derniers mois.

Reste qu’il est certain que les secteurs cycliques que sont l’automobile, les banques ou le pétrole, vont voir leur valorisation s’ajuster à la hausse.
Toutefois, au-delà de ces mouvements auxquels on peut assister, il faut savoir que les banques vont rester confrontées à la concurrence des fintechs et aux taux d’intérêts bas, que le secteur pétrolier se trouve face au défi de la transition énergétique et que l’automobile est en lutte avec les entreprises technologiques qui empiètent sur son terrain.

Au sein de ces valeurs cycliques, il sera donc fondamental de bien analyser et sélectionner celles qui seront capables de faire preuve d’une capacité d’adaptation à la nouvelle donne.

Mais si cette rotation sectorielle en faveur des cycliques se maintient – tels que tous les indicateurs le laissent à penser et selon l’équation du fort potentiel de rattrapage dont elles peuvent bénéficier – cela créera le vrai relais de croissance des marchés actions !

Nous sommes à votre disposition pour échanger sur ces quotes.

Ou d’autres !

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L’équipe EAVEST

Joe Biden et ses enjeux post électoraux

David Benaym, analyste politique US depuis plus de 20 ans est intervenu en exclusivité pour EAVEST.

Pour retrouver son intervention et son argumentation sur les enjeux post électoraux de Joe Biden, n’hésitez pas à nous contacter !

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L’équipe EAVEST

Xavier a fait l’essentiel de sa carrière au sein de compagnies d’Assurance Vie. Spécialiste de la distribution de produits financiers auprès des CGPs, Family Office et tiers distributeurs, et fort d’une expérience de plus de 25 ans auprès de ces professionnels, il a entre autres été directeur commercial de Skandia Life, puis directeur des partenariats grands comptes épargne du Groupe APICIL.

 

« Je suis très heureux de rejoindre Eavest qui est un acteur indépendant reconnu dans le conseil, la construction et la distribution de solutions d’investissements.

Eavest a, de plus, développé la base produits la plus profonde du marché en y associant des outils de suivi et d’analyse uniques, offrant un véritable avantage concurrentiel à nos partenaires. »

Xavier MILLISCHER

 

« Le monde de la distribution de produits structurés en France est un marché clé pour Eavest depuis sa création. Notre ADN a toujours été de démocratiser les produits structurés en expliquant simplement leur fonctionnement et la place qu’ils pouvaient avoir dans une allocation d’actifs.

C’est donc naturellement que nous avons souhaité travailler avec Xavier.

Sa grande connaissance du monde de l’épargne et des assureurs ainsi que ses qualités humaines vont nous permettre d’accélérer encore notre développement ! »

Franck MAGNE, Président d’Eavest

 

EAVEST est une société réglementée. EAVEST a obtenu le statut de Conseil en Investissements Financiers auprès de l’ANACOFI, association agréée par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). EAVEST est également immatriculé à l’ORIAS.

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Bonjour,

Le mois d’octobre se comporte comme le mois de septembre avec des valeurs qui progressent en territoire négatif.

L’origine est très clairement identifiée : un re confinement annoncé par les gouvernements, certes moins strict que celui de mars dernier mais suffisant pour freiner les investissements dus à une baisse de l’activité économique.

Les élections US viennent également impacter le marché, dans l’attente de l’annonce du nouveau président le marché reste mitigé.

Résultat, un CAC 40 à 4,594,24 soit une baisse sur le mois de -4,36% et une baisse depuis le début de l’année de -23,15% !

 

 

Les indices sponsorisés baissent en moyenne de 5.20% sur le mois

 

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle négative (-5.68%).

 

Même si certains investisseurs affirment un certain appétit pour les indices ISR, les performances sont négatives pour le deuxième mois consécutif.

L’indice sponsorisé de BNP, Euronext® Transatlantic ESG Leaders 60 EW Decrement 5% est l’indice dont les performances diminuent le moins depuis le début de l’année (-17.07%).

 

 

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Longtemps plébiscité par les Français, le secteur des biens et produits immobiliers a été largement malmené par la crise de la Covid-19, passant d’un repère stable et solide à un marché contrasté.

Plusieurs changements profonds devraient s’opérer dans les mois à venir.

Du côté des biens immobiliers

La variation est encore faible, mais la tendance à la hausse des taux de crédit est bien là et les autorités gardent le crédit immobilier sous surveillance.

Les courtiers commencent notamment à s’inquiéter des difficultés que rencontrent les primo accédants.

Le resserrement des conditions de crédit pénalise dorénavant le marché de l’investissement locatif, et les mesures liées à la crise sanitaire ne vont faire qu’amplifier le phénomène.

C’est ainsi que l’indice global de finançabilité a connu une perte de 5 points entre 2019 et 2020, et là où 73 % des dossiers étaient finançables en 2019, ils ne sont plus que 68 % en 2020.

Bien que les résidences principales semblent jusqu’alors épargnées, de plus en plus de demandes sont rejetées.

L’écart se creuse davantage selon le profil de l’emprunteur, entre les clients de nature facilement finançable (salariés du secteur privé, fonction publique, professions libérales) ou difficilement finançable (indépendants, intermittents, artisans, etc).

Du côté des acteurs en SCPI

Déclinaisons appréciées de l’investissement locatif avec gestion déléguée, les SCPI et les résidences services indiquent pour la plupart avoir bien géré la crise.

Les mesures prises semblent avoir été l’aménagement des calendriers de reports de loyers et/ou l’accord avec parcimonie de franchises de loyers en contrepartie d’un allongement de la durée du bail.

Cependant, à bien y regarder, les écarts de performance se creusent entre les différentes catégories de SCPI.

Il apparaît alors que les grandes SCPI diversifiées, celles spécialisées sur la santé (Ehpad, cliniques), celles dans la logistique (en lien avec l’e-commerce) et le résidentiel (non fiscal) ont en effet majoritairement réussi à maintenir leur marge.

En revanche, pour les SCPI axées sur l’hôtellerie, le rendement est en berne.

Faute de touristes, le taux d’occupation des établissements est faible, les rendements seront donc probablement au moins divisés par deux cette année.

Côté commerces, la situation est contrastée, sauf pour les commerces alimentaires de proximité qui se situent dans les centres-villes et dont la rentabilité n’a pas été affectée.

Côté bureaux, la zone de turbulences envisagée semble se confirmer. Les entreprises en difficulté – ou ayant réduit leur personnel – chercheront à réduire leur facture immobilière, en négociant leurs loyers ou en optant pour une surface plus petite.

Autre effet à ne pas négliger et encore difficile à quantifier : l’essor du télétravail qui pourrait, à terme, réduire le besoin de surface des sociétés.

Dans ce contexte, il apparaît que l’investissement immobilier doit être réorienté ou diminué dans les portefeuilles, et qu’une diversification des placements doit être examinée et mise en œuvre.

En matière de produits financiers, les produits structurés offrent une opportunité complémentaire à un portefeuille global.

Des solutions de produits avec des protections en capital élevées peuvent être élaborées selon le cahier des charges et les besoins du client, tout en lui permettant d’envisager des rendements intéressants

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Vous trouverez ci-dessous 2 propositions de produits défensifs pouvant remplacer une allocation de SCPI.

Les coupons présentent sensiblement les mêmes rendements mais une transparence plus forte du moteur de performance.

En effet, les sous-jacents choisis sont publiés tous les jours sur les sites financiers et les produits présentent une liquidité naturelle quotidienne.

Nous sommes à votre disposition pour échanger sur ces quotes. Ou d’autres !

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici

L’équipe EAVEST

Bonjour,

 

Les investisseurs ont pris du recul avec les nouvelles annonces faites par le gouvernement en septembre, ainsi que par les élections US aux résultats incertains !

Le CAC 40 à 4,803.44 points accuse alors une baisse sur le mois de -2.91% !

 

 

Tous les indices sponsorisés sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -2.67%

Le seul rescapé est le fonds Euro Evolution avec une performance mensuelle de +0.79% . Sa sous-exposition en actifs risqués joue à plein dans cet environnement baissier !

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche également une performance moyenne mensuelle négative (-3.26%).

L’indice de BNP Paribas, l’Euronext® France Germany Leaders 50 EWD 5% et l’indice de Goldman Sachs le iSTOXX® Europe Origin 100 EWD 5% résistent le plus à cette baisse respectivement avec -2.07% et -2.27%

 

 

Même si les indices ISR ont tendance à avoir le vent en poupe depuis quelques années, le mois de septembre a laissé évoluer ces indices en territoire négatif.

L’indice de BNP Paribas, l’Euronext® Transatlantic ESG Leaders 60 EW Decrement 5% est l’indice dont les performances diminuent le moins depuis le début de l’année (-11.93%) comme sur le mois de septembre (-1.14%).

 

 

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

 

L’équipe EAVEST

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


 

 

 

Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

Avertissement de MSCI

Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

 

 

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Depuis le début de l’année, les statistiques de la Caisse des Dépôts montrent que le Livret A a capté plus de 22 milliards d’euros !

C’est un fait connu de tous et particulièrement pendant les crises : les Français sont de véritables fourmis !

Véritables champions avec 15% en moyenne de taux d’épargne, ils n’apparaissent pourtant pas comme les meilleurs stratèges en matière d’investissement.
Malgré des taux d’intérêt désespérément bas, ils continuent à gonfler leurs livrets bancaires dont les revenus sont quasi-nuls, voire négatifs si l’on tient compte de l’inflation…

Mais pour quelles raisons et d’où vient cette mauvaise habitude ?

Outre le fait d’entretenir des rapports compliqués avec l’argent, les Français pâtissent également d’une inculture manifeste concernant les mécanismes financiers. Ils n’en sont cependant pas les seuls responsables puisque les banquiers et autres assureurs pèchent souvent en matière de conseils ou ne leur proposent pas des produits adaptés à leurs besoins.
En France, il faut savoir que la peur reste toujours la première motivation à l’épargne et la sécurité est toujours le critère le plus important : aussi selon les dernières études, 51% des épargnants mettent de l’argent de côté parce qu’ils ont peur pour l’avenir de leur situation économique personnelle et 42% afin de préparer une « retraite complémentaire ».
Enfin, la situation économique du pays est la troisième préoccupation qui pousse les Français à épargner. C’est ainsi que depuis le début de la pandémie de Covid-19, les Français ont brutalement freiné leur consommation et amassé des stocks d’argent sur leurs comptes bancaires et livrets.

Les critères les plus importants en matière d’épargne

Sécurité et disponibilité sont les deux principaux critères recherchés par les épargnants Français pour leurs placements, la performance arrive seulement en troisième critère.
C’est ainsi que, pour leurs placements, les Français font avant tout confiance à leur banquier (57%), puis à leur famille (41%) et seulement en troisième position aux conseillers en gestion de patrimoine CGP (28%). Cela peut paraître étonnant mais il semble que près de 40% des petits épargnants interrogés affirment qu’ils ne connaissent pas vraiment la profession de CGP ou sont dubitatifs quant à la pertinence de leurs conseils.
Aussi, avec le boom de l’épargne, le livret A bat des records et les banques se retrouvent avec un matelas de liquidité bon marché et abondant. Bien entendu, cela a permis de financer le Prêt Garanti par l’Etat mis en place par l’état et de soutenir la trésorerie des entreprises, mais d’un autre côté le freinage prolongé sur la consommation est un frein majeur à la reprise.

Alors finalement comment investir cet épargne ?

Dans ce contexte sécuritaire, les Français qui souhaitent diversifier leur épargne se tournent directement vers l’immobilier et l’épargne réglementée.

Il existe une alternative possible : il s’agit du produit structuré, seul produit financier actuellement sur le marché français qui permet à la fois de choisir son degré d’appréhension du risque (avec des barrières de protection en capital) et qui génère des revenus intéressants.

Avec les conseils avisés des équipes d’Eavest, trouvez le produit et le service qui correspondent à vos attentes et faites fructifier votre capital !

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Dans l’esprit de l’épargne réglementée mais avec un risque en capital, nous avons travaillé sur des produits structurés très défensifs.

En PHOENIX et en AUTOCALL FULL AIRBAG :

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici

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L’équipe EAVEST

Valérie Plagnol X EAVEST

« En 2018, la France et le Japon ont célébré le 160ème anniversaire du Traité d’Amitié et de Commerce signé entre les deux pays sous le Second Empire. Se souvient-on que les deux pays entretiennent des relations de si longue date et dans de nombreux domaines ? Bien sûr, il y eut dès l’origine une curiosité et une attirance mutuelles. Le «Japonisme» fleurit chez les impressionnistes. Marcel Proust fait l’objet de nombreuses études et traductions… Et que dire des passions culinaires et pâtissières réciproques ? Dès l’ouverture du Japon, la coopération entre les deux pays s’étendit aux questions militaires et navales, mais aussi juridiques, lorsque le professeur de droit Boissonade y séjourna longuement pour y adapter les codes Napoléon.

Une coopération historique

Le Japon sauva l’industrie française du ver à soie (victime de la pébrine) qui détruisit 80% des élevages au milieu du XIXème siècle.

La France put importer des vers du Japon, permettant à Lyon de redevenir la capitale des soyeux.

L’entreprise Air Liquide est présente au Japon depuis 1902. Même semée d’embûches et de «malentendus», voire de frustrations (de l’affaire du dédouanement des magnétoscopes à Poitiers aux «fourmis» d’Edith Cresson, jusqu’aux rebondissements de l’affaire Renault/Nissan), l’histoire des relations franco-japonaises est riche et longue.

Complémentarité industrielle

Aujourd’hui, la France souffre encore d’un déficit commercial structurel vis-à-vis du Japon.

L’entrée en vigueur du partenariat Europe Japon a profité aux exportations agroalimentaires.

La pharmaceutique est déficitaire, comme les échanges de machines industrielles et agricoles.

La France est le deuxième investisseur étranger au Japon derrière les Etats-Unis, tandis que le Japon est le premier investisseur asiatique en France.

Mais cette première place cache la faiblesse des montants investis au regard des autres destinations des investissements japonais (en Europe, le Royaume Uni, les Pays Bas devancent la France), où dominent largement les Etats-Unis.

Des intérêts géopolitiques et économiques communs

L’époque est propice au rapprochement.

Tout d’abord par leurs similitudes : économies de marché, mais centralisées, les Français et Japonais bénéficient d’un niveau de vie élevé, d’un système de santé et redistributif avancé. Ensuite parce que les points d’accord sont importants : les promoteurs des accords de Tokyo et de Paris sont engagés sur la voie de la lutte contre le réchauffement climatique.

De même, alors que la «guerre commerciale» entre les Etats-Unis et la Chine s’intensifie, la France comme le Japon se posent en champions de la défense du multilatéralisme commercial. Alors que la crise de la Covid-19 a suscité la méfiance croissante du monde à l’égard de la Chine, comme elle a révélé sa dépendance économique à l’Empire du Milieu, la France et le Japon veulent promouvoir des relations commerciales plus équilibrées, ce qui passe par la «relocalisation» d’activités sur leurs territoires respectifs.

Marchés à investir !

Mais loin de recourir à un protectionnisme de mauvais aloi, on pourrait considérer des initiatives communes en vue de développer les grandes filières d’avenir dans les domaines qui intéressent les deux pays. Un moyen aussi de rééquilibrer les échanges bilatéraux et faciliter les interactions mutuelles. Trop vite relégués au rang des « vieilles économies » (ce dont témoigne en partie la moindre performance de leurs marchés boursiers depuis le début de l’année), la France et le Japon auraient tout intérêt à intensifier leurs échanges – depuis l’université jusqu’à l’entreprise – et accroître leurs coopérations.

Les sous-valorisations récentes sur l’un et l’autre marché offrent d’ores et déjà des opportunités d’investissement à saisir ! »

Valérie Plagnol 

Le 5 septembre 2020

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Bonjour,

Cela fait longtemps que nous n’avions pas proposé de structures de type « Participation »…

Le thème développé par Valérie PLAGNOL nous semblait propice à un pay off de type LEVERAGE.

Pour rappel, un LEVERAGE protège l’investisseur à la baisse (comme les produits type AUTOCALL ou PHOENIX) et donne une participation au sous-jacent à maturité.

Nous avons l’habitude de dire que ce produit permet à l’investisseur de passer le contrat suivant : « vous abandonnez une partie de la hausse contre une protection en capital ».

Et c’est bien ce que nous avons ici !

->  le LEVERAGE sur le panier équipondéré Euro Stoxx 50 / Nikkei 225 donne 50% de participation à la performance du panier et protège contre 30% de baisse au terme des 5 ans.

Nous sommes à votre disposition pour développer ces idées de produit – et de sous-jacents.

A bientôt,

L’équipe EAVEST

Bonjour,

 

Après un mois de juillet fortement négatif pour les marchés actions, les investisseurs ont racheté au mois d’août et ont repris du risque !

Résultat, un CAC 40 à 4,947.22 et une hausse sur le mois de +3.42%  !

 

 

Parmi les indices sponsorisés, l’indice de Natixis, le CAC® Large 60 EWER présente la meilleure performance de sa catégorie avec +4.58%

La moyenne mensuelle des performances a été de +3.35%.

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche la meilleure performance moyenne mensuelle avec -+5.17%

Les 2 indices de BNP Paribas, le iSTOXX® Europe Select High Beta 50 et le iSTOXX® Europe Centenary Select 30 progressent respectivement de +6.60% et +6.31%

 

La meilleure performance des indices ISR revient à l’indice de Natixis, le Euronext® Climate Objective 50 EWD avec +5.66% soit quasiment le double des indices de marchés CAC 40, Euro Stoxx 50 ou Euro Stoxx Select Dividend 30.

 

 

 

 

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

 

L’équipe EAVEST

 


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Bonjour,

 

Un mois assez fortement négatif pour les indices actions européennes.

Le CAC 40 réalise la 4e plus mauvaise performance parmi les indices utilisés pour les produits structurés avec -3.09%

 

Parmi les indices sponsorisés, le fonds Euro Evolution réussit à présenter une performance positive avec +0.21%

Son mécanisme d’allocation entre actifs risqués et actifs non risqués a fonctionné.

C’est le seul sous-jacent à afficher une performance positif sur ce mois de juillet.

 

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche à nouveau  la moins bonne performance ce mois-ci avec un -2.63%

 

A fin juillet, les meilleures performances Year to Date sont réalisées par :

iSTOXX® Transatlantic 100 EWD avec -13.26%

Euronext® France Germany Leaders 50 EWD 5% avec -13.31%

iSTOXX® Europe Origin 100 EWD 5% avec -14.32%

 

Pour rappel, l’Euro Stoxx 50® réalise un performance de -15.24% et le CAC 40 -19.98%

 

 

 

 

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Avant la crise liée au COVID-19, le fret aérien au sommet de sa capacité

En tant que première plateforme de fret aérien en Europe, Roissy dispose de 80 postes d’avions-cargos sur une zone équivalente à un terminal de 45 millions de passagers.+

Il faut le savoir, tout ce qui est cher prend l’avion : les pièces d’aéronautique, les téléphones portables neufs, les ordinateurs, les chevaux de course et, bien sûr, les accessoires de luxe, etc…

Ces dernières années, avec l’augmentation du trafic passagers et la multiplication des vols, le marché du fret aérien avait atteint le sommet de ses capacités. Pour exemple, chez Air France, cette activité représentait l’an dernier 800 millions de chiffre d’affaires…

L’arrêt quasi total du 15 mars au 15 avril des lignes commerciales transportant des passagers – qui emportaient dans leurs soutes près de 80% de l’ensemble du fret aérien – a immédiatement provoqué une très forte augmentation des prix sur les avions tout cargo vers lesquels s’est alors immédiatement portée la demande (notamment des masques venus de Chine).

Le COVID-19 a provoqué une très forte augmentation des prix sur les avions tout cargo

Dans cette optique, une cellule de pilotage de plan de transport aérien pour l’Europe a été mise en place, affrétant les avions nécessaires à la réouverture d’une vingtaine de routes majeures vers les USA, l’Asie, le Moyen-Orient, l’Afrique du sud et l’Amérique du sud.

Ces prises de position étaient stratégiques pour des compagnies en recherche de trésorerie, acculées par une crise mondiale inédite. Dans ce contexte, le prix au kilo transporté – entre 1,50 et 2,50 euros – a convaincu des dizaines de compagnies aériennes à faire voler leurs avions passagers avec du fret.

La tension sur les prix a donc été et reste très forte car l’offre toujours insuffisante, notamment face à la reprise des flux de l’e-commerce et de la high-tech.

Selon les dernières analyses, les vols passagers vont reprendre progressivement et les vols charter iront se repositionner sur d’autres destinations pour reprendre puis reconstituer les stocks dès que les surstocks accumulés ces derniers mois seront écoulés.

Au final, l’IATA estime que la pandémie du Covid-19 devrait générer USD 84 mds de pertes nettes cette année, puis USD 15 mds de pertes supplémentaires en 2021 pour les compagnies aériennes. Les 290 compagnies membres de l’association ont en effet été durement frappées par les fermetures de frontières décidées à l’échelle internationale pour freiner la propagation du virus. En comparaison, les compagnies aériennes avaient perdu USD 31 mds lors de « la grande crise financière » de 2008 et 2009…

Perspectives

Cette crise majeure porte les leaders du fret aérien vers de nouvelles perspectives.
Parmi eux on retrouve UPS, qui possède sa propre compagnie aérienne et dont le CA 2019 était de l’ordre de 74 milliards de dollars US. Mais également FedEx qui possède également sa propre flotte, et qui finalise actuellement sa nouvelle extension de plus de 25 000 m2 à Roissy CDG, plateforme qui devrait ainsi devenir le deuxième plus grand centre de fret de l’entreprise dans le monde et permettre la création de 200 à 400 postes.

Compte tenu de ces perspectives et de la limitation de l’accès aux soutes des avions passagers, les taux de fret devraient augmenter de 30%. L’activité devrait ainsi générer USD 110 mds de revenus en 2020, contre 102 en 2019 – ce qui représentera 26 % des revenus du secteur contre 12 % en 2019. Et l’activité devrait continuer à se développer en 2021 où l’IATA prévoit des revenus de USD 138 mds, en hausse de 25 % par rapport à 2020.

A défaut d’une reprise rapide des flux de passagers, les couloirs du fret aérien devraient eux prendre de plus en plus de place dans l’économie du ciel !

Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici 

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Contactez nous !! 🙂

L’équipe EAVEST

Bonjour,

Deuxième plus gros mois de juin depuis 25 ans pour l’Euro Stoxx 50® (+6.03%) et deuxième meilleure performance trimestrielle depuis 25 ans (+16.05%) !

Le rebond action se poursuit en Europe.

 

Et les indices pour les produits structurés ne sont pas en reste !

Avec une moyenne de +4.40% sur le mois, les indices à dividende synthétique capturent le retour de performance des actions européennes.

Le segment des indices sponsorisés régionaux réalise une performance moyenne de +4.57%

Et sans le fonds Euro Evolution qui présente un modeste rebond de +0.60% , la catégorie afficherait une performance de +4.96%

 

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche la moins bonne performance ce mois-ci avec un +3.64%

 

La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® CDP Environnement France EWD 5%  avec une hausse de +6.44%.

Cet indice sponsorisé par Goldman Sachs permet d’avoir une indexation aux actions françaises avec un filtre ISR.

Dans notre sélection, cet indice fait partie de la catégorie INDICES SPONSORISES ISR

Cette catégorie réalise la meilleure performance avec une progression mensuelle de +4.70%

 

 

Les produits structurés sur indices ISR remportent un vif succès parmi les Banques Privées en France, Luxembourg et Monaco.

Le message que véhicule ces nouveaux indices, leurs performances ainsi que les conditions de rendement / protection en capital plaisent aux HNWI et UHNWI.

 

Chez EAVEST, nous sommes à votre disposition pour vous accompagner dans la création de produits sur mesure sur cette thématique.

 

L’équipe EAVEST

 


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Cette crise inédite du COVID-19 occasionnant l’arrêt brutal des activités et des déplacements au niveau international a relancé notre attention sur l’espace aérien. L’occasion se présente donc de faire un point sur les réactions et les enjeux de quelques acteurs majeurs du secteur

Air France

Après de longues tractations, le syndicat bancaire et le gouvernement ont finalement consenti un prêt de 7 milliards d’euros à Air France. En contrepartie, la compagnie a dû s’engager à mettre en œuvre différentes mesures et engagements, à savoir :
– la réduction de 50 % de son volume d’émission de CO2 sur ses vols en France métropolitaine d’ici la fin 2024.
– la réduction de l’offre domestique de 40 % d’ici à la fin 2021 en allégeant le volume des vols sur les destinations où il y a une alternative ferroviaire avec une durée de moins de 2h30.
– l’accélération de la restructuration de la flotte d’Air France, avec la sortie anticipée des Airbus A380 et A340, qui permettra de passer de 6 à 4 types d’avions gros-porteurs chez Air France, tout en réduisant les émissions de CO2..

Boeing

L’avionneur américain a finalement repris la production de son 737 MAX, il faut rappeler que l’avion était cloué au sol depuis plus d’un an après deux accidents rapprochés ayant fait 346 morts… Fait important car le créneau des mono-couloirs était le segment de marché le plus important avant la crise du coronavirus. Et face aux nombreux changements occasionnés par les évènements, son poids devrait encore s’accroître car le trafic moyen-courrier est en effet susceptible de redémarrer plus rapidement que celui des long-courriers.
Parallèlement à cela, la compagnie a engrangé une commande de 1000 missiles pour l’Arabie Saoudite pour un montant de 2.6 milliards de dollars. La branche Défense du constructeur aura ainsi enregistré un chiffre d’affaires de 6 milliards de dollars. Un montant en retrait de 8 % sur un an – mais si l’on ajoute le feu vert de la Navy pour d’autres flottes au Brésil, aux Pays-Bas, au Japon, à la Thaïlande, à la Corée du Sud, au Qatar et à l’Inde, les demandes s’élèveraient alors à 3,1 milliards de dollars supplémentaires, ce qui est loin d’être négligeable.
Au final – cela s’ajoutant à un carnet de commandes de 64 milliards de dollars à fin mars dans la défense – en 2020 et pour la première fois, le chiffre d’affaires réalisé dans la défense, le spatial et la sécurité pourrait ainsi bien dépasser celui de l’aviation civile !

Airbus

Avec 130 000 salariés et un chiffre d’affaires de 66,8 milliards d’euros en 2017, le groupe est l’un des champions mondiaux du secteur aéronautique et spatial, toutes catégories confondues.
L’objectif de lancer dès 2035 un premier avion n’émettant pas de CO2 semble atteignable – et cela même si la solution de l’hydrogène, pile à combustible ou carburant synthétique n’est pas encore arrêtée et que la première étape pourrait déjà passer par un avion régional de plus petite taille qu’un A320.
L’Europe souhaite également être un partenaire important de la Nasa pour son programme Artémis de retour sur la Lune. L’ESA a d’ailleurs récemment annoncé la commande pour environ 250 millions d’euros à Airbus du troisième module de service européen d’Orion, le vaisseau spatial habité américain. Cette commande irriguera ainsi un grand nombre de fournisseurs spatiaux européens, dont Thales Alenia Space chargé des systèmes thermomécaniques du vaisseau.

Safran

Malgré le choc économique lié à la pandémie du Covid-19, et la baisse de chiffre d’affaire significative sur la période – ainsi que l’arrêt de la production du Boeing 737 Max depuis le 1er janvier dernier – le groupe Safran continue son incroyable expansion. En effet, rien ne semble freiner la course de ce géant qui équipe en moteurs les trois-quarts des avions monocouloir. Pour preuve, la hausse de 30,8% du coupon par action, reflet de celle du résultat net ajusté part du groupe (+34,5% l’an dernier) et qui fera imperturbablement passer le cap du milliard d’euros au dividende.
De plus, les synergies issues de l’acquisition de Zodiac, chiffrées à 250 millions d’euros d’ici 2022, devraient permettre de dépasser les 300 millions au-delà de ce terme.
En ces temps de crise, Safran déclarait même récemment être prêt à acheter certains de ses petits fournisseurs en difficulté qui ont un réel savoir-faire, les technologies ou les expertises critiques.

En tout état de cause, la crise liée au COVID-19 aura donc terminé d’entériner des décisions nécessaires de restructuration dans ce secteur majeur des équipementiers et autres acteurs de l’aéronautique. Mais elle aura également permis de conforter le cheminement vers les nouveaux enjeux et objectifs à développer et à réaliser dans les années à venir. Parmi eux la poursuite des programmes liés à l’industrie de l’armement, à la conquête spatiale – mais aussi la modernisation de la flotte aérienne et de ses services en alliant à la fois les points stratégiques économiques et écologiques, pour voguer ainsi vers de nouveaux horizons !

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Les investissements dans la recherche médicale et les traitements offrent à l’industrie pharmaceutique de belles perspectives, tant sur le plan de la santé que sur le plan financier !

Evolution du secteur ces dernières années

L’industrie pharmaceutique a subi de nombreuses mutations ces dernières années, faisant face à de nombreux défis structurels : encadrement des dépenses de santé par les pouvoirs publics, des patients toujours plus nombreux et exigeants, et donc une nécessité impérative de relancer l’innovation. En effet, le temps des « Blockbusters » est bel et bien terminé, le développement s’intensifie sur des domaines plus spécialisés, des maladies plus complexes…

Les évolutions de la société et l’augmentation de la population sont favorables à l’épanouissement du secteur : le matériel médical et paramédical est de plus en plus sophistiqué, l’automédication et les produits liés au bien-être sont des produits à marge qui confortent notamment son développement.

Ainsi on a vu évoluer de manière constante les dépenses liées à la santé dans les pays européens et aux Etats-Unis, mais aussi dans les pays émergents où la classe moyenne s’étoffe. Pour exemple, la Chine avec plus d’un milliard de personnes concernées en 2020 !

A elle seule, la filière pharmaceutique française – avec ses 26 800 entreprises – représente 0,3 % du tissu entrepreneurial français et compte près de 235 200 salariés, représentant ainsi 3 % du chiffre d’affaires total réalisé par toutes les entreprises, tous secteurs confondus.

Face au COVID-19 et aux défis du futur

Les organisations politiques et pharmaceutiques ont dû s’allier pour faire face à la situation exceptionnelle générée par le COVID 19, car la bataille se situe à la fois sur le front sanitaire et sur le front économique.

Bataille sanitaire d’abord, car aucun traitement ni vaccin à l’efficacité validée, mais également sur le plan des ressources car manque de protections disponibles et de tests pour appréhender la crise et la sortie du confinement.

Sur le plan pharmaceutique, des essais cliniques ont été lancés dans toute l’Europe sous le nom du projet Discovery et 3.000 patients y participent – dont 800 en France avec cinq branches thérapeutiques. Le but est de tester plusieurs molécules : l’antiviral remdesivir, les anti-VIH lopinavir et ritonavir, seuls ou en association avec l’interféron bêta, et la désormais fameuse et controversée hydroxychloroquine du Pr Didier Raoult.

Une vingtaine de biotechs ou de groupes pharmaceutiques travaillent sur le sujet (Roche, Sanofi, Novartis, Pasteur Mérieux en Europe, Gilead, AbbVie etc) et même si l’Europe était à la traîne sur les biotechs, la vitesse à laquelle les différents essais ont été lancés donne de belles perspectives.

Il apparaît clairement que l’épidémie du COVID 19 est donc l’un des gros enjeux pour les groupes pharmaceutiques et les a remis sur le devant de la scène publique, politique et économique.

Il est donc intéressant de se pencher sur les spécialités et territoires de compétences des principaux acteurs dans la crise actuelle, mais surtout dans les défis médicaux présents et à venir.

Sanofi est en effet le leader français dans la pharmacie dédiée au diabète, maladies rares, sclérose en plaques, oncologie… mais également présent sur le secteur des génériques et des vaccins. Il est d’ailleurs en tête en terme de capitalisation boursière à la Bourse de Paris et détenu partiellement par le groupe l’Oreal.

Il est également devenu l’un des leaders mondiaux des médicaments sans ordonnance dans un marché en croissance régulière et non concurrencé par les médicaments génériques avec ses célèbres marques Doliprane, Magné B, Lysopaïne, etc…

Le groupe Suisse Roche occupe – lui – la première place mondiale sur les secteurs de biotechnologies, diagnostics in vitro, autosurveillance glycémique et reste également le premier investisseur mondial en R&D dans le secteur de la santé. Ces dernières années, le groupe a d’ailleurs massivement investi dans le secteur de l’oncologie et de la résistance aux antibiotiques en faisant l’acquisition de Ignyta, Flatiron Health et GeneWeave BioSciences.

Quant à Novartis, c’est un acteur également très présent dans le secteur de la médecine nucléaire et du traitement des cancers difficiles – marché qui demande toujours plus d’investissement dans la R&D. Mais il est parallèlement un leader incontesté dans la production de médicaments génériques, de produits de soins oculaires et de produits pharmaceutiques destinés au traitement des maladies cardio-vasculaires, respiratoires, dermatologiques, d’affections gastro-intestinales et de troubles hormonaux.

Perspectives du secteur

Nous l’aurons bien compris, ce secteur industriel évolue sur de longs cycles, et les restructurations profondes menées en R&D continueront de porter leurs fruits dans les années à venir. L’épisode du COVID 19 et ses enjeux nous ont rappelé à la vulnérabilité et l’interaction de l’homme dans son environnement. Tenant compte de cette expérience mais surtout des grands défis médicaux de notre société actuelle et de celle de demain, il apparaît que la recherche et le développement de l’industrie pharmaceutique sont des fondamentaux de notre économie.

La démographie, la croissance économique globale dans les pays émergeants, le vieillissement de la population dans les pays développés, la diversification des maladies chroniques et les innovations thérapeutiques donnent de réelles perspectives de croissance.

Les laboratoires seront donc en mesure de tirer parti de ces évolutions, en se basant encore davantage sur ces impératifs stratégiques :

– orienter la recherche sur les besoins encore non couverts et la personnalisation des traitements

– viser le résultat plus que les moyens (efficience économique et performance médicale)

– continuer de travailler le commercial et le marketing aves les outils actualisés

Après des années de restructurations et d’accentuation de la recherche, on peut alors estimer que les dépenses mondiales de santé devraient voguer sur un taux minimum de croissance annuel moyen de 4.4%, pour atteindre plus de 14,000 milliards de dollars en 2030.

L’enjeu de la santé est plus important que jamais et une épidémie type COVID 19 permet de voir la nécessité d’une collaboration maximum entre l’ensemble des acteurs du public et du privé.

Pour résumer, les investissements dans la recherche médicale et les traitements offrent à l’industrie pharmaceutique de belles perspectives, tant sur le plan de la santé que sur le plan financier !

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Bonjour,

Les indices les plus utilisés dans les produits structurés poursuivent leur rebond !

 

La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® Top 30 France Germany Industrials EWD 5% avec une hausse de +6.98%.

L’Euro Stoxx 50® (+4.18%) surperforme largement le CAC 40® (+2.70%) ce mois-ci.

Et les indices sponsorisés plus centrés sur la France suivent cette tendance : Solactive France 40 EW NTR 5% AR (+2.56%), Euronext® CDP Environnement France EWD 5% (+1.28%), Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EWD 5% (+0.50%)

Et les indices sponsorisés (performance moyenne de +3.33%) font mieux que les indices de marchés (performance moyenne de +3.03%).

 

L’indice iSTOXX® Transatlantic 100 EWD poursuit sa remontée avec une performance mensuelle de +4.52% et signe la meilleure performance YTD avec -14.86% (pour rappel, le CAC 40 est à -21.46% YTD)

 

 

LES PERFORMANCES

 

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


 

 

 

Avertissement de STOXX

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Aurélie FARDEAU nous a donné la parole dans son dernier article sur les produits structurés.

L’article est paru dans Le Monde le 29 mai.

 

Retrouvez l’article ici :

https://www.lemonde.fr/argent/article/2020/05/29/placements-attention-aux-fausses-promesses-des-produits-structures_6041117_1657007.html

 

 

Thème d’investissement majeur actuel, la 5G et ses perspectives peuvent-être jouées via des produits structurés.

Le ratio risque / rendement nous semble très favorable à la mise en place de PHOENIX en EUR ou en USD.

Plus d’explications ci-dessous :

A propos

Cinquième génération des standards pour la téléphonie mobile – succédant à la 4G et prolongeant l’exploitation technologique LTE, la 5G donnera accès à des débits dépassant de 2 ordres de grandeur la 4G avec des temps de latence très courts et une haute fiabilité. Elle permettra également d’augmenter le nombre de connexions simultanées par surface couverte.

Sa technologie reposant en partie sur les ondes millimétriques – actuellement utilisées par l’armée en France – permettra, une fois le déploiement terminé, de faire bénéficier les usagers de débits de télécommunication mobile de plusieurs gigabits de données par seconde (1000 fois plus que les réseaux utilisés en 2010 et 100 fois plus que la 4G ne le permettait).

Pour ce faire, un nombre colossal d’antennes pour déployer le réseau en France est déjà entrepris, notamment par le biais de petites cellules dans les zones denses qui s’appuieront sur les ondes millimétriques pour la fourniture d’un réseau très localisé à faible portée. Parallèlement, et afin d’assurer la continuité de la connexion, des antennes plus grosses s’appuyant sur la technologie MIMO seront installées sur des points hauts.

L’enjeu majeur de la 5G, c’est véritablement le temps de latence : car parvenir à le réduire à moins d’une milliseconde permet de révolutionner les usages sans fil, mais rend également la navigation plus réactive, et participe à la hausse des débits – tout en utilisant une consommation énergétique minimale. Le but étant de pouvoir connecter un maximum d’objets avec un débit conséquent, tout en maintenant un réseau fiable et sécurisé.

Questionnements

Dans certains pays, l’arrivée de la 5G inquiète, avec une recrudescence certaine de conférences, pétitions, votes et autres actions pour empêcher l’installation d’antennes – la crainte étant que les ondes de la 5G se surajoutent à celles émises par les antennes 3G, 4G, EDGE/GPRS et GSM.

Pour pouvoir pallier à ces inquiétudes, le législateur a imposé aux constructeurs qu’ils mesurent les ondes émises par leurs appareils et indiquent – pour les dispositifs grand public – la quantité d’ondes absorbée par le corps, telle que mesurée à la tête et/ou à la ceinture. Et jusqu’ici, à chaque nouveau réseau, différentes études au fil des ans montrent que la hausse de volts par mètre n’a augmenté que de façon très marginale. Rien n’indique donc que l’arrivée de la 5G augure autre chose.

Plus surprenant encore – la technologie 5G pourrait même aboutir à l’exact contraire… Puisqu’en effet, une partie des antennes pourront directement diriger le signal vers les appareils qui en ont besoin, c’est ce que l’on appelle le beamforming. Ceci permettrait ainsi d’éviter que l’énergie émise par ces équipements ne soit absorbée par des personnes, murs, et autres obstacles inutiles.

En conséquence, il semble qu’il n’y ait pour l’heure aucune raison de s’inquiéter – ce qui ne signifie pas que des études ne doivent pas être menées au fil du déploiement pour vérifier, sur le long terme, que cela reste le cas !

Perspectives et délais

C’est à l’usage que l’on se rendra vraiment compte de la puissance de la 5G. Mais, partant du principe que dans le futur nous serons tous suréquipés, mais également parfaitement connectés, les promesses de cette technologie paraissent alors aussi prometteuses que vitales.

En effet, pour l’utilisateur, cela ouvre des portes à peine imaginables, en sus des usages que l’on connaît aujourd’hui qui vont encore s’améliorer. Nous pourrons par exemple continuer de regarder nos vidéos en streaming, mais dans davantage d’endroits et avec une meilleure qualité. Les jeux VR dans le cloud deviendront une réalité, les voitures pourront communiquer entre elles et être totalement autonomes… La réalité augmentée pourra même s’inviter dans nos vies et les GPS deviendront plus précis avec une marge d’erreur de l’ordre de moins d’un mètre.

Selon l’Arcep, les premiers forfaits 5G devraient arriver en France dès cette année. Le développement sera cependant progressif, et tout le potentiel de la vraie 5G ne sera véritablement disponible qu’à partir de 2025, avec une promesse de débits exceptionnels et une latence extrêmement faible.

Forcément, les grandes villes seront couvertes en premier lieu, les premiers opérateurs à la proposer seront vraisemblablement Orange, Bouygues et SFR. Et à terme, nous pouvons ainsi espérer que plus de 90% des sites dans les zones denses seront raccordés en fibre, élément essentiel pour le lancement de cette technologie 5G.

Nokia et Ericsson de retour

Pour permettre l’utilisation de ce nouveau réseau 5G, les différents équipementiers mobiles ont mobilisé leurs ressources afin de quadriller le marché. Ainsi, Nokia a annoncé récemment avoir atteint les vitesses 5G les plus rapides au monde dans son réseau OTA à Dallas – atteignant des vitesses allant jusqu’à 4.7 Gbps lors des tests effectués dans les réseaux commerciaux des principaux opérateurs américains. Quant à Ericsson – qui avait finalisé des contrats en Chine notamment avec l’opérateur China Mobile – il fournira une partie du réseau 5G d’Orange au cours des années à venir, et table déjà sur 2.8 milliards d’abonnement 5G en 2025 au niveau mondial !

Pour conclure – et même si le déploiement prend du temps – la révolution 5G est bien en marche ! Le développement de cette technologie et ses applications ouvre des perspectives immenses, tant sur le plan de la communication que dans l’utilisation des objets dans notre vie de tous les jours…

Propositions

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L’acronyme GAFA désigne quatre des entreprises les plus puissantes du monde de l’internet : Google, Apple, Facebook et Amazon, qui possèdent un pouvoir économique et financier considérable.
On peut s’étonner de l’absence de Microsoft de ce « groupe », et c’est pour cela qu’on trouve parfois l’acronyme GAFAM dans lequel le M représente Microsoft.
Ces GAFA représentent l’économie du début du XXIe siècle et l’incarnation du passage à l’ère du digital.
Depuis le 28 mai 2018, elles sont d’ailleurs soumises à la RGPD, qui impose aux entreprises des contraintes en matière de gestion de données personnelles, base de données, etc…

Domination.

Ces deux dernières années, les enquêtes antitrust et les polémiques mettant en lumière leur toute puissance sur les marchés boursiers et l’utilisation qu’elles pouvaient faire des données personnelles ont posé sur la table des questions légitimes sur la gestion de leurs activités et leurs perspectives de développement dans le futur.
En effet, au niveau publicitaire, il est important de noter le poids de Google et de Facebook : Google a par exemple passé la barre des USD 40 milliards de chiffre d’affaires au troisième trimestre 2019, dont 83 % dans la publicité numérique, et Facebook USD 18 milliards de revenus en un trimestre. Selon l’institut Warc, les deux acteurs auraient d’ailleurs conquis 56 % de la publicité numérique mondiale, alors que leur part était encore de près de 25 % l’an dernier. La plate-forme Amazon profite également de ces places de marché et de sa connaissance fine des consommateurs pour envoyer des messages ciblés.
Dans cette perspective, on constate que les grandes plates-formes vont donc continuer à prendre des parts de marché sur les acteurs historiques que sont notamment les éditeurs de presse et la télévision.
Quant à la bataille du Cloud, les trois géants du cloud – Amazon, Microsoft et Google – ont déjà pris dix ans d’avance sur la concurrence !

Vers de nouveaux services

Depuis leurs débuts sur la mise en place de moyens de paiement (Apple Pay, Google Pay), les GAFA misent sur le secteur bancaire pour se diversifier, en partenariat notamment avec Goldman Sachs, Citigroup, etc… Facebook a profité également de ce segment avec le lancement de sa cryptomonnaie Libra.
Sur le terrain de la santé, des partenariats avec des laboratoires pharmaceutiques ont vu le jour pour : améliorer les essais cliniques, créer de nouvelles divisions dédiées à la santé, utiliser des outils d’intelligence artificielle appliqués aux données des patients pour suggérer des traitements, etc.
Dans les années à venir, les GAFA vont aussi continuer d’affirmer leur capacité d’innovation à différents domaines : voiture autonome, cerveau connecté, conquête de l’espace, réalité virtuelle, drones, jeux vidéo, maison connectée… mais également poursuivre leur travail sur la puissance de calcul, le développement des algorithmes et de leurs applications, pour continuer à révolutionner nos vies !

Face au COVID-19

De nombreuses ressources ont été et vont être utilisées dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire et économique, en matière de recherche médicale et de traitement des données, mais également en matière de lutte contre la désinformation.
Ces entreprises à usagers massifs (Facebook, Google) sont fortement mises à contribution en ce moment dans le cadre de nouvelles pratiques personnelles et professionnelles issues des mesures de confinement et de distanciations sociales, devenant des acteurs incontournables au quotidien pour se distraire, échanger et télétravailler.
WhatsApp (groupe Facebook) a notamment multiplié ses flux concernant les appels vidéo et les échanges au sein des groupes fermés utilisés par les écoliers, collégiens, lycéens et étudiants dans le cadre de l’e-learning, l’e-teaching.
Les applications FaceTime et FaceTime Audio développées par Apple – quant à elles – s’imposent maintenant dans le secteur de la visioconférence et de l’audioconférence – à côté de Skype (groupe Microsoft), Zoom, OVH ou Whereby, et ce, dans tous les secteurs d’activités.

Les GAFA, souvent qualifiées d’acteurs agiles et opportunistes, proposent des solutions concrètes, des applications et des fonctionnalités qui s’adaptent tout autant à la crise actuelle qu’à de nombreux défis d’avenir. En s’installant durablement dans nos routines individuelles et collectives – dans un cadre réglementé – et en continuant à développer leurs technologies, elles offrent de nombreuses perspectives d’avancées technologiques et sont plus que jamais des sous-jacents porteurs en termes d’investissements !


Comment se sont comportés les GAFA depuis le début de l’année ?

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Les révisions en baisse des dividendes occasionnent de fortes pertes dans les activités de marché des banques

 

Société Générale et BNP Paribas ont publié leurs résultats trimestriels.

Et il ressort que les activités de marché liées aux produits structurés actions ont beaucoup souffert.

 

Qu’est-ce que cela veut dire ?

La crise sans précédent que nous vivons a un impact économique considérable sur l’économie mondiale. Les marchés financiers ont par conséquent très violemment réagi.

-30.25% en 11 jours de bourse pour l’Euro Stoxx 50 avec une séance à 12.40% : du jamais vu !

La chute des marchés s’accompagne toujours d’une hausse de la volatilité. Et c’est ce que nous avons encore constaté lors de ce nouvel épisode baissier. La valorisation des produits structurés a fortement baissé.

Mais la grande nouveauté de 2020 vient des dividendes !

Suite au quasi-arrêt de l’économie, de nombreuses sociétés ont décidé de baisser voire de supprimer le paiement de dividende à leurs actionnaires. Les futures sur dividendes ont alors plongé forçant toutes les salles de marchés à revoir à la baisse leurs anticipations de dividendes dans les pricings de produits structurés sur actions.

Parce que c’est ce dont il s’agit. Lorsqu’une banque d’investissement émet un produit structuré sur une action ou un indice action, elle va prendre une vue sur le taux de dividendes à 10 ans (si c’est un produit 10 ans) du sous-jacent. Le taux de dividende a été très stable auparavant donc les anticipations de dividendes semblaient assez entendues. Un peu en hausse ou un peu en baisse. Mais pas aussi fortement impacté que par le COVID-19.

 

Résultat, toutes les banques d’investissement ayant une activité importante dans les produits structurés actions ont dû constater de très fortes pertes sur les dividendes.

Le message de Société Générale hier de BNP aujourd’hui est de constater de fortes pertes dans leurs activités « produits structurés ». En revanche, pas de risque sur la solidité financière des banques aujourd’hui. Elles sont beaucoup plus solides qu’en 2008.

Pas de risque à avoir sur les produits structurés déjà émis : la liquidité sera totalement assurée et le contrat des produits (coupon, protection en capital, etc.) sera bien évidemment respecté.

Mais cette crise et ces pertes vont laisser des traces dans les banques d’investissement. L’agressivité des prix sur certains produits sera probablement moins forte dans les mois à venir. Et quelques acteurs bancaires arrêteront peut-être temporairement de coter certains types de produit.

 

Retrouvez l’article sur H24 Finance

 

 

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Baisse historique de l’Euro Stoxx 50

Hausse historique de la volatilité de l’Euro Stoxx 50

 

 

Baisse historique des dividendes attendus de l’Euro Stoxx 50

 

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L’équipe EAVEST

Bonjour,

Très fort rebond sur avril pour les indices les plus utilisés dans les produits structurés !

 

La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® CDP Environnement World EWD 5% avec une hausse de +8.54%. Comme le mois précédent avec la surperformance du iSTOXX® Transatlantic 100 EWD, l’indexation aux actions américaines a permis « d’amplifier le rebond.

Après une sous-performance des indices large caps le mois dernier, les indices sponsorisés avec une dimension Mid-caps ont surperformé (CAC® Large 60 EWER avec +6.10% et le SBF Top 80 EWD 50 points® avec +7.36%).

Les indices sponsorisés ont superformé le CAC 40® (+4.00%) et l’Euro Stoxx 50® (+5.06%) avec une performance moyenne de +5.78%

 

Surperformance des indices ISR

Le segment des indices ISR a progressé en moyenne de +6.47% surperformant les indices sans filtre ISR (+5.11%).

 

 

LES PERFORMANCES

 

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


 

 

 

Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

Avertissement de SOLACTIVE

Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

Avertissement de MSCI

Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

 

 

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Nouvelle intervention de Valérie Plagnol pour EAVEST !

 

 » Des deux scenarios que nous avions esquissés dans notre précédente chronique, le second et le plus rude s’est finalement concrétisé.

« Great Lockdown »

La pandémie du Covid-19 et les mesures de confinement prises depuis près d’un mois ont durement atteint l’économie mondiale. La reprise – encore modeste – qui s’amorce en Chine, n’y changera rien ; l’année 2020 connaîtra une récession d’une ampleur inégalée depuis la crise de 1929. Mais la comparaison en nombre ne vaut pas en fait, car le choc que nous connaissons et que le Fonds Monétaire International nomme « great lockdown », le grand enfermement, est d’une nature toute spécifique.

Ce n’est pas une guerre (destructrice de l’appareil industriel, mais mobilisatrice de soldats et de bras à l’arrière) ; ce n’est pas non plus une crise financière (même si celle-ci pourrait survenir en corollaire de l’assèchement des liquidités, de l’accroissement des défaillances et des défauts de crédits, si les banques centrales n’étaient pas massivement intervenues dès le début). La crise résulte de la propagation d’une épidémie combinée à des mesures générales d’arrêt de l’activité pour en réduire l’impact sur les populations et permettre aux systèmes de santé d’y faire face convenablement.

Cette mise sous cloche plus ou moins stricte de l’activité économique, au niveau de la planète, nous offre une perspective vertigineuse quant aux effets d’un arrêt brutal de l’activité humaine. A mi-chemin du confinement, s’esquisse d’ores et déjà un scénario économique qu’on peut retracer ici. Au-delà, pour les investisseurs et les épargnants, le moment est propice pour s’interroger sur la manière de faire face à un tel stress, et les opportunités qui peuvent se présenter pour l’avenir.

 

Premières constatations

Sur le plan économique, que constate-t-on ?

  • Le confinement strict ne peut être maintenu au-delà d’un délai de 8 semaines, tant sur le plan économique qu’humain.
  • Le paradoxe est que, mieux il a été respecté, moins la population est immunisée à la sortie du confinement. En France, le Comité Scientifique estime que seulement 10% à 15% de la population est immunisée naturellement, quand 50% à 60% devraient l’être pour espérer contenir sa propagation. Or la mise au point d’un remède, et a fortiori d’un vaccin, demandera plus de temps. Comment éviter ou limiter une nouvelle vague de contaminations qui submergerait des hôpitaux à peine soulagés de la précédente ?
  • Ceci implique la mise en œuvre de mesures de tests, la mise à disposition de matériels (masques, gants etc.), et l’organisation de procédures propres à maintenir les efforts de « distanciation sociale ». Le retour à la normale ne le sera donc pas tout à fait, en tout cas pas à très court terme.
  • Il convient néanmoins de s’y préparer. Cela implique des efforts logistiques propres à soulager le système de santé en priorité, et approvisionner la population en équipements nécessaires. Cela implique aussi un effort de coopération et de coordination entre pays, et notamment au sein de l’Union Européenne, sous l’égide de la Commission, afin de préparer et de synchroniser la reprise de l’activité et les échanges de marchandises.

Sur le plan économique, les dégâts causés par l’arrêt de l’activité sont cruellement perceptibles. Prenons garde de ne pas tuer l’économie pour éradiquer le virus. De plus, sa propagation dans les zones économiques aux systèmes de protection sociale et de santés défaillants (j’y inclus ici les Etats-Unis, comme l’Inde ou l’Afrique), menacent de provoquer des ruptures irréversibles.

Dans le cas de la France – et nous l’avons vu au niveau européen – nous pouvons mettre en avant :

  • L’existence préalable d’un système d’amortisseurs sociaux qui a permis de mettre en œuvre rapidement les mesures de soutien ciblées aux entreprises et aux ménages, portant principalement sur la prise en charge du chômage partiel et la compensation partielle d’activités.
  • Le déblocage massif de fonds et des garanties au profit des secteurs les plus menacés, soit en direct soit par le relais du système bancaire, afin de soulager les entreprises les plus menacées.
  • Les reports de charges fiscales et sociales auxquels se sont ajoutées des mesures d’allègement de charges d’exploitation par les grands investisseurs, et leur contribution à des fonds de soutien spécifiques (reports de loyers commerciaux, réduction des versements de polices d’assurance, constitutions de fonds d’aide spécifiques).

BCE et Fed inondent de cash les circuits de la finance

Le coût économique de ces mesures est gigantesque. Le Projet de Loi de Finance Rectificative (le deuxième en un mois) présenté au Parlement mi-avril, porte l’ensemble des dispositifs à plus de 100 milliards d’euros (hors garanties des prêts bancaires). Le défit public est estimé à 9% du PIB pour cette année, pour une contraction annuelle de 8%, un scénario qui suppose un retour à la normale de l’activité – et donc un rattrapage marqué – dès septembre.

Ces mesures ciblées et massives se retrouvent peu ou prou en Europe, aux Etats-Unis (mais on le voit avec un système de distribution plus défaillant) et au Japon. De son côté, la Commission Européenne a pris un certain nombre d’initiatives règlementaires pour adapter les règles communes à la situation présente, préserver les voies de communication entre pays pour les marchandises, initier un fonds d’urgence et de prêt avec la BEI (Banque Européenne d’Investissement).

En amont et à l’appui de ces dispositifs, les Banques Centrales du monde entier se sont mobilisées, à commencer par la Réserve Fédérale des Etats-Unis et la Banque Centrale Européenne. Après les ratés à l’amorçage, les mesures de mise à disposition des liquidités et de soutien au système financier ont consisté à « inonder » de cash les circuits de la finance.

Au total, sur le plan économique, nous pouvons nous demander si les mesures prises permettront effectivement d’effacer les effets de ce choc exogène, sans pour autant annuler l’impact d’un début de récession cyclique qui s’amorçait.

 

Fin des « 30 Glorieuses » de l’économie chinoise

La crise laissera des traces – augmentation du chômage, défaillances d’entreprises. Au plan mondial, elle marquera le terme des « 30 Glorieuses » de l’économie chinoise, atteinte par la nécessité de refonder son modèle de croissance. La crainte est que la récession n’entraine un repli marqué de l’investissement qui amoindrirait durablement notre potentiel de croissance. Le poids des dettes accumulées serait alors un obstacle à la reconfiguration de notre modèle de développement. La reprise imposera de faire des choix. Secteurs d’avenir ou filières déclassées ? Entreprises à potentiel ou zombies à repousser. Nous sommes probablement au début d’un nouveau cycle. Celui-ci combine la reprise conjoncturelle et le démarrage d’une nouvelle phase dite schumpetérienne du cycle de croissance, reposant sur l’adoption plus large des nouvelles technologies de l’information, le déploiement de l’intelligence artificielle et de la robotique. Elle sera aussi marquée par une certaine convergence des systèmes publics vers le financement et le renforcement de la santé et de systèmes de protection des individus, la prise en compte des risques sanitaires et climatiques. Mais elle sera aussi une ère de la dette sans dynamique de reconstruction.

Dans cette période, l’accès à la liquidité va rester une priorité pour de nombreux agents économiques. Mais comment garantir sa disponibilité et préserver son pouvoir d’achat en cas de remontée de l’inflation ? Après avoir vécu un « stress test » grandeur nature, quel prix accorder à la protection nécessaire en cas de nouveau choc d’ampleur, même moindre ?

Ce sont des questions que l’on peut d’ores et déjà se poser, et pour lesquelles des solutions d’investissement restent à considérer. »

 

Valérie Plagnol

Achevé de rédiger le 17 avril 2020

 

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Propositions

A partir de cette intervention, nous proposons 2 solutions d’investissement de type Autocall avec des sous-jacents actions Europe + US.

Le 1er sous-jacent est le iSTOXX® Transatlantic 100 EWD est un indice équipondéré et composé des 70 plus grandes capitalisations boursières de la zone euro dans l’indice STOXX Europe 600® et des 30 plus grandes capitalisation boursières libellées en Euros de
l’indice STOXX North America 600®.

Et le second est le Euronext® CDP Environnement World EWD 5% : il est composé de 40 entreprises : 20 entreprises de la zone US + Canada et 20 entreprises de la zone européennes parmi les 200 plus grandes capitalisations boursières de la zone US + Canada et les 200 plus grandes capitalisations boursières de la zone européenne.

Ces 2 indices permettent ainsi de bénéficier du potentiel des actions européennes et américaines

 

Comme vous pouvez le voir, ces rendements à 2 chiffres sont assez attractifs :

 

 

 

 

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L’équipe EAVEST

Bonjour,

Le mois de mars a cumulé tous les records pour l’Euro Stoxx 50®.

Plus forte baisse des indices sur 1 journée (-12.40% le 12/03). La précédente plus forte baisse datait du 24 juin 2016 avec -8.62%

Plus forte baisse sur un temps aussi court (-30.23% sur 3 semaines)

Le déclenchement d’une guerre des prix sur le pétrole brut a mis le feu aux poudres. L’Arabie saoudite et la Russie n’ont pas réussi à s’entendre sur la stratégie à adopter pour soutenir les cours le 06 mars. L’Arabie saoudite a alors ouvert les vannes de sa production et fait dévisser les cours en espérant faire fléchir la Russie. Les bourses européennes ont alors massivement chuté le 09 mars avec un Euro Stoxx 50® en baisse de 8.45%

L’épidémie de COVID-19, ensuite qualifiée de pandémie par l’OMS, a terminé les espoirs de rebond économique.

Pire, une récession majeure est maintenant envisagée suite à l’appel au confinement de plus de 4 milliards d’individus dans le monde.

 

 

La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice iStoxx® Transatlantic 100 EWD avec une baisse de -15.58%. Son indexation aux actions américaines a permis « d’amortir » légèrement la baisse des actions européennes.

Les indices sponsorisés avec une dimension Mid-caps ont ont subi de plus fortes baisses que les indices large caps (CAC® Large 60 EWER avec -22.74% et le SBF Top 80 EWD 50 points® avec -21.82%).

 

Nous initions pour le mois de mars le suivi d’un indice sponsorisé par Natixis, le Euronext® Water and Ocean Europe 40 EWD 5% et d’un fonds de Lyxor, le Euro Evolution.

Nous vous avions déjà présenté l’indice thématique Water and Ocean de Natixis le 14/02 dernier sur ce blog.

En revanche, la nouveauté vient de la salle des marchés de SGCIB. Un fonds de Lyxor a été créé pour optimiser les conditions de pricing des produits structurés. Cette SICAV luxembourgeoise a pour objectif de s’exposer à la performance d’un portefeuille composé de 50 entreprises de la zone euro sélectionnées en fonction de critères de qualité extra-financière (ESG) et financière, associés à des mécanismes de contrôle des risques (type vol target).

Le fonds détache un dividende fixe d’une valeur annuelle de 5 Euros par part de fonds (valeur liquidative du fonds au 6 septembre 2019* : 107,7 Euros). Sans tenir compte de ces dividendes, l’impact du détachement d’un dividende fixe sur la valeur liquidative du fonds est plus important en cas de baisse du fonds par rapport à son niveau initial (effet négatif) qu’en cas de hausse (effet positif). Ainsi, en cas de marché baissier continu, la baisse de la valeur liquidative du fonds sera accélérée.

 

 

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

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Merci à Frédéric Lorenzini et BFM Business / BFM TV pour la référence à EAVEST

Effectivement, la baisse des sous-jacents combinée avec la hausse de leur volatilité ont violemment fait chuter la valorisation des produits structurés.

En revanche, pas d’inquiétude à avoir !

La protection du capital des produits est valide à maturité. Elles est contractuellement assurée par les émetteurs. Et les émetteurs sont en bien meilleure santé qu’en 2008 !

Une maturité de 10 ans, des protections en capital assez basses et des mécanismes de paiement de coupon à la baisse et / ou des coupons mémoires permettront une nouvelle fois de passer cette crise et d’assurer aux investisseurs des rendements largement positifs.

Interrogez-nous pour avoir un conseil personnalisé.

Par téléphone, e-mail, WhatsApp, FaceTime, Houseparty 🙂 et même Fax (qui a dit Minitel ?), nous répondons présents !

 

Retrouvez içi l’intervention de Frédéric LORENZINI sur BFM TV

 

Valérie Plagnol  collabore à nouveau avec EAVEST !

« L’épidémie du Coronavirus, désormais baptisée Covid-19, n’a pas dit son dernier mot. Si elle semble en régression en Chine – mais les informations restent difficiles à vérifier – elle s’est répandue dans plus de 70 pays, et l’Europe après la Corée du Sud est en première ligne. Les Etats-Unis s’apprêtent à affronter l’épidémie.

La contagion économique gagne également.

Le secteur manufacturier chinois, déjà en repli, subit de plein fouet l’arrêt de l’activité. Le gouvernement qui avait entrepris de juguler les excès de la bulle de crédit, devra faire face à une accumulation de dettes non recouvrables que le secteur bancaire porte déjà avec difficulté. Sur le plan international, la Chine qui pèse près de cinq fois plus lourd qu’il y près de 20 ans, lors de la crise du SRAS, est au cœur d’un système complexe et extraordinairement imbriqué de relations interindustrielles, de chaînes de production éclatées et de lignes de fabrication en flux tendus. Les pays d’Asie du Nord et du Sud Est sont aujourd’hui le plus immédiatement et le plus directement menacés. Or, les autorités sont face à un dilemme particulièrement délicat : les seules mesures de lutte contre la maladie (la quarantaine) vont à l’encontre d’une remise en route rapide de la production. En attendant, les stocks s’épuisent. A mesure que l’épidémie s’étend, les restrictions de circulation sont de plus en plus nombreuses, les annulations d’évènements et de rassemblement également. Les services, jusque-là épargnés, sont percutés de plein fouet. A mesure que dure le confinement, les ressources financières pour les entreprises comme pour les ménages se raréfient. Le choc d’offre se transmet à la demande finale.

Les premières initiatives n’ont pas réussi à apaiser

Face à ces inquiétudes, les organisations internationales, les pays et les autorités monétaires ont commencé à se mobiliser. Mais si le marché est un bon thermomètre de la confiance, le moins qu’on puisse dire est que les premières initiatives n’ont pas réussi à apaiser la fièvre montante des investisseurs. En annonçant le 8 mars qu’elle allait accroître sa production de pétrole, l’Arabie Saoudite, lance une « guerre des prix » que les marchés ont interprété comme un nouveau signal négatif. La contagion et la perte de confiance gagne les investisseurs, d’autant plus qu’ils pressentent que les autorités monétaires n’ont plus que de très faibles marges de manœuvre. Les taux directeurs des banques centrales sont restés très bas, de nombreux états sont fortement endettés ; ceux qui le sont moins, semblent encore réticents à délier les cordons de leurs bourses.

Pour le moment, le scénario retenu est celui d’une durée relativement courte

La crise actuelle sensibilise particulièrement l’investisseur à la gestion de l’incertain. L’irruption d’une épidémie, ses conséquences humaines et économiques, dépendent de très (trop) nombreuses variables. Tout d’abord, le manque de certitude dans les données publiées rend toute estimation très fragile (exactitude dans le dénombrement des personnes atteintes et du nombre de décès, vitesse de propagation, production d’un antivirus). De ces questions découle la difficulté à évaluer la durée, l’ampleur et la sévérité de la maladie. Pour le moment, le scénario retenu est celui d’une durée relativement courte (le pic de la pandémie n’est pas loin, le retour du printemps atténuerait les risques) ; contenue essentiellement au territoire chinois pour l’essentiel des victimes (les mesures de confinement et de quarantaine auraient été efficaces) ; et peu sévère (certes le taux de mortalité est plus élevé qu’une grippe saisonnière, mais il reste encore bien inférieur à des pandémies comme le SRAS ou d’autres épidémies bien plus graves comme Ebola). Les conditions d’identification d’isolement des « clusters » infectés en Europe, retarderaient grandement la propagation du virus et en limiterait les effets.

Si la crise devait s’étendre

Face à ce scenario, les marchés commencent à envisager des alternatives plus graves.

Si la crise devait s’étendre, provoquer d’importantes pertes, et durer plus longtemps, d’un simple choc exogène, on passerait à des bouleversements plus critiques. Apparition de pénuries sur certains produits de première nécessité et hausses de prix, risques de faillites en cascades, intervention massive des Etats sous forme de relâchement budgétaire généralisé. Effondrement durable des prix de l’énergie et des matières premières, accélération des délocalisations/relocalisations hors de Chine.

La question est donc de trouver les supports d’investissement permettant de faire face au mieux à ces éventualités comme de tirer parti des opportunités qui se présenteront. Le malheur des uns peut parfois faire le bonheur des autres. L’incertitude qui plane sur la crise actuelle laisse place à plus de volatilité. Dans le cas d’un choc exogène passager, on assistera à une rotation au profit des secteurs en rebond et en privilégiant de nouveaux regroupement d’activités (les plus faibles étant condamnés à des alliances). Mais dans le cas d’une extension de l’épidémie, les comportements des investisseurs seront plus durablement altérés. Il est donc essentiel de pouvoir prendre le temps de la réflexion et du recul pour identifier les meilleures options. »

Valérie Plagnol
Achevé de rédiger le 9 mars 2020

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Cette analyse de Valérie Plagnol sur les conséquences actuelles du Covid-19 sur l’économie mondiale et les scénarios envisagés dans les mois à venir conforte notre positionnement stratégique sur des produits à vocation défensive.

Vous trouverez ci-dessous 3 propositions d’investissement :

Propositions

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L’équipe EAVEST

Bonjour,

La peur du coronavirus a semé la panique sur l’ensemble des marchés boursiers dans la dernière semaine de février !

Semaine noire avec des replis hebdomadaires supérieur à 10% en moyenne par rapport à leurs récents plus hauts.

Le CAC 40® a clôturé sa pire semaine depuis le mois d’août 2008 avec -11.93%

 

La tendance observée en janvier se confirme sur la relative résistance des indices sponsorisés avec une dimension Mid-caps.

L’Euro Stoxx 50® baisse de -8.55% en février où le CAC® Large 60 EWER baisse de -6,98% , le MSCI® France Select 70 EWD 5% de -7.02% et le SBF Top 80 EWD 50 points® de -7.24%

 

La meilleure performance mensuelle a été réalisée par l’indice Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EWD 5% avec une baisse de -6.22%

Pour rappel, cet indice est sponsorisé par BNP Paribas et est calculé par Euronext®. Il est composé de 40 sociétés (parmi les 60 plus grandes capitalisations boursières françaises) ayant mis en place des stratégies efficaces sur la lutte contre le réchauffement climatique.
Vigeo Eiris, leader européen de la recherche ESG, mesure l’engagement et la dynamique affichée par chacune de ses sociétés en
matière de transition énergétique selon leur secteur d’activité.
L’Indice Euronext® France Energy Transition Leaders 40 EW Decrement 5% équipondère ses composants ce qui signifie que chaque
action représente 2,5 % du poids global de l’Indice à chaque date de rebalancement. Sa composition est revue trimestriellement aux mois de mars, juin, septembre et décembre. Enfin, L’indice est calculé en réinvestissant les dividendes nets détachés des actions qui le composent et en retranchant un prélèvement forfaitaire constant de 5 % par an.

L’Indice est accessible entre autres sur le site https://www.euronext.com/fr/products/indices/FR0013317807-XPAR

 

 

 

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

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Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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