Les conséquences de la faillite de SVB sur les fonds durables :

La faillite de la Silicon Valley Bank (SVB) a eu d’importantes conséquences sur les fonds durables qui avaient investi dans cette institution financière. SVB répondait à des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG).

Plusieurs fonds avaient investi dans SVB. Par exemple, les fonds de gestion américains Black Rock et Vanguard qui détenaient 8 et 11% des actions.

Alecta, avait aussi investi dans la SVB et détenait 4,5% du capital. La société suédoise était considérée comme un acteur ESG – cela du à son expertise dans le financement de projets d’énergies propres et de durabilité.

En France, la société de gestion Mirova avait une exposition aux actions SVB à 124 millions d’euros à travers son fonds Sustainable Equity Fund. D’autres fonds tels que ceux de Columbia Threadneedle et AllianceBernstein avaient également investi dans la banque californienne.

La situation de faillite de SVB a relancé le débat sur l’investissement responsable et la pertinence de cette approche.

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Les indices ESG sont en baisse sur le mois de mars avec une moyenne des performances à -1.16%.

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L’équipe EAVEST

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


Avertissement de STOXX

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Les chiffres du mois

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Les indices boursiers

Résultat du mois de mars : un CAC 40 à 7322.39 points au 31/03/2023, soit une hausse de 0.75% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Les Fonds Vol Target

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Les indices Sponsorisés

Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -0.27%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en baisse de -1.60%.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Le résumé du mois

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Après les secousses chez Deutsche Bank, l’AEMF s’intéresse au marché des CDS.

L’Autorité européenne des marchés financiers (AEMF), en collaboration avec les régulateurs nationaux, a récemment annoncé qu’elle examinait le marché des CDS (Credit Default Swap). Les CDS permettent de se couvrir contre le risque de défaut de paiement d’un émetteur. Cette décision fait suite à la récente volatilité des transactions, notamment chez Deutsche Bank. Cette volatilité importante a amené l’AEMF à se poser la question quant à la stabilité du système bancaire européen.

En effet, une transaction sur les CDS a particulièrement alerté les régulateurs de marché chez Deutsche Bank, qui est soupçonné d’avoir alimenté un mouvement de vente mondial vendredi dernier. En raison d’une forte hausse de son Credit Defaut Swap à cinq ans, l’action de la banque allemande a subi un recul important.

Andrea Enria, le président du conseil de surveillance de la Banque centrale européenne (BCE), a prédit un possible effondrement du marché des CDS dans le futur.

Les CDS étant souvent utilisés pour se couvrir contre le risque de défaut de paiement d’un émetteur, peuvent également être utilisés à des fins spéculatives. Dans certains cas, leurs transactions peuvent avoir des effets indésirables sur le marché, ce qui nécessite une surveillance étroite des régulateurs.

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Cinq établissements bancaires accusés de fraude fiscale.

BNP Paribas, Exane, HSBC, Natixis et Société Générale ont fait l’objet de perquisitions dans le cadre d’une enquête pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale.

C’est la PNT (Parquet National Financier) qui a annoncé que des perquisitions avaient eu lieu mardi dans les bureaux des banques accusées à La Défense et à Paris.

En effet,  selon le Parquet National Financier, la fraude pourrait être de 150 milliards d’euros en 20 ans en Europe. Les banques citées auraient permis à leurs clients étrangers d’échapper aux impôts sur les dividendes en utilisant le schéma de fraude ‘’CumCum’’. Le schéma ‘’CumCum’’ est utilisé par les actionnaires étranger. L’actionnaire en question transfère temporairement, autour de la date de versement du dividende, les actions qu’il détient à des établissements bancaires français. Cela dans le but d’éviter les impôts sur les dividendes puisque les banques françaises ne sont que peu taxées sur ces dividendes.

Sur l’affaire, sont positionnés 150 enquêteurs de Bercy, 16 magistrats français et 6 allemands.

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La Banque du Japon achète 1 000 milliards de dollars d’obligations d’État nippones au cours de l’année fiscale.

Au cours de l’année fiscale, la Banque du Japon a acheté 1 000 milliards de dollars d’obligations d’État nippones, cela dans le but de contrer les critiques des investisseurs concernant sa politique de taux d’intérêt ‘’ultra-bas’’. La Boj a annoncé que les achats nets d’obligations d’État ont atteint un niveau record de 135 989 milliards de yens, soit près de deux fois le montant de l’année précédente. Pour défendre sa politique de plafonnement, la banque centrale a été contrainte d’effectuer des achats massifs d’obligations.

Cependant, les investisseurs s’attendent à ce que la politique de contrôle de la courbe des rendements de la BoJ soit modifiée en raison de l’inflation japonaise dépassant l’objectif fixé à 2% et la hausse des salaires des grandes entreprises.

En décembre, la Banque du Japon a accepté une plus grande fluctuation des rendements à dix ans, ce qui a renforcé les spéculations sur cette politique d’achat d’obligations.

De plus, la BoJ a augmenté le montant maximal de ses achats d’obligations d’État pour toutes les échéances au cours des trois prochains mois.

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La baisse de l’inflation permet au CAC40 de dépasser les 7300 points !

La Bourse de Paris a enregistré une légère hausse grâce à la baisse de l’inflation dans la zone euro. En mars, les prix à la consommation ont augmenté de 6,9% sur un an, alors que les économistes estimaient une augmentation de 7,1%. Toutefois, en excluant les secteurs de l’énergie et de l’alimentation, les prix continuent d’augmenter.

La baisse de l’indice général est principalement due à la diminution des coûts de l’énergie. La guerre en Ukraine avait fait exploser les prix du gaz et du pétrole il y a tout juste un an. En revanche, cette hausse a été absorbée et laisse entendre une potentielle hausse des prix (hors secteur de l’énergie et de l’alimentation).

Le CAC 40 a atteint les 7 330,78 points vendredi en fin de journée. Ce résultat confirme la progression de l’indice sur le mois de mars et lui permet de proposer deux trimestres de hausse consécutifs, une première depuis la fin 2021.

Michael Hewson, de CMC Markets, rappelle que selon Christine Lagarde, la présidente de la Banque centrale européenne, il n’y a pas de compromis entre l’inflation et la stabilité financière. Toutefois, il exprime que l’histoire a montré que les deux sont liés, et qu’aucune banque centrale ne continuera à relever ses taux si la stabilité financière est en jeu.

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Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant : Février – PERFORMANCE DES INDICES POUR PRODUITS STRUCTURÉS.

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Communiqué de presse
Paris, le 13 septembre 2022

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Manymore fait évoluer « Prisme » en nouant un partenariat avec Eavest pour suivre la vie des produits structurés

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Manymore, acteur clef, des solutions logicielles à destination des Conseils en Gestion de Patrimoine à
travers son outil Prisme (CRM, outil réglementaire et d’agrégation de données, analyse patrimoniale)
et Eavest, « structureur », distributeur de produits et détenteur de la plus grosse base de données en
produits structurés ont décidé de lier leurs outils pour apporter la meilleure expérience utilisateur
possible aux clients de Manymore.
A cet effet, Manymore et Eavest ont construit une fonctionnalité novatrice pour permettre aux utilisateurs de Prisme de suivre la vie des produits structurés distribués à leurs clients à travers des alertes sur les principaux événements d’un structuré :

  • Paiement d’un coupon
  • Confirmation du strike
  • Rappel par anticipation
  • Remboursement à maturité
  • Pas de rappel et coupon mémorisé
  • Pas de rappel et coupon perdu

Pierre-Laurent Fleury, président de Manymore déclare : « Avec ce nouveau service, et avec l’appui de Eavest, nous apportons à Prisme une fonctionnalité novatrice et à forte valeur ajoutée. Nous sommes ravis de faire connaître aux clients de Prisme la plateforme online de conseil en produits structurés d’Eavest »

Franck Magne, président de Eavest ajoute : « Ce nouveau partenariat unique s’inscrit pleinement dans la volonté d’Eavest de démocratiser l’utilisation et la compréhension des produits structurés. Nous sommes fiers d’apporter cette valeur ajoutée à Manymore. Cela va aussi nous permettre d’intensifier notre présence et notre activité auprès de tous les acteurs de la place. Je suis convaincu que nous sommes au début d’un très belle aventure humaine et professionnelle. »

En effet, s’il est aisé de suivre les fonds ‘classiques’ et de les intégrer dans les outils de gestion comme Prisme grâce à des data providers, il est en revanche très difficile de suivre les fonds structurés provenant d’une multitude de ‘structureurs’.

Les utilisateurs de Prisme auront directement accès aux services d’Eavest sur les produits structurés
sur la plateforme https://www.eavest.com/ : analyse produits, alertes sur les événements, consolidation automatique du portefeuille, génération de reporting grâce à une synchronisation des données issues de l’agrégation dans Prisme.

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Contact : Xavier Millischer
+33 (0) 6 89 24 93 77 – xmillischer@eavest.com

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À propos d’Eavest :

Eavest est la structure créée en 2013 par Franck Magne, spécialisée dans le conseil en produits structurés. Indépendante de tout groupe bancaire ou assureur, elle accompagne ses partenaires CGP, Family Office, Banques Privées et entreprises dans la construction, le suivi et l’analyse de leurs
produits. Forte de son équipe de collaborateurs, analystes et spécialistes des marchés financiers, et au-delà de son implantation parisienne et en région, Eavest intervient également dans toute l’Europe francophone.

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À propos de Manymore :

Manymore est la résultante de la fusion en cours de Manymore créée par Pierre-Laurent Fleury et PLPSoft créée par Gilles Artaud. Manymore est un acteur clef des outils pour les CGP, les sociétés de gestion et les banques privées à travers une suite logicielle allant du KYC, en passant par le réglementaire, l’agrégation de données, le CRM, les outils de calcul, de diagnostics et préconisation patrimoniale. Par ailleurs Manymore est leader dans les outils de digitalisation des actes en ligne pour les compagnies d’assurance.

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L’équipe EAVEST

23-25 RUE DUMONT D’URVILLE

75116 PARIS

FRANCE

+33 (1) 85 73 44 20

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Les critères ESG : Les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG)

EAVEST, soucieux des critères ESG, met à votre disposition mensuellement des informations sur la performance des indices intégrant ces mesures. Aujourd’hui, compte tenu de l’actualité de plus en plus forte autour de cette thématique, et afin de vous apporter plus de clarté, EAVEST a décidé d’y consacrer un reporting mensuel.

Les critères ESG permettent d’évaluer la prise en compte du développement durable et le respect environnemental dans une société. Ils rendent compte de l’agissement de la société dans le secteur de l’environnement, du droit du travail et de la gouvernance.
Les premières initiatives dans l’évaluation des entreprises et des titres financiers ont débuté dans les années 90.

Le critère environnemental prend en compte le recyclage des déchets, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la prévention des risques environnementaux. Le critère social met en œuvre la prévention des accidents, la formation du personnel, le respect du droit de l’employé, la supply chain et le dialogue social.

Pour finir, le critère de gouvernance vérifie l’indépendance du conseil d’administration, la structure de gestion et la présence d’un comité de vérification des comptes. Les entreprises qui intègrent les critères ESG poursuivent un objectif double : l’amélioration de leurs performances et la valorisation de leur image.

De nombreux indices existent à ce sujet et sont représentés ci-dessous dans le tableau. De plus, un indice boursier très lisible du grand public a été créé le 22 mars 2022 à cet effet : le CAC 40 ESG. Le CAC 40 ESG est un indice boursier composé de 40 valeurs, parmi les 60 entreprises présentes dans le CAC 40 et dans le CAC Next 20. Cet indice a été lancé dans le but d’accélérer la transition vers une économie durable.

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Les indices ESG sont en hausses sur le mois de février avec une moyenne des performances à 2.03%.

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Les chiffres du mois

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Les indices boursiers

Résultat du mois de février : un CAC 40 à 7267.93 points au 28/02/2023, soit une hausse de 2.62% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Les Fonds Vol Target

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Les indices Sponsorisés

Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de 2.20%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de 1.24%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Le résumé du mois

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La descente des taux n’est pas encore dans les plans de la BCE.

Les marchés financiers n’ont actuellement pas d’espoir de voir les taux d’intérêt diminuer sur une longue période. En effet, les chiffres d’inflation en février en France (+7,2%) et en Espagne (+6,1%) ont été plus élevés que prévu. De plus, les propos d’un membre de la BCE, Philip Lane, ont entraîné une augmentation des taux d’intérêt européens à long terme, les amenant à leur plus haut niveau depuis 2011.

Les investisseurs ont commencé à prendre conscience que l’inflation est trop élevée pour que les banques centrales relâchent la pression, et les taux d’intérêt ont commencé à augmenter, tandis que les marchés d’actions restent incertains. La semaine dernière, les cours mondiaux ont baissé, et les indices européens ont perdu environ 2%, le S&P 500 a lui diminué de près de 3%.

Les investisseurs craignent que la Banque centrale européenne ne doive relever son taux de dépôt, qui pourrait atteindre 4% d’ici fin 2023-début 2024, un niveau jamais atteint depuis la création de l’euro. La BCE a également annoncé son intention de maintenir des taux directeurs restrictifs pendant une longue période une fois qu’ils auront atteint leur apogée, ce qui devrait se produire en mars après le prochain Conseil des gouverneurs.

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Des dividendes records en cette année 2022.

Au cours de l’année 2022, les entreprises ont distribué un montant record de dividendes dans le monde entier, atteignant 1 560 milliards de dollars, soit une augmentation de 8,4% par rapport à l’année précédente.

Cette croissance a été principalement produite par les producteurs de pétrole et de gaz ainsi que les sociétés financières. Les producteurs de pétrole et de gaz ont connu de très bons bénéfices en raison de la hausse des coûts de l’énergie. Quant aux établissements financiers, ils ont également connu une croissance des dividendes grâce à la remontée des taux d’intérêt et à la levée des restrictions de versement de dividendes qui avaient été imposées pendant la pandémie.

Cette année, 88% des entreprises cotées ont augmenté ou maintenu leurs dividendes. Les Etats-Unis, le Brésil et la Chine ont enregistré des distributions jamais vues en dollars, tandis que les marchés émergents, l’Asie-Pacifique hors Japon et l’Europe ont connu une hausse d’environ 20% des dividendes.

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Le taux de dépôt de la BCE pourrait monter à 4% d’après la banque Morgan Stanley.

Malgré la persistance des tensions inflationnistes en zone euro, la banque américaine Morgan Stanley a annoncé sa prévision de l’augmentation du taux de dépôt de la Banque centrale européenne (BCE) de 3,25% à 4%.

Morgan Stanley n’est pas la seule banque d’investissement à avoir revu à la hausse ses prévisions de la hausse des taux d’intérêt de la BCE, on y retrouve par exemple Goldman Sachs, JP Morgan et Deutsche Bank. Ils prévoient d’ailleurs une hausse allant jusqu’à 3,75% – par rapport au taux actuel de 2,50%.

Eurostat, fondée par le Parlement européen, a dévoilé des données montrant que l’inflation dite «sous-jacente» (hors alimentation, tabac, énergie et alcool) était égale à 5,6%.

De plus, si l’inflation sous-jacente restait élevée, Pierre Wunsch, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE, a déclaré que la BCE pourrait relever son taux directeur jusqu’à 4%.

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Baisse de la production industrielle en ce mois de janvier !

En ce mois de janvier 2023, la production industrielle française a brusquement chuté.

En effet, selon les données de l’INSEE, après une hausse de 1,5% en décembre, l’ensemble des productions de l’industrie a diminué de 1,9%.

La diminution de la production s’est surtout constatée dans les industries extractives (-3 %) et dans la fabrication de produits industriels divers (-2 %) – notamment dans le domaine pharmaceutique qui a connu une forte baisse. Le secteur des matériels de transport a également enregistré une baisse importante de sa production (-6,7 %).

Sur la période de novembre 2022 à janvier 2023, la production a stagné dans l’ensemble (hors quelques industries). Par exemple, l’industrie de caoutchouc plastique a diminué de 4%, les industries chimiques de 9%, les industries du bois et papier de 5,5% et l’industrie extractive énergies et eau ont subi un recul de 11%.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Les critères ESG : Les critères Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance (ESG)

EAVEST, soucieux des critères ESG, met à votre disposition mensuellement des informations sur la performance des indices intégrant ces mesures. Aujourd’hui, compte tenu de l’actualité de plus en plus forte autour de cette thématique, et afin de vous apporter plus de clarté, EAVEST a décidé d’y consacrer un reporting mensuel.

Les critères ESG permettent d’évaluer la prise en compte du développement durable et le respect environnemental dans une société. Ils rendent compte de l’agissement de la société dans le secteur de l’environnement, du droit du travail et de la gouvernance.
Les premières initiatives dans l’évaluation des entreprises et des titres financiers ont débuté dans les années 90.

Le critère environnemental prend en compte le recyclage des déchets, la réduction des émissions de gaz à effet de serre et la prévention des risques environnementaux. Le critère social met en œuvre la prévention des accidents, la formation du personnel, le respect du droit de l’employé, la supply chain et le dialogue social.

Pour finir, le critère de gouvernance vérifie l’indépendance du conseil d’administration, la structure de gestion et la présence d’un comité de vérification des comptes. Les entreprises qui intègrent les critères ESG poursuivent un objectif double : l’amélioration de leurs performances et la valorisation de leur image.

De nombreux indices existent à ce sujet et sont représentés ci-dessous dans le tableau. De plus, un indice boursier très lisible du grand public a été créé le 22 mars 2022 à cet effet : le CAC 40 ESG. Le CAC 40 ESG est un indice boursier composé de 40 valeurs, parmi les 60 entreprises présentes dans le CAC 40 et dans le CAC Next 20. Cet indice a été lancé dans le but d’accélérer la transition vers une économie durable.

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Les indices ESG sont en hausses sur le mois de janvier avec une moyenne des performances à 8.26%.

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L’équipe EAVEST

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Bilan du mois de janvier 2023 :

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Les chiffres du mois

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Les indices boursiers

Résultat du mois de janvier : un CAC 40 à 7082.42 points au 31/01/2023, soit une hausse de 9.40% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Les Fonds Vol Target

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Les indices Sponsorisés

Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de 8.59%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de 8.37%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Le résumé du mois

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Point sur la santé financière mondiale.

Les actions et les obligations ont progressé jeudi, les investisseurs pariant sur le fait que les taux d’intérêt sont proches de leur niveau maximal, tant aux États-Unis qu’en Europe. L’indice S&P 500 a augmenté de 1,5% et le Nasdaq Composite de 3,3%, grâce aux valeurs technologiques comme Facebook. Le niveau de clôture du Nasdaq était supérieur de 19,5% à son récent point bas de décembre. 

Les obligations du Trésor américain ont poursuivi leur remontée après que la Réserve fédérale a relevé modestement les taux d’intérêt et laissé entendre que la série de hausses de taux agressives était sur le point de prendre fin. Le rendement à deux ans, sensible aux taux, a baissé de 0,03 point de pourcentage pour atteindre 4,10%. 

La Banque d’Angleterre a exprimé des sentiments similaires, sa hausse des taux d’intérêt d’un demi-point étant largement attendue et les indications précédentes selon lesquelles elle continuerait à freiner l’inflation ayant été abandonnée. En revanche, la Banque centrale européenne a relevé ses taux d’un demi-point et s’est engagée à faire de même en mars, mais a souligné que les décisions futures en matière de taux dépendraient des données économiques à venir. 

L’indice européen Stoxx 600 a augmenté de 1,3% et le Dax de 2,2%. Les opérateurs s’attendent à ce que la prochaine hausse des taux de la Banque d’Angleterre soit la dernière, les coûts d’emprunt devant atteindre un pic à 4,25% d’ici août. Les marchés s’attendent à ce que les taux de la zone euro culminent à 3,25% en été. 

L’indice du dollar a augmenté de 0,5% après avoir perdu plus d’un dixième de sa valeur au cours des trois derniers mois. Les marchés boursiers asiatiques ont enregistré des résultats mitigés, avec un recul de 0,5 % pour le Hang Seng de Hong Kong, un recul de 0,3% pour le CSI 300 de Chine et une hausse de 0,2% pour le Nikkei du Japon.

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La Bourse de Paris connaît son plus haut depuis un an.

Après l’annonce dans les dernières 24h de Jerome Powell pour la FED, Andrew Bailey pour la BOE et Christine Lagarde pour la BCE, la Bourse de Paris a vu son indice à la hausse ce jeudi grâce au discours des dirigeants des banques centrales qui se veut rassurant.

L’indice du CAC 40 a gagné 1,26% soit 89,16 points à 7.166,27 points. Depuis le début de la semaine, la cote s’est stabilisée dans l’attente des déclarations des banques centrales.

En effet, sans grande surprise, la BCE a décidé de relever ses taux directeurs de 50 points de base, comme en décembre dernier. Une hausse similaire est prévue au mois de mars afin de combattre l’inflation puis la Banque Centrale Européenne évaluera la trajectoire future de sa politique monétaire.

Sa présidente, Christine Lagarde n’évoque pas la future hausse comme étant obligatoire, et permet donc d’entrevoir un potentiel pic dans la hausse des taux.

De la même manière, la Banque d’Angleterre a également augmenté ses taux d’intérêt directeurs de 50 points de base mais sans garantir une nouvelle hausse.

La Fed quant à elle avait modéré sa hausse des taux mercredi.

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Hausse des taux de la banque d’Angleterre : le cycle de resserrement pourrait bientôt toucher à sa fin.

L’incertitude a entouré la récente réunion du Comité de politique monétaire de la Banque d’Angleterre au Royaume-Uni, qui a finalement décidé de relever son taux directeur de 0,5 point à 4%, un niveau inégalé depuis 14 ans. La banque centrale justifie cette décision en raison de la hausse de l’inflation à un niveau mondial élevé et de pressions domestiques plus fortes que prévu.

Cette dixième hausse consécutive des taux d’intérêt est le resserrement monétaire le plus rapide depuis les années 1980 et est motivée par une augmentation des salaires dans le secteur privé et une hausse des prix dans les services. Cependant, les perspectives économiques sombres du Royaume-Uni, qui est le seul pays avancé en récession en 2023 selon le FMI, pourraient indiquer une pause dans ce resserrement.

La Banque d’Angleterre prévoit une contraction du PIB de 0,5 % en 2023, bien que la récession soit plus courte et moins profonde que prévu en novembre. Elle prévoit également une baisse de l’inflation en dessous de 4 % cette année. Ce cycle de resserrement pourrait donc bientôt toucher à sa fin, les économistes de Nomura estiment que la Banque d’Angleterre devrait relever les taux de 0,25 point en mars avant une prévision d’une réduction des taux dans un avenir proche.

La Banque d’Angleterre maintient sa politique monétaire restrictive face à l’inflation, malgré la récession en cours au Royaume-Uni.

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Les bénéfices attendus par Apple ne sont pas atteints pour la première fois depuis 2016.

Apple a annoncé hier des résultats trimestriels inférieurs pour le quatrième trimestre de l’année 2022. Les ventes de l’entreprise se sont établies à 117,2 milliards de dollars, une baisse de 5%. Cette baisse a été causée par des restrictions dues à la pandémie de COVID-19 en Chine et un dollar fort, qui ont entraîné une réduction des ventes d’iPhone.

Le bénéfice par action était de 1,88 dollar, ce qui est inférieur aux attentes de Wall Street. Cela représente une première depuis 2016 pour le géant de la technologie, qui a enregistré des bénéfices records ces dernières années grâce à ses iPhones.

Les nombreux confinements ont également eu un impact sur la production d’iPhones en Chine, où les ventes ont baissé de 7% (23,9 milliards de dollars) au quatrième trimestre.

Malgré cela, le PDG d’Apple, Tim Cook, a déclaré à Reuters que les difficultés rencontrées en Chine avaient pris fin puisque Pékin a renoncé à la politique ‘’zéro-covid’’et qu’ils s’attendaient à une remontée des ventes au cours du prochain trimestre. Seules les catégories de services et d’iPad sont restées des produits à ne pas être affectées par la pandémie et les restrictions.

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Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant : Décembre – PERFORMANCE DES INDICES POUR PRODUITS STRUCTURÉS.

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L’équipe EAVEST

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Les dividendes sont un des moteurs de performance essentiel pour les produits structurés.

En effet, les produits structurés de famille AUTOCALL et PHOENIX vont présenter des coupons plus élevés, des protections en capital plus fortes si le dividende de leur sous-jacent est élevé.

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Qu’est-ce qu’un dividende ?

Un dividende est une somme d’argent que les actionnaires d’une entreprise reçoivent régulièrement, généralement de façon trimestrielle ou annuelle, pour chaque action qu’ils possèdent. Les dividendes sont généralement versés à partir des bénéfices de l’entreprise, bien que cela puisse varier en fonction des politiques de chaque entreprise. Les actionnaires qui reçoivent des dividendes perçoivent un revenu régulier, mais ils peuvent également voir la valeur de leurs actions diminuer si l’entreprise décide de réduire ou de supprimer les dividendes. Les dividendes peuvent être un facteur important pour les investisseurs dans leur décision d’acheter ou de conserver des actions d’une société.

Rappelons que les niveaux des dividendes passés ne préjugent pas des niveaux des dividendes futurs.

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▷ Qu’est-ce qu’un dividende « synthétique » dans les sous-jacents à décrément ?

À l’inverse du dividende payé par la société (cf plus haut), le dividende dit « synthétique » est fixé en amont par la banque émettrice d’un produit structuré.

Ce montant forfaitaire annuel est constant dans le temps. Il peut être un montant en EUR ou un montant en % du cours de l’action.

Le dividende synthétique sera prélevé sur une base quotidienne, qui diffère de la fréquence de distribution des dividendes versés par l’entreprise.

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▷ Quelle relation entre « dividende »,  « dividende synthétique » et sous-jacent décrément ?

Les nouveaux indices à décrément réinvestissent les dividendes bruts versés par l’entreprise et déduisent de la performance du cours de l’action le montant forfaitaire annuel.

La valeur de ces indices pourra s’écarter du cours de l’action (dividendes non réinvestis).

Si les dividendes distribués par l’entreprise sont inférieurs (respectivement supérieurs) au niveau de ce montant forfaitaire fixe annuel, la per­formance de l’Indice en sera pénalisée (respectivement améliorée) par rapport au cours de l’action (dividendes non réinvestis).

Dans le cas d’un dividende synthétique en EUR, cette performance sera d’autant plus pénalisée en cas de baisse de l’Indice. En effet, la baisse de l’Indice sera accélérée et amplifiée, car ce prélèvement forfaitaire de niveau fixe pèsera plus fortement, relativement au niveau de l’Indice.

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L’article ci-dessous rédigé par Le Monde du 26/01/2023 basé sur une étude de l’étude annuelle d’Allianz Global Investors indique que les entreprises européennes devraient distribuer EUR 387 milliards à leurs actionnaires contre EUR 382 milliards en 2022. Si les perspectives de l’étude se révèlent justes, les indices décrément devraient bien performer et les produits structurés remplir leur contrat de performance avec rappel et coupon pour les investisseurs. 

Le Monde : Versement de dividendes : nouveau record en vue en 2023

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Contactez-nous pour en savoir plus !

L’équipe Eavest

Florian Kronland a rejoint nos équipes.

Diplômé en Master Finance – spécialisation Finance de Marché par l’ESCP Business School – Florian a d’abord effectué plusieurs expériences au sein du secteur bancaire :

  • Chez BNP Paribas Asset Management – pour promouvoir les fonds de la banque auprès d’institutions financières externes (compagnies d’assurance vie, fonds et banques privées locales France et Monaco).
  • Chez HSBC Paris en tant que Sales Produits Structurés / Dérivés actions à destination d’une clientèle institutionnelle européenne.
  • Puis au sein de la salle de marché zurichoise de Crédit Suisse, secteur Produits Structurés Cross-Asset, à destination d’une clientèle banque privée localisée dans les pays de l’Europe, l’Europe émergente, ainsi que la Russie et la Turquie.

Depuis novembre 2022 il a rejoint l’équipe Eavest en tant que Sales Produits Structurés auprès d’une clientèle de Banques Privées, CGP et Family Offices dans le sud de la France.

Hugues Bertolin a rejoint nos équipes.

Depuis plus de 20 ans, Hugues développait une activité de banquier privé auprès d’une clientèle haut de gamme et Corporate : E.T.I, PME > CA 15M€ dans le Sud de la France.

Il créé de toutes pièces 3 portefeuilles, d’abord avec Legal & General Bank, puis 11 ans chez Barclays Bank où il dirigera 6 points de vente en tant que directeur de groupe.

Depuis 3 ans, banquier privé gérant de fortune au sein de la Banque Palatine, il développait en lien avec la salle de marché une offre de produits structurés sur mesure pour la trésorerie des E.T.I et clients banque privée.

En nous rejoignant, par sa connaissance des réseaux métiers : CGPI, FO, Corporate et son expérience dans la commercialisation de produits structurés, Hugues accompagne le développement d’Eavest dans le Sud.

Bilan du mois de décembre 2022 :

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Les chiffres du mois

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Les indices boursiers

Résultat du mois de décembre : un CAC 40 à 6473.76 points au 30/12/2022, soit une hausse de -3.93% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Les Fonds Vol Target

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Les indices Sponsorisés

Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -4.34%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en baisse de -4.49%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Le chiffre du mois :

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Le résumé du mois

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La banque de Japon choque les marchés.

La Banque du Japon (BoJ) a récemment choqué les marchés en élargissant de 25 à 50 points de base la fourchette dans laquelle les obligations d’État à 10 ans pouvaient se négocier. Ce geste a amené les investisseurs à croire que la BoJ mettait fin à sa politique de contrôle de la courbe des taux, en vertu de laquelle elle s’engageait à acheter autant d’obligations que nécessaire pour plafonner les coûts d’emprunt et stimuler l’activité économique et l’inflation. La politique de contrôle de la courbe des taux a été introduite en 2016, et le Japon connaît désormais une inflation constamment supérieure à son objectif de 2 %. Le taux d’inflation de base (hors aliments frais mais incluant l’énergie) a atteint 3,7 % en novembre, soit le taux le plus élevé depuis 40 ans. Par conséquent, certains pensent qu’il est temps pour la BoJ d’envisager de modifier sa politique.

La décision d’élargir la bande de négociation a poussé les rendements de deux à dix ans à leur plus haut niveau depuis 2015. Les marchés semblent s’attendre à ce que la BoJ élargisse la bande de négociation de 50 points supplémentaires cette année et ont intégré 24 points de base de hausse des taux, comme en témoigne le comportement des swaps sur indices, un marché sur lequel la BoJ n’a pas d’influence directe. Le fait que la BoJ possède plus de la moitié de l’encours des émissions d’obligations d’État japonaises a déjà réduit les échanges sur l’obligation à 10 ans, et si les investisseurs continuent à défier la BoJ, celle-ci pourrait être obligée d’acheter toutes les obligations ou d’abandonner.

Il existe des arguments pour et contre un changement de politique de la BoJ. L’un de ces arguments est que l’inflation actuelle du Japon est insoutenable, car elle a été alimentée par les prix mondiaux de l’énergie et des denrées alimentaires et par la faiblesse de la monnaie, ce que l’on appelle l’inflation par les coûts. Les responsables de la BoJ affirment que la déflation ne sera pas vaincue tant que les salaires n’augmenteront pas plus rapidement, mais les négociations salariales du syndicat shunto du printemps de cette année devraient entraîner des augmentations de salaire plus importantes pour compenser la hausse de l’inflation, ce qui pourrait générer l’inflation tirée par la demande que la BoJ souhaite.

Il est admis que la fin du contrôle de la courbe des taux ne sera pas un processus sans heurts et qu’elle a provoqué des perturbations du marché et des pertes pour les investisseurs dans le passé, lorsqu’elle a été mise en œuvre par d’autres banques centrales. La Réserve fédérale a plafonné les rendements pour financer l’effort de guerre américain de 1942 à 1951, et lorsque les plafonds ont pris fin, cela a entraîné des pertes pour les investisseurs détenant des obligations à long terme et de fortes perturbations sur les marchés hypothécaires. De même, la Reserve Bank of Australia a pratiqué le contrôle de la courbe des taux de mars 2020 à novembre 2021, et dans un post-mortem de sa politique, la RBA a admis que le maintien de cette politique après que les acteurs du marché aient cessé d’y croire signifiait que « la sortie fin 2021 a été désordonnée et a entraîné un fort élargissement des spreads sur les obligations d’entreprises et les bons bancaires. » En conséquence, il est suggéré que la BoJ devrait agir maintenant pour éviter un résultat similaire.

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Les investisseurs étrangers en actions chinoises sont confrontés à un dilemme en ce qui concerne les notations environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

Alors que la Chine offre un potentiel de rendements élevés grâce à son grand marché de consommation et à ses secteurs de la technologie et des services en pleine croissance, ses entreprises sont moins bien classées que la plupart des marchés émergents en matière de notation ESG. Cette situation est problématique pour les investisseurs internationaux, qui tiennent de plus en plus compte des notations ESG dans leurs décisions d’investissement, car les règles et les normes de durabilité généralement appliquées dans les juridictions occidentales ne correspondent pas aux réalités du terrain en Chine.

Ce problème a été mis en évidence par l’agence de notation durable Sustainalytics, qui a rétrogradé trois entreprises technologiques chinoises – Tencent, Weibo et Baidu – au rang de « non conformes aux principes des Nations unies » en octobre. Cette décision a choqué certains investisseurs axés sur l’ESG, car Tencent, en particulier, est très présente dans les portefeuilles chinois de nombreux investisseurs institutionnels étrangers. Le déclassement a entraîné une rotation de plus d’un quart du principal indice chinois de WisdomTree Asset Management, car le fonds a dû vendre les entreprises à moins de cesser de se prétendre un fonds ESG.

Liqian Ren, qui gère les investissements en Chine chez WisdomTree, a commenté la situation en disant : « C’est une grande partie du portefeuille. Mais d’un autre côté, c’est effectivement un domaine auquel les gens s’intéressent… et tout l’intérêt de l’ESG est que les gens prennent position sur certaines questions. » La tendance à accorder un rôle plus important à l’ESG dans les décisions d’investissement aurait faibli à la suite de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, car certains se plaignent que les considérations de durabilité ont alimenté la hausse des coûts de l’énergie et inhibé le développement des ressources. Toutefois, Fitch Ratings estime que le coup porté à l’ESG a été une « réaction à court terme à des conditions difficiles » et que les perspectives à plus long terme restent celles d’une allocation accrue de capitaux publics et privés aux initiatives de durabilité.

La demande de services de notation ESG est en hausse, Sustainalytics ayant déclaré des revenus de 76,8 millions de dollars au cours des neuf premiers mois de l’année, soit une augmentation de 36 % en glissement annuel. La prise en compte des critères ESG ne concerne pas seulement les entreprises chinoises, mais aussi les multinationales et les investisseurs de ces entreprises. Hong Kong Watch, un groupe britannique qui étudie les investissements et les droits de l’homme en Chine, a demandé au gouvernement britannique de créer un registre public des entreprises britanniques ayant des liens avec la province chinoise du Xinjiang, où le gouvernement chinois est accusé de commettre des violations des droits de l’homme contre les musulmans ouïgours. Le groupe a également demandé au gouvernement britannique d’imposer des sanctions aux entreprises ayant des liens avec le Xinjiang.

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Les gestionnaires d’actifs se tournent vers les contrats de « sous-conseil » afin de pénétrer de nouveaux marchés et d’augmenter les actifs tout en limitant les coûts.

Dans le cadre d’une relation de sous-conseil, le gestionnaire principal est propriétaire du fonds et se charge de collecter et de gérer l’argent des clients, tandis que le sous-conseiller est responsable des décisions d’investissement. Cet arrangement est particulièrement intéressant pour les gestionnaires de fonds européens qui cherchent à pénétrer sur le marché américain et pour les gestionnaires institutionnels qui souhaitent s’adresser aux investisseurs individuels, car il leur permet d’exploiter le marché de détail américain sans avoir à investir dans d’importantes forces de vente.

De part et d’autre de l’Atlantique, les gestionnaires d’actifs qui proposent traditionnellement des fonds communs de placement concluent également des accords similaires afin d’étendre leurs stratégies d’investissement à des secteurs à croissance rapide tels que les fonds négociés en bourse (ETF) ou les comptes gérés séparément. Les actifs gérés par des sous-conseillers aux États-Unis ont presque doublé entre 2013 et 2021 pour atteindre 3,1 milliards de dollars, avant de retomber à 2,4 milliards de dollars en 2022, avec une croissance particulièrement rapide des ETF.

La tendance aux accords de sous-conseil a également été observée au Royaume-Uni, où Schroders a conclu son premier accord de sous-conseil en 2016 et sert désormais de sous-conseiller pour 52 fonds représentant 46,7 milliards de dollars d’actifs. La plupart des gestionnaires de fonds ne divulguent pas la répartition des frais dans les accords de sous-conseil, mais ISS Market Intelligence estime que le sous-conseiller recevra 30 points de base ou moins des frais de gestion de 60 à 70 points de base d’un fonds.

Les grandes sociétés de distribution telles que Vanguard et Hartford ont tendance à conclure des accords avec des sous-conseillers qui ont une marque forte et qui font partie du nom du fonds, ou qui sont spécialisés dans un domaine d’investissement particulier que la grande société n’a pas en interne. La conclusion d’un accord de sous-conseil avec une grande société de fonds peut être un processus long, la plateforme de fonds passant beaucoup de temps à examiner les antécédents, la gouvernance et les performances du gestionnaire avant d’accepter l’accord.

Ces accords peuvent être bénéfiques à la fois pour le gestionnaire de fonds principal et pour le sous-conseiller, car le gestionnaire de fonds principal a accès à un marché plus vaste et à un réseau de distribution préexistant, tandis que le sous-conseiller a accès à une plus grande réserve d’actifs et a la possibilité d’étendre ses stratégies d’investissement. Cependant, certains critiques affirment que les accords de sous-conseils peuvent être complexes et ne sont pas toujours dans le meilleur intérêt de l’investisseur final, car il peut être difficile de déterminer qui est réellement responsable des décisions d’investissement.

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Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant : Novembre – PERFORMANCE DES INDICES POUR PRODUITS STRUCTURÉS.

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L’équipe EAVEST

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

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Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


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L’ANACOFI se renforce en Finance d’Entreprise

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Paris, le 20 décembre 2022

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L’ANACOFI est la plus importante association professionnelle des entreprises du courtage en banque, finance et assurance.

A l’origine fortement teintée gestion de patrimoine, L’ANACOFI a su se doter d’une organisation par métiers et à ce titre elle inclut une section Finance d’Entreprise qui regroupe 250 adhérents.

La section vient de se renforcer par la mise en place d’une Commission Finance d’Entreprise pilotée par Jean-Louis PICOLLO qui s’appuie sur le soutien du Président Confédéral David CHARLET.

Composé d’une dizaine de professionnels reconnus, elle se réuni tous les 4 mois et elle apporte aux adhérents une réflexion et une visibilité sur leurs métiers, sur les bonnes pratiques, sur les formations, et initie des contacts qui viennent ainsi enrichir notre écosystème.

Elle a également pour objectif d’informer le Conseil d’Administration de ses travaux afin de contribuer à ses décisions et prises de positions.

La dernière réunion du 30 novembre 2022 s’est portée sur des analyses du marché et sur les prévisions pour l’année 2023 tenant compte de l’inflation qui touche les entreprises.

Cette réunion a été aussi un moment de partage et de débats avec les FFI (Forces Françaises de l’Industrie) représentées par Laurent MOISSON, ainsi qu’une présentation détaillée de notre nouveau partenaire TRANSEO par Hugo BOVESSE.

La synthèse de nos réflexions est disponible pour tous les adhérents sur le site ANACOFI.

Les membres de la Commission Finance d’Entreprise :

  • Fabienne GRETEAU- COFINGEST
  • Sébastien ROZAIRE – KERIUS FINANCE
  • Ludovic SARDA – PYTHAS CAPITAL
  • Guy COHEN – INGENIERIE SOCIALE
  • Florent GUIGUE – EMERGEANCE
  • Nathalie DESSEAUX et Franck MAGNE – EAVEST
  • Julien DRAY – UNCONFLICTED MANAGEMENT
  • Edouard SEGUIN – PIMENT & Co
  • Jean-Louis PICOLLO – RESOLVYS

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_____________________________________________Contact presse

Marie Lalande – ANACOFI

Tel : 01 40 02 03 74

Mail : m.lalande@anacofi.asso.fr

Cécile Olio

Tel : 01 53 25 50 87

Mail : c.olio@anacofi.asso.fr

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L’ANACOFI EN QUELQUES MOTS

L’ANACOFI est la première instance française de représentation des Conseils en Gestion de Patrimoine, Conseils en Finance d’Entreprise, Courtiers/conseil en banque, finance, assurance-vie et immobilier patrimonial et d’entreprise. Ses élus occupent la majorité des postes d’administrateurs tenus par des français dans des instances internationales représentant les métiers de ses membres et nombre de sièges dans des Commissions, Comités ou Conseils nationaux. L’ANACOFI contrôle la principale association de Conseils en Investissements Financiers (48% des effectifs nationaux), la première association d’Intermédiaires en Opérations de Banques par le nombre d’entreprises, une des plus importantes associations d’agents immobiliers (patrimoniaux) et le principal syndicat de courtiers en assurance-vie/patrimoine par le nombre d’entreprises. Avec sa confédération, elle représente plus de 5000 entreprises, pèse environ 50 000 emplois et est l’une des 10 principales associations IFA au Monde. Le chiffre d’affaires généré par nos membres dépasse 3,6 Md€ et génère autour de 7,5 Md€ de PIB. Elle est inscrite au registre des intérêts de l’Assemblée Nationale, du Sénat et de transparence de l’Union Européenne.

L’Union européenne (UE) a approuvé une réforme majeure de son marché du carbone dans le cadre de son plan visant à réduire les émissions d’au moins 55 % d’ici à 2030 et à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. La réforme fait partie d’un paquet législatif plus large présenté par la Commission européenne en juillet 2021, et elle doit encore être confirmée par un vote au Conseil en décembre et par les députés européens en janvier ou février 2023.

La réforme du marché du carbone vise à encourager la décarbonisation et à fournir des revenus pour la transition énergétique en obligeant les industries qui contribuent à 40 % des émissions de CO2 de l’UE, comme la production d’électricité, l’acier, le ciment et d’autres, à acheter des « permis de polluer » sur le système d’échange de quotas d’émission (ETS).

Ces industries sont responsables de la majorité des émissions de CO2 de l’UE et sont désignées sous le terme d’industrie lourde. L’idée est qu’en exigeant de ces industries qu’elles achètent des permis pour leurs émissions, cela les incitera à réduire leurs émissions afin d’éviter le coût de l’achat de permis supplémentaires.

Depuis 2005, l’industrie lourde est tenue d’acheter ces permis de polluer dans le cadre du SCEQE. Toutefois, le système n’a pas été aussi efficace que prévu pour réduire les émissions de carbone. Cela s’explique notamment par le fait que ces industries ont reçu des millions de quotas gratuits pour éviter les délocalisations, ce qui réduit l’incitation à réduire les émissions. En outre, le prix du carbone est resté trop bas pour constituer une incitation significative à la décarbonisation.

Pour accroître l’efficacité du SCEQE, le nombre de permis disponibles pour ces industries sera progressivement réduit. En conséquence, les secteurs couverts par le SCEQE devront réduire leurs émissions de 62 % d’ici 2030 par rapport à 2005, alors que l’objectif précédent était de -43 %.

Le prix du carbone – actuellement environ 85 € par tonne de CO2 – « sera d’environ 100 € pour ces industries. Aucun autre continent au monde n’a un prix du carbone aussi ambitieux », selon Pascal Canfin, député européen du groupe Renouveau et président de la commission de l’environnement du Parlement européen.

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Outre le SCEQE, la réforme du marché du carbone prévoit également un second marché du carbone (SCEQE2) pour les carburants du transport routier et le chauffage des bâtiments. Cette mesure, qui a été poussée par la Commission et l’Allemagne en particulier, obligera les fournisseurs de carburant, de gaz et de mazout à acheter des quotas pour couvrir leurs émissions.

Cela entraînera un coût supplémentaire pour ces fournisseurs, qu’ils pourront répercuter sur les ménages. Afin de minimiser l’impact social de cette mesure, elle ne concernera dans un premier temps que les immeubles de bureaux et les poids lourds. Les ménages seront touchés à partir de 2027, mais le prix du carbone ne dépassera pas 45 euros avant 2030.

Les recettes du marché du carbone seront utilisées pour des « activités liées au climat », mais il appartient à chaque État membre de décider de l’utilisation des fonds. Certains ont exprimé la crainte que les fonds ne servent à subventionner le charbon et le gaz fossile, au lieu d’être utilisés exclusivement pour les efforts de décarbonisation. En outre, le marché du carbone sera étendu pour la première fois au secteur maritime et aux vols intra-européens, et les usines d’incinération des déchets seront incluses d’ici 2028 ou 2030 au plus tard.

Dans l’ensemble, la réforme du marché du carbone de l’UE représente une étape importante pour renforcer l’ambition des objectifs climatiques de l’UE et accélérer la transition vers une économie à faible émission de carbone. Il s’agit d’une réforme complexe et à multiples facettes qui aura des répercussions très diverses sur les industries et les ménages de l’UE. Son succès dépendra de la mise en œuvre et de l’application des mesures, ainsi que de la volonté des États membres d’utiliser les recettes pour des activités liées au climat.

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L’équipe EAVEST

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Commission Conseils en Finance d’Entreprise

3er Quadrimestre 2022

Inflation, difficultés d’approvisionnement et de recrutement, remboursement des PGE, trésorerie…
LA VISION DES METIERS Finance d’Entreprise de l’ANACOFI sur cette fin d’année 2022 et le début de 2023.

Décidément, la vie n’est pas un long fleuve tranquille pour les chefs d’entreprise. Après le covid qui a vu la mise sous cloche de l’activité économique et la mise en place des diverses « perfusions », nous avons vécu une année 2021 de bonne facture mais dès le début 2022 nous avons entendu les premières inquiétudes chez les chefs d’entreprises, confirmées et accentuées tout au long de l’année que nous venons de vivre. Cette succession de chocs imprévisibles et non modélisables a usé les équipes dirigeantes et on retrouve cette sensation de lassitude dans l’étude de BPI Le LAB REXECODE, où près d’un dirigeant sur deux (47%) pense céder dans les 5 prochaines années avec un prix conforme au marché. Usure passagère, mouvement de fond ou surréaction liée au contexte … Bien que l’incertitude conduise souvent à des positions de replis, gageons qu’une fois de plus les chefs d’entreprises conserveront leur dynamisme et leur optimiste pour affronter 2023. D’ailleurs, les 10 membres de la Commission Finance d’Entreprise, qui rencontrent à eux seuls quelques centaines de chefs d’entreprise par an relèvent la dichotomie entre ce que nous entendons actuellement des chefs d’entreprises et les prévisions pour 2023. Majoritairement nous voyons des entrepreneurs qui nous disent avoir des carnets de commandes plutôt remplis, qui tentent de faire du « fine tuning » avec les hausses de prix de matières premières, et que leurs principaux problèmes restent le niveau de trésorerie et le recrutement, sujet très épineux pour la quasi-totalité d’entre eux. Ces décalages entre les visions micro et macro nous laissent quelques espoirs mais sont aussi la résultante des effets « longue traine » des bons chiffres 2021 et de certaines aides (PGE notamment) pas encore totalement remboursées. Dans ce contexte que pensent les membres de la commission et notre invité Laurent MOISSON des FFI (Forces Françaises de l’industries.)

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Laurent présentez-nous en quelques mots les FFI et votre vision de cette fin 2022 et début 2023 :

Les Forces Françaises de l’Industrie (FFI) sont un mouvement d’entrepreneurs et d’investisseurs qui s’engage pour la réindustrialisation de la France et la valorisation des métiers de production. Ce mouvement est composé :

  • D’un club de 600 membres et présent dans 15 villes,
  • De structures d’investissement thématiques et d’un accélérateur de PME qui a déjà 30 PME et organise des sessions de pitchs entre entrepreneurs et investisseurs tous les mois. Plus de 5 M € ont été ainsi levés ces 15 derniers mois.
  • De structures d’influence dont un média à forte audience sur les réseaux sociaux, « Les Déviations », qui crée des vocations dans les métiers en tensions en racontant l’histoire de gens qui changent de vie.

Notre objectif est de devenir le principal réseau
d’accélération de PME Made in France afin de faire de la France une PME Nation (… il n’y a pas que les starts up dans la vie !)

2023 s’annonce charnière pour la reconquête
industrielle :

Le gouvernement, les acteurs économiques locaux et internationaux ont déclaré leur intérêt pour le sujet et d’importants plans de relance ont été annoncés ou sont à l’étude. La législation française, longtemps peu conciliante, s’assouplit considérablement pour mieux accueillir des unités de production sur notre sol. Par ailleurs le grand public et les entreprises ont pris conscience de la nécessité de retrouver un certain patriotisme économique et un approvisionnement en circuit court dans leur consommation, ce qui va dynamiser la production française…. alors que des menaces comme les pénuries de pièces détachées, de matières premières et l’envolée des coûts de l’énergie planent sur la fragile reprise industrielle. Il est trop tôt pour savoir qui des opportunités ou des menaces seront les plus fortes à court terme, mais une chose est sûre : l’Industrie sera de retour dans nos territoires à moyen et long terme.

Après cette présentation, les membres de la Commission donnent leurs visions de l’actualité économique dans chacune de leurs spécialités.

Au niveau de la fusacq, les cabinets COFINGEST,
EMERGEANCES et RESOLVYS notent une phase
d’adaptation des dossiers cédants qui ont débutés les processus de vente sur des valorisations basées sur les chiffres 2021 et qu’il va falloir sûrement revoir à la baisse. Cet effet conjugué avec la hausse des taux et des conditions d’octroi plus resserrées va « nettoyer » le marché des dossiers tendus et risqués. Le dégonflement la bulle « prix de cession » est finalement assez sain et nous allons revenir à une approche « valeur-business model – BFR » où le risque à un vrai prix. Plus localement, en Poitou Charentes et en Pays de Loire et notamment en VENDEE, département très marqué par un fort dynamisme économique, le constat général est le même avec une problématique récurrente liée à la difficulté à recruter dans des régions où il est très difficile de trouver un logement. L’activité reste soutenue même si on note dans plusieurs secteurs d’activité un ralentissement depuis septembre comme dans la construction ou les travaux publics. Les perspectives sont plus compliquées dans un contexte où l’inflation et notamment le prix de l’énergie et des matières premières pénalisent la rentabilité. A noter d’ailleurs que les établissements bancaires et financiers intègrent aujourd’hui dans leur analyse de risque, les dates de renouvellements de contrats de gaz et d’électricité. La nécessité pour les grands donneurs d’ordres de soutenir leur écosystème de sous-traitants est de plus en plus essentiel. Par la mise en place de solution de Reverse factoring, les grands acheteurs, permettent ainsi d’apporter des solutions de crédit à des taux d’intérêt plus faible, sans impact sur le ratio d’endettement des fournisseurs.

En matière de levée de fonds, Edouard SEGUIN de PIMENT & Co, nous informe que si les fonds d’investissement sont toujours présents et actifs à regarder des dossiers, ils sont nettement plus sélectifs. Les levées de fonds concernent des entreprises qui ont déjà trouvé leur marché, sont in bonis mais ont besoin de fonds propres pour financer leur développement industriel et commercial. Concernant les start-ups, il est impératif qu’elles aient amorcé un premier cycle commercial et qu’elles puissent générer un rendement important et rapide. Les investisseurs ne « paient plus pour voir » comme les années précédentes. En somme, il y a toujours possibilité de lever des fonds mais l’accès est plus restreint que précédemment et plus coûteux (surtout l’obligataire et les montages hybrides).

Au niveau de l’épargne salariale et de la
retraite
, notre spécialiste Guy COHEN, précise que la grande actualité du secteur est la prochaine présentation par le 1er ministre Elisabeth BORNE de son plan de réforme de la retraite le 15 décembre 2022. Nous en connaissons les grandes lignes : Le décalage de l’âge légal du départ à la retraite à 65 ans sera progressif par ajout de 4 mois jusqu’à 2031. La suppression des régimes spéciaux pour les nouveaux agents de la RATP et de la Banque de France.

Julien DRAY de UNCONFLICTED MANAGEMENT basé à PARIS, fait remarquer un net ralentissement des dossiers de cession, les vendeurs souhaitant cristalliser les transactions aux multiples de l’année dernière, tandis que les acquéreurs notent la baisse des multiples de sociétés cotées et baissent le niveau de valorisation de leur offre. Unconflicted Management, comme beaucoup de ses confrères, réoriente son activité vers les restructurations, avec un accroissement des sociétés en difficulté, les plans de soutien pendant le Covid ayant eu pour effet de retarder la mise en place de solutions pérennes.

Pour ce qui concerne le financement du cycle
d’exploitation
, Ludovic SARDA de PYTHEAS CAPITAL estime que les besoins de financement court terme des entreprises repartent à la hausse après 2 années atones et ce lié aux aides gouvernementales COVID. L’inflation, les tensions sur les matières premières et la nécessité de rembourser les PGE, sont autant de facteurs qui créent aujourd’hui des besoins forts de trésorerie pour les entreprises. La croissance forte des taux intérêt vient cependant assombrir le tableau. En effet, la charge d’intérêt augmente considérablement, ce qui va rendre le pilotage des changes financières complexes pour les PME et ETI. L’instauration d’une « assurance salaire » pour les retraités de plus de 55 ans qui souhaitent continuer à travailler, et qui retrouvent un emploi moins bien payé que le précédent. Cette mesure à retenue l’attention de Guy COHEN car elle pourrait avoir un impact positif sur le recrutement des PME.

Chez EAVEST, spécialiste des produits structurés, Nathalie DESSAUX et Franck MAGNE soulignent que dans ce contexte particulier, les dirigeants sont d’autant plus vigilants quant à la gestion de leur trésorerie d’entreprise. Ils privilégient le caractère de liquidité, mais également sont à la recherche d’un support leur offrant des garanties et une performance supérieure aux solutions traditionnelles. EAVEST constate un engouement des chefs d’entreprise pour les produits structurés à capital garanti qui réunissent ces objectifs en offrant une rémunération certaine.

Concernant les activités de couverture de change et de taux d’intérêts, Sébastien ROUZAIRE de KERIUS Finance, spécialisé en gestion et couverture des risques financiers, note que l’activité des entreprises est très forte en ce qui concerne la couverture des risques de change et taux d’intérêts. Devise et courbes de taux Euribor ont subi ces derniers mois des mouvements violents : dollar US et Franc Suisse ont atteint des records à la hausse, Livre Sterling et Yen japonais à la baisse ; quant aux taux d’intérêts liés aux financements en euros, ils ont subi et subissent toujours de très fortes variations en lien avec l’inflation et les politiques restrictives des banques centrales, qui induisent une volatilité très significative d’un jour à l’autre, et au global une hausse très sensible des taux de financement depuis un an. Les enjeux liés aux couvertures sont accrus pour les entreprises de toutes tailles, exportatrice, importatrices ou endettées à taux variable.

Suite à ces réflexions par métiers, nous avons assisté à une seconde présentation, celle de TRANSEO.

TRANSEO, fondée en 2010 à l’initiative du gouvernement WALLON, est une association à but non lucratif, soutenue par SOWAFIN. Elle regroupe en EUROPE des experts de la transmission et de l’acquisition de PME à partir de 2 M de CA. TRANSEO met en relation des experts, développe des bonnes pratiques et les connaissances sur ce marché qui est de plus en plus transfrontalier. C’est Hugo BOVESSE qui est intervenu en visioconférence en direct de LIEGE pour nous détailler le TRANSEO DEAL CLUB, Le TRANSEO SUMMIT, la TRANSEO ACADEMIE … Un grand merci à Hugo et TRANSEO pour le dynamisme, les connaissances et les contacts qu’ils nous apportent.

Enfin et pour clôturer cette journée riche en débats, réflexions et interventions nous avons souhaité évoquer en quelques mots l’inflation qui pèse sur les entreprises.

Tout d’abord nous remarquons que ses origines sont différentes aux USA et en EUROPE. Fruit de la surchauffe de l’économie aux Etats Unis, elle est largement importée en EUROPE. Plus en détail la France reste un des pays Européens où l’inflation est la plus basse, bien aidé par les plans et aides des pouvoirs publics qui adoucissent la sensation de montée des prix. Au travers de nos rencontres avec les chefs d’entreprises, ils s’attendent à une année 2023 où l’inflation va perdurer, alimentée par les hausses de prix des matières premières et les augmentations de salaires nécessaires pour compenser la perte de pouvoir d’achat. Au niveau de la BCE, le resserrement de la politique TLTRO, va contribuer à la baisse de l’inflation mais va de pair avec un ralentissement de l’économie et une hausse des taux d’emprunt. Après avoir évité la destruction créatrice « Schumpétérienne » lors de la crise du covid, va-t-on connaitre une année 2023 « black swan » où les vainqueurs seront les entreprises qui ont su gérer leur cash ! Nous vous donnons rendez-vous à la fin du 1er quadrimestre 2023 pour refaire un point d’étape dans chacun de nos métiers.

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EN SYNTHÈSE

La Finance d’entreprise regroupe différents segments d’activités et nous voyons bien au travers des remarques de nos experts que le premier quadrimestre a été vécu différemment selon les métiers et le type de conseil apporté aux chefs d’entreprise. Début septembre, profitant des réflexions des universités d’été de l’ANACOFI, nous présenterons notre seconde note de conjoncture enrichie des commentaires de nos experts.

Qui sommes-nous ?

Créée en 2004, l’ANACOFI est la plus importante
association professionnelle des entreprises de conseil en banque, finance, courtage et assurance. A ce titre elle a relancé sa section Finance d’Entreprise depuis 2 ans. La section Finance d’Entreprise de l’ANACOFI forte de ses 250 structures adhérentes à ce jour, riche de compétences multiples, peut accompagner le chef d’entreprise sur l’ensemble de ses besoins à court, moyen et long terme. Nos adhérents sont présents partout en France et les DOM TOM.

A l’ANACOFI, votre confiance est notre raison d’être.

Rejoignez-nous !

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Contacts

Marie Lalande : m.lalande@anacofi.asso.fr

Jean-Louis Picollo : jl.picollo@anacofi.asso.fr

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92 Rue d’Amsterdam – 75009 PARIS – Tél : 01.53.25.50.80 Email : anacofi@anacofi.asso.fr
Site : www.anacofi.asso.fr N° CNIL : 1173949 – N° Siret Anacofi : 490476 835 00031

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Bilan du mois de novembre 2022 :

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Les chiffres du mois

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Les indices boursiers

Résultat du mois de novembre : un CAC 40 à 6738.55 points au 30/11/2022, soit une hausse de 7.53% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Les Fonds Vol Target

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Les indices Sponsorisés

Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de 6.71%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de 6.46%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Les indices ESG sont en hausse sur le mois de novembre avec une moyenne des performances à 6.03%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Le chiffre du mois :

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Le plafond que veux instaurer Bruxelles sur le prix mondial du pétrole russe.

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source : Refinitiv

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Le résumé du mois

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Le dollar chute alors que les investisseurs augmentent leurs paris sur un ralentissement de la hausse des taux de la Fed.

Le dollar s’est déprécié et les bons du Trésor se sont redressés jeudi après qu’une mesure très surveillée de l’inflation ait été plus faible que prévu et qu’un discours de Jay Powell ait fait naître l’espoir que la Réserve fédérale allait bientôt ralentir ses hausses de taux.

Le dollar s’est déprécié de 1,2 % par rapport à une demi-douzaine d’autres devises. La livre a bondi de 1,5 % à 1,224 dollar, l’euro a augmenté de 1,1 % et le yen japonais de 2,1 %.

La chute du dollar jeudi est le dernier signe en date d’une évolution des attentes du marché quant à la trajectoire des hausses de taux de la Fed – une question qui a dominé les marchés mondiaux cette année.

La monnaie américaine a bondi pendant la majeure partie de l’année 2022, la Fed ayant relevé ses taux d’intérêt de manière plus agressive que la plupart des autres banques centrales dans le cadre de sa lutte contre l’inflation. Elle a toutefois reculé depuis qu’un rapport d’inflation meilleur que prévu le mois dernier a alimenté l’espoir que la Fed allait bientôt ralentir le rythme de ses hausses.

Ces espoirs ont été renforcés par un discours du président de la Fed, M. Powell, mercredi, et par de nouvelles données sur l’inflation, jeudi.

L’indice de base des dépenses de consommation personnelle aux États-Unis, l’indicateur d’inflation préféré de la Fed, a augmenté de 0,2 % en octobre par rapport au mois précédent, selon les données du département du commerce. Wall Street avait prévu une augmentation de 0,3 %.

Les obligations d’État américaines ont également étendu leurs gains après avoir progressé en réponse au discours de Powell. Le rendement de l’obligation de référence à 10 ans, qui diminue lorsque les prix augmentent, a baissé de 0,19 point de pourcentage pour atteindre 3,51 %, selon les données de Tradeweb.

Les marchés d’actions, en revanche, ont été plus discrets. Le S&P 500 a glissé de 0,1 % après avoir enregistré sa première progression mensuelle consécutive depuis 2021. Le Nasdaq Composite a légèrement progressé de 0,1 %, tandis que le Stoxx 600 européen a augmenté de 0,9 %.

Les échanges sur les marchés à terme montrent que les investisseurs s’attendent désormais à ce que la Fed relève son principal taux d’intérêt pour atteindre un pic d’environ 4,9 % l’année prochaine, contre une prévision de 5 % en début de semaine et un pic de 5,14 % début novembre.

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Bruxelles cherche un accord sur le plafonnement à 60 dollars du prix mondial du pétrole russe.

Bruxelles fait pression sur les États membres de l’UE pour qu’ils acceptent de plafonner à 60 dollars les achats mondiaux de pétrole russe, dans le but de sceller un accord longtemps recherché pour limiter les revenus du Kremlin provenant des combustibles fossiles.

Cependant, les diplomates européens ont déclaré que la Pologne, qui tient particulièrement à réduire les revenus de Moscou, constituait le principal obstacle aux négociations avant la date limite du 5 décembre, date à laquelle l’interdiction des expéditions maritimes de pétrole russe vers l’UE entrera en vigueur.

Un accord ouvrirait la voie à la mise en œuvre par l’UE et le G7 du plafonnement des prix – qui s’appliquerait à l’échelle mondiale – après des mois de négociations sur ses détails. La Commission européenne a déjà abaissé le prix qu’elle suggérait, qui pouvait atteindre 70 dollars, pour répondre aux demandes de la Pologne.

Bruxelles a également proposé que le plafond soit régulièrement révisé afin de s’assurer qu’il est « au moins 5 % » inférieur aux prix moyens du marché pour le pétrole russe, selon des personnes informées sur la question.

Le principal brut d’exportation de la Russie, l’Oural, a subi une forte décote par rapport au Brent, la référence mondiale, après que l’invasion de l’Ukraine par la Russie a conduit les acheteurs européens à se détourner de lui. Mais les États membres de l’UE sont divisés sur l’ampleur réelle de la décote, certains pays affirmant que le prix de l’Oural est déjà tombé en dessous de 60 dollars le baril.

L’initiative de plafonnement des prix a été défendue par les États-Unis, qui veulent également éviter une chute brutale des exportations russes qui provoquerait à son tour une hausse inflationniste des prix du brut.

Plutôt que de toucher directement les États membres de l’UE, qui seront limités par l’interdiction d’importation, cette mesure vise à maintenir l’approvisionnement en pétrole de pays tels que l’Inde et la Chine.

Les États membres désireux de frapper Moscou plus durement souhaitaient un niveau de prix aussi bas que 30 dollars, mais les responsables européens craignaient que cela n’incite la Russie à retirer ses approvisionnements en brut.

Les exportations de pétrole et de gaz devraient représenter 42 % des recettes de la Russie cette année, soit environ 11,7 milliards de Rbs (191 milliards de dollars), a déclaré le ministère des finances du pays.

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Les actions américaines enregistrent leur première hausse mensuelle consécutive depuis 2021.

Les actions américaines ont connu la première série de gains mensuels consécutifs depuis 2021, avec une tendance graduelle à la hausse ponctuée d’une forte reprise le dernier jour de novembre.

L’indice de référence de Wall Street, le S&P 500, a clôturé en hausse de 3,1 % mercredi, portant les gains de novembre à 5,4 %. L’indice Nasdaq Composite, à forte composante technologique, a gagné 4,4 % sur la journée et a également progressé de 4,4 % au total ce mois-ci. Les indices ont grimpé de 8 % et de 3,9 % en octobre, respectivement.

La forte performance de mercredi est intervenue après un discours de Jay Powell, président de la Réserve fédérale, dans lequel il a laissé entendre qu’il pourrait être opportun de ralentir le rythme des hausses de taux d’intérêt.

M. Powell a laissé entendre que la banque centrale américaine se prépare à relever son taux de référence de 0,5 point de pourcentage lorsque son comité de politique monétaire se réunira en décembre, après une série de hausses de 0,75 point.

Le rendement du bon du Trésor à deux ans, qui évolue en fonction des attentes en matière de taux d’intérêt, a baissé de 0,12 point de pourcentage pour s’établir à 4,35 %, tandis que les investisseurs sur le marché à terme ont relevé les prévisions de baisse des taux d’intérêt d’ici la fin de 2023.

Les actions mondiales se sont redressées ces dernières semaines, les investisseurs pariant sur le fait que les responsables politiques parviendront à maîtriser l’inflation

L’indice MSCI Asie-Pacifique a augmenté de 13,9 % en novembre, sa plus forte hausse sur 30 jours en 24 ans, selon les données de Bloomberg.

La baisse des prix de l’énergie a permis au taux d’inflation annuel de la zone euro de chuter plus que prévu à 10 % en novembre, contre un taux record de 10,6 % en octobre, selon les données publiées mercredi. Les économistes interrogés par Reuters avaient prévu une hausse de 10,4 pour cent.

Les actions européennes ont augmenté mercredi, l’indice régional Stoxx Europe 600 ayant progressé de 0,6. En Asie, l’indice Hang Seng de Hong Kong a gagné 2,2 % après avoir fortement augmenté au cours de la séance précédente, les investisseurs pariant que la Chine poursuivrait ses projets de réouverture après les manifestations contre le blocus. L’indice chinois CSI 300 a gagné 0,1 %.

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L’UE cherche à exclure les banques et les fonds des règles de durabilité.

Les ministres de l’UE ont approuvé une exemption pour les banques et les fonds d’investissement d’un règlement historique visant à obliger les entreprises à rendre compte des violations de l’environnement et des droits de l’homme dans leurs chaînes d’approvisionnement.

Cette exemption, proposée par la France et approuvée par les ministres jeudi, a suscité de vives critiques de la part des militants, qui estiment qu’elle permettra aux grandes banques et aux gestionnaires de fonds de continuer à financer des projets d’exploitation minière ou de combustibles fossiles sans examiner correctement les dommages environnementaux ou les problèmes sociaux qu’ils pourraient causer.

Si cette mesure est approuvée à l’issue des négociations avec le Parlement européen l’année prochaine, elle affaiblirait considérablement les efforts déployés par l’UE pour obliger les entreprises à rendre des comptes sur leurs objectifs de durabilité et améliorer la crédibilité du programme de gouvernance environnementale et sociale de Bruxelles.

L’UE a essayé d’être un leader en matière de finance durable en introduisant des normes de reporting pour les entreprises et un cadre d’investissement connu sous le nom de taxonomie. D’autres juridictions, comme les États-Unis et le Royaume-Uni, proposent des initiatives similaires, mais malgré les efforts de l’organisme de normalisation comptable, la Fondation IFRS, aucun système mondial de réglementation de la divulgation des données ESG n’a été mis en place.

Selon les règles proposées par l’UE, connues sous le nom de directive sur le devoir de diligence en matière de développement durable, les entreprises de plus de 500 employés ou réalisant un chiffre d’affaires mondial de 150 millions d’euros seraient tenues d’identifier et de prévenir ou d’atténuer les activités telles que le travail des enfants, l’exploitation des travailleurs ou les dommages causés aux écosystèmes naturels dans leurs chaînes d’approvisionnement. Les victimes de tout dommage seraient habilitées à intenter une action en justice si des abus qui n’avaient pas été signalés par les entreprises étaient découverts.

Paris a déclaré publiquement qu’elle était favorable à l’inclusion complète de toutes les entreprises dans le cadre du reporting. Mercredi, des représentants du ministère français des finances ont déclaré au Financial Times qu’il était « erroné » de penser que la France avait fait pression en faveur d’une telle exemption. « Nous pensons que ce texte doit s’appliquer à tous les secteurs quels qu’ils soient ».

Les ministres ont également recommandé une période d’introduction progressive, les règles ne s’appliquant qu’aux entreprises comptant plus de 1 000 employés et réalisant un chiffre d’affaires mondial de 300 millions d’euros au cours des trois premières années.

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Elon Musk a reporté le lancement de son service d’abonnement phare, Twitter Blue, dans le dernier signe des défis auxquels le milliardaire est confronté alors qu’il tente de remanier la plateforme de médias sociaux.

L’entrepreneur milliardaire, qui a racheté Twitter pour 44 milliards de dollars le mois dernier, a déclaré dans un tweet lundi soir qu’il « hésitait » à relancer le produit jusqu’à ce qu’il soit « certain de mettre fin à l’usurpation d’identité »

M. Musk avait prévu de redémarrer Twitter Blue le 29 novembre après un lancement raté au début du mois, au cours duquel la fonction « tic-tac bleu » a été détournée par des usurpateurs d’identité sur la plateforme.

Musk a déclaré lundi sur Twitter que le service d’abonnement « utiliserait probablement un contrôle de couleur différent pour les organisations que pour les particuliers ». Il s’agit du dernier développement en date d’une période tumultueuse pour Twitter sous la direction de Musk, au cours de laquelle il a licencié la moitié du personnel de l’entreprise et provoqué le départ de centaines d’autres la semaine dernière après avoir exhortés à s’engager formellement à respecter des conditions de travail « dures » ou à accepter des indemnités de départ de trois mois. Le lancement raté de Twitter Blue a exacerbé les inquiétudes croissantes des marques qui se demandent si la plateforme est un endroit sûr pour faire de la publicité ou publier des messages, étant donné les promesses antérieures de Musk d’assouplir les règles de modération du contenu et sa décision, dimanche, de rétablir le compte Twitter de Donald Trump.

Lorsqu’il a pris les rênes de Twitter, M. Musk a identifié le lancement du service d’abonnement, qui permet aux utilisateurs payants d’accéder à des fonctionnalités supplémentaires, notamment une couche bleue, comme une priorité. Il a présenté Twitter Blue comme un moyen d’augmenter les revenus en faisant payer les utilisateurs 7,99 dollars par mois pour des avantages exclusifs.

Les utilisateurs payants se verront attribuer une « coche bleue » – actuellement réservée aux entreprises vérifiées, aux hommes politiques, aux célébrités et aux journalistes – ainsi que d’autres avantages, notamment la possibilité de modifier les Tweets et de filtrer les notifications. La première version a été retirée quelques jours seulement après son lancement, après que des utilisateurs aient abusé du système pour se faire passer pour des personnes et des marques très connues.

Il s’agissait notamment d’un faux compte Eli Lilly qui affirmait que le fabricant de médicaments distribuerait de l’insuline gratuite. Un autre utilisateur a posté un tweet provenant d’un compte se faisant passer pour Lockheed Martin, qui affirmait que la société interrompait ses ventes d’armes à l’Arabie saoudite, à Israël et aux États-Unis dans l’attente d’une enquête sur leur bilan en matière de droits de l’homme.

Afin de rassurer les annonceurs et les utilisateurs les plus en vue, M. Musk a déclaré qu’il portait le lancement du service au 29 novembre « pour s’assurer qu’il est solide comme le roc ». Avant même le lancement raté du service, des marques très connues, dont General Motors, Carlsberg et General Mills, avaient interrompu leurs dépenses publicitaires avec Twitter pour des raisons de sécurité de la marque.

Twitter a également connu un exode de cadres supérieurs au cours des deux dernières semaines, ce qui a renforcé les inquiétudes des régulateurs concernant la sécurité de ses données et le respect des règles de confidentialité.

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Bilan du mois de octobre 2022 :

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Le chiffre du mois :

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14%

Il s’agit de la plus forte augmentation mensuelle du

Dow Jones en 46 ans

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source : Refinitiv

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Le résumé du mois

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BP va racheter davantage d’actions après avoir doublé ses bénéfices pour atteindre 8 milliards de dollars.

Les bénéfices du troisième trimestre dépassent les estimations alors que les appels à une taxation plus agressive se multiplient.

BP a annoncé de nouveaux rachats d’actions après que les bénéfices du troisième trimestre aient plus que doublé pour atteindre 8 milliards de dollars, laissant le groupe énergétique sur la voie de l’une des années les plus rentables de son histoire.

Les bénéfices sous-jacents pour la période de trois mois se sont élevés à 8,2 milliards de dollars, contre 3,3 milliards de dollars un an plus tôt, dépassant de loin les estimations moyennes des analystes qui étaient de 6,1 milliards de dollars.

Les résultats du groupe viennent couronner une série de bénéfices historiques pour les plus grandes compagnies pétrolières et gazières du monde, soutenus par des prix de l’énergie toujours élevés après l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février.

Les profits soutenus du secteur pétrolier et gazier depuis l’invasion ont alimenté de nouveaux appels dans des pays tels que les États-Unis et le Royaume-Uni pour une taxation plus agressive de l’industrie. Les actions de BP ont augmenté de plus de 45 % cette année.

La société s’est engagée à racheter 2,5 milliards de dollars d’actions supplémentaires au quatrième trimestre, ce qui porterait le total des rachats d’actions pour l’année à un peu plus de 10 milliards de dollars. Elle a laissé son dividende inchangé après l’avoir augmenté de 10 % en juillet.

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Le Japon ne peut pas survivre sans le pétrole russe, avertit le directeur d’une maison de commerce.

La dépendance quasi-totale du Japon à l’égard des importations d’énergie signifie qu’il ne peut « survivre » sans continuer à acheter du pétrole et du gaz à la Russie, a déclaré le directeur de l’une des cinq grandes maisons de commerce du pays.

Le Japon a suivi le rythme des nations occidentales en imposant des sanctions à la Russie, mais il ne s’est pas retiré des grands projets énergétiques dans le pays puisqu’il dépend de la Russie pour environ 9 % de son gaz naturel liquéfié et 4 % de son pétrole.

Le gouvernement japonais et Itochu, ainsi que l’entreprise publique indienne ONGC Videsh, restent les investisseurs du projet pétrolier Sakhalin-1 qu’ExxonMobil a abandonné. Les perspectives du projet de gisement de pétrole et de gaz dans la région extrême-orientale de la Russie sont encore plus incertaines après que le président russe Vladimir Poutine a signé, au début du mois, un décret créant une nouvelle société d’exploitation qui serait gérée par le groupe pétrolier public Rosneft.

Outre leurs intérêts en Russie, les maisons de commerce ont des activités dans le monde entier. Elles constituent l’épine dorsale de l’économie japonaise, traditionnellement connue pour son rôle dans la sécurisation des matières premières pour un pays pauvre en ressources, mais elles sont de plus en plus désireuses de se débarrasser de cette image.

Elles restent, conformément à leur histoire, des négociateurs agressifs, avec une rotation rapide des acquisitions et des désinvestissements qui dominent la charge de travail des banquiers d’affaires et des avocats à Tokyo.

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Tesla: la ruée vers les métaux pour batteries va s’intensifier.

La menace d’un cartel du nickel comme celui de l’OPEP est crédible mais serait difficile à coordonner.

Elon Musk peut faire un pied de nez à l’Opep : le cartel de l’approvisionnement en pétrole ne fait pas peur au magnat des véhicules électriques. Il ne peut pas se permettre d’être complaisant en ce qui concerne les métaux essentiels aux VE. L’Indonésie envisage de créer un cartel du type de l’Opep pour le nickel.

Les deux histoires indiquent une intensification de la bataille pour le contrôle des matières premières utilisées dans les batteries. Mais il n’est guère surprenant que les négociations entre Tesla et Glencore sur l’achat de 20 % de l’entreprise minière aient échoué au début de l’année. Cela n’aurait pas beaucoup de sens pour les deux parties.

Si Tesla voulait payer beaucoup plus cher que le prix du marché pour un contrat prolongé, Glencore pourrait envisager de détourner ses approvisionnements.

La menace d’un cartel du nickel est crédible, selon les analystes de Liberum. Il serait difficile à coordonner. La production de l’Indonésie dépend de producteurs tels que Tsingshan Holdings de Xiang Guangda, dont le siège est en Chine. Les mineurs de nickel basés dans les pays occidentaux, tels que Glencore et BHP, pourraient être confrontés à des défis juridiques s’ils rejoignaient un club de vendeurs.

Mais les lois minières donnent au gouvernement indonésien beaucoup de pouvoir au niveau national. En janvier, il a interrompu les exportations de charbon thermique, y compris celles des mineurs étrangers. En tant que premier exportateur mondial, cette décision a ébranlé le marché du charbon. Il faut s’attendre à des chocs de l’offre dans le secteur des batteries.

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TotalEnergies mis en cause pour ses déclarations d’émissions de carbone.

Le groupe énergétique français est accusé par Greenpeace de minimiser considérablement son impact sur le climat.

TotalEnergies est accusé d’avoir largement sous-estimé ses émissions de carbone, alors que la surveillance s’intensifie sur la manière dont l’industrie pétrolière et gazière rend compte de ses objectifs en matière de changement climatique.

Dans une étude basée sur les propres divulgations du groupe énergétique français, le groupe de campagne Greenpeace estime que les émissions de carbone de Total à partir de 2019 pourraient être presque quatre fois plus élevées que les niveaux divulgués par la société et que certaines activités exclues devraient être incluses dans ses rapports.

Total a rejeté la méthodologie de Greenpeace et a déclaré que le groupe comptabilisait deux fois certaines de ses activités. L’AMF s’est refusée à tout commentaire.

Total a contesté la méthodologie et a déclaré que les chiffres de Greenpeace n’étaient pas réalistes étant donné la faible part du marché de l’énergie détenue par la société. Les estimations « ne tenaient pas compte de l’intégration de TotalEnergies tout au long de la chaîne de valeur du pétrole et du gaz, et par conséquent, les émissions . . plusieurs fois « .

Greenpeace a également ciblé Total avec un test de « greenwashing », en déposant cette année une plainte auprès d’un tribunal français qui accuse l’entreprise de campagnes publicitaires avec des allégations trompeuses sur ses ambitions climatiques alors qu’elle investit encore dans de nouveaux projets de combustibles fossiles.

Le tribunal doit encore se prononcer sur l’opportunité de poursuivre cette plainte.

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Les chiffres du mois

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Résultat du mois d’octobre : un CAC 40 à 6266.77 points au 31/10/2022, soit une hausse de 8.75% sur le mois.

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La volatilité

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Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de 7.02%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de 7.53%.

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Les indices ISR sont en hausse sur le mois d’octobre avec une moyenne des performances à 7.01%.

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Les actions européennes ont commencé la semaine sur une note faible, les investisseurs craignant que la croissance économique mondiale ne soit affectée par la détermination des banques centrales à maîtriser l’inflation. L’indice régional Stoxx 600 a reculé de 0,5 % à l’ouverture lundi, tandis que l’indice allemand Dax a perdu 0,2 % et le FTSE 100 0,6 %.

Les échanges en Asie ont été faibles, le Japon, la Corée du Sud et Taïwan étant fermés pour cause de jours fériés. Les actions européennes ont suivi les baisses enregistrées aux États-Unis vendredi en fin de journée, lorsque les données du marché du travail national ont montré la persistance d’une forte croissance de l’emploi, réduisant ainsi les espoirs de voir la Réserve fédérale réduire ses hausses de taux d’intérêt.

Lundi, les échanges sur les marchés à terme d’actions laissaient présager de nouvelles baisses à Wall Street, les contrats qui suivent le S&P perdant 0,6 % et ceux qui suivent le Nasdaq 100 perdant 0,6 %.

Les investisseurs attendront de plus amples informations sur l’inflation cette semaine, la Fed publiant mercredi le compte rendu de sa réunion de septembre. Ailleurs sur les marchés de la dette souveraine, le rendement du Bund allemand à 10 ans a baissé de 0,05 point de pourcentage, à 2,15 %.

Dans le domaine des devises, le dollar est resté stable par rapport à un panier de six devises, tandis que la livre sterling a augmenté de 0,2 % pour s’échanger à 1,11 dollar.

 

 

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Bilan du mois de septembre 2022 :

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Le chiffre du mois :

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10%

Nouveau record de l’inflation en zone euro

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source : bfmtv

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Le résumé du mois

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Les CDS du Crédit Suisse atteignent un niveau record, les actions chutent

La banque suisse ne parvient pas à apaiser les inquiétudes alors que le coût d’achat de ses swaps de défaut de crédit s’envole.

Le coût de l’assurance contre le défaut de paiement de Credit Suisse a atteint un niveau record lundi 3 octobre, la banque suisse n’ayant pas réussi à calmer les inquiétudes du marché concernant la solidité de son bilan.

Les négociants et les investisseurs se sont empressés de vendre les actions et les obligations de Crédit Suisse et d’acheter des Credit Default Swaps (CDS), des produits dérivés qui agissent comme des contrats d’assurance et versent des indemnités si une entreprise ne respecte pas ses engagements.

Le CDS à cinq ans de Crédit Suisse a grimpé de plus de 100 points de base lundi, certains traders le citant jusqu’à 350 points de base, selon des citations consultées par le Financial Times. Les actions de la banque ont chuté à des niveaux historiquement bas, en dessous de 3,60 francs suisses, soit une baisse de près de 10 % à l’ouverture du marché, avant de réduire leurs pertes.

Ces mouvements signifient que la courbe des CDS du Crédit Suisse s’est inversée lundi, un phénomène qui se produit lorsque les investisseurs se précipitent pour acheter une protection contre un défaut à très court terme. Bien que ces niveaux soient encore plus élevés que ceux auxquels les CDS de la banque suisse se sont négociés lors de la crise financière de 2008, une modification des contrats signifie que les produits dérivés font désormais référence à une catégorie de dette plus risquée qui est plus exposée aux pertes en cas d’effondrement de la banque.

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Le plafonnement des prix du pétrole russe permettrait aux marchés émergents d’économiser des milliards, selon les États-Unis.

Une étude du Trésor Américain révèle une réduction des coûts annuels de 160 milliards de dollars dans le cadre de la réduction des recettes d’exportation de Moscou.

Le Trésor américain a estimé que le plan du G7 visant à plafonner le prix des exportations de pétrole russe pourrait générer 160 milliards de dollars d’économies annuelles pour les 50 plus grands marchés émergents, Washington insistant sur le fait que le plan qu’il a défendu permettra de limiter les coûts énergétiques dans le monde entier.

Le mois dernier, le G7 a approuvé des plans de plafonnement des achats de pétrole russe dans le but de réduire les revenus dont dispose le Kremlin pour mener la guerre en Ukraine. À partir de décembre, les entreprises occidentales seront autorisées à assurer l’entretien et l’assurance des cargaisons de pétrole russe dans le monde entier, ce qui les exemptera des embargos imposés par l’Union européenne et d’autres pays occidentaux, pour autant que les ventes soient inférieures au plafond fixé.

Toutefois, des doutes et des incertitudes subsistent sur le marché pétrolier quant à la mesure dans laquelle l’une des expériences de politique économique internationale les plus originales jamais tentées fonctionnera dans la pratique, quel sera son effet sur le marché et comment la Russie réagira.

Selon un responsable du Trésor, la région Europe et Asie centrale est la plus dépendante des importations nettes de pétrole et de produits pétroliers, qui représentent 4,7 % du produit intérieur brut, soit 55 milliards de dollars. Dans 16 marchés émergents, allant du Mali à la Turquie, en passant par le Salvador et la Thaïlande, les importations nettes de pétrole représentent plus de 5 % du PIB, a indiqué le Trésor.

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L’inflation turque atteint 83 % et Erdoğan promet de nouvelles baisses de taux

La hausse des prix de septembre est la pire depuis l’arrivée au pouvoir du parti présidentiel il y a 20 ans.

Le taux d’inflation officiel de la Turquie a atteint un nouveau record en 24 ans le mois dernier, alors que le pays subit les conséquences de la politique économique peu orthodoxe du président Recep Tayyip Erdoğan.

L’indice des prix à la consommation a augmenté de 83,45 % en septembre, selon les données de l’Institut turc de la statistique, soit le niveau le plus élevé depuis juillet 1998, contre 80,21 % le mois précédent.

Erdoğan rejette le consensus économique établi selon lequel l’augmentation des taux d’intérêt permet de freiner l’inflation.

Il a ordonné à la banque centrale de réduire les coûts d’emprunt à deux reprises au cours des deux derniers mois, ramenant le taux d’intérêt de référence à 12 pour cent.

Erdoğan a insisté sur le fait que la baisse des taux – même à un moment où d’autres banques centrales dans le monde ont augmenté les coûts d’emprunt – renforcera la lire et s’attaquera à l’inflation en stimulant l’investissement et en créant des emplois.

Vendredi, l’agence de notation S&P a abaissé la note de la dette publique de la Turquie de B+ à B en raison de ce qu’elle a appelé l’économie « hétérodoxe » du pays.

Le président a déjà indiqué qu’il essaierait de compenser la douleur que l’inflation inflige aux ménages turcs par un barrage de cadeaux aux électeurs et des mesures visant à stimuler la croissance. Certains analystes indépendants affirment que le taux d’inflation réel est encore plus élevé. Ils accusent l’Institut turc de la statistique de manipuler les données. Un indice distinct qui mesure l’inflation à Istanbul, compilé par la chambre de commerce de la ville, a montré que les prix ont augmenté de 107 % en glissement annuel dans la plus grande ville de Turquie le mois dernier.

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Des règlements américains mettent à nu le monde « Off-channel » des banquiers

L’utilisation de WhatsApp et d’autres canaux de messagerie s’est généralisée pendant la pandémie

Depuis des mois, les régulateurs américains enquêtent sur les principales banques et sociétés de courtage de Wall Street, à la recherche de preuves que les traders et les négociateurs ont utilisé des canaux de messagerie non officiels comme WhatsApp et Signal pour échapper aux règles qui les obligent à préserver les communications professionnelles.

Cette semaine, le monde a appris le prix à payer pour résoudre cette enquête : environ 2 milliards de dollars. Outre le règlement de 200 millions de dollars conclu avec JPMorgan Chase en décembre, la Securities and Exchange Commission et la Commodity Futures Trading Commission ont déclaré mardi que Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs, Morgan Stanley, Credit Suisse, UBS, Barclays, Deutsche Bank, Nomura, Jefferies et Cantor Fitzgerald – paieraient 1,8 milliard de dollars supplémentaires.

Les régulateurs ont essentiellement admis combien il est devenu difficile de garder un œil sur Wall Street au cours d’une période tumultueuse marquée par l’utilisation croissante de canaux de communication cryptés par les adeptes de la technologie et par la fuite des bureaux déclenchée par la pandémie de Covid-19.

Selon le régulateur, certains traders de Nomura ont « intentionnellement supprimé certaines de leurs communications sur leur appareil personnel après avoir reçu un avis de conservation » de la CFTC. Un trader, qui était employé par des filiales de Nomura au Royaume-Uni et au Japon, a supprimé des messages et a ensuite « fait de fausses déclarations à la commission concernant sa conformité », a affirmé la CFTC. Dans le cadre de son accord avec le régulateur, Nomura n’a ni admis ni nié ces allégations.

Les méthodes de communication modernes facilitent tout simplement les comportements répréhensibles. De janvier 2018 à septembre 2021, un seul banquier senior de Goldman Sachs « a envoyé et reçu des dizaines de milliers de messages texte hors canal » qui « concernaient, entre autres, l’activité du courtier-négociant », a déclaré la SEC dans une déclaration reconnue comme un fait par la banque.

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Les chiffres du mois

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Résultat du mois de juillet : un CAC 40 à 5762.34 points au 30/09/2022, soit une baisse de -5.92% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de -7.01%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de -7.19%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Les indices ISR sont en hausse sur le mois de mars avec une moyenne des performances à -7.17%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La volatilité

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant : Août 2022 – PERFORMANCE DES INDICES POUR PRODUITS STRUCTURÉS.

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L’équipe EAVEST

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

POUR PLUS D’ANALYSE SUR LES PRODUITS STRUCTURES,

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Communiqué de presse
Paris, le 13 septembre 2022

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Manymore fait évoluer « Prisme » en nouant un partenariat avec Eavest pour suivre la vie des produits structurés

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Manymore, acteur clef, des solutions logicielles à destination des Conseils en Gestion de Patrimoine à
travers son outil Prisme (CRM, outil réglementaire et d’agrégation de données, analyse patrimoniale)
et Eavest, « structureur », distributeur de produits et détenteur de la plus grosse base de données en
produits structurés ont décidé de lier leurs outils pour apporter la meilleure expérience utilisateur
possible aux clients de Manymore.
A cet effet, Manymore et Eavest ont construit une fonctionnalité novatrice pour permettre aux utilisateurs de Prisme de suivre la vie des produits structurés distribués à leurs clients à travers des alertes sur les principaux événements d’un structuré :

  • Paiement d’un coupon
  • Confirmation du strike
  • Rappel par anticipation
  • Remboursement à maturité
  • Pas de rappel et coupon mémorisé
  • Pas de rappel et coupon perdu

Pierre-Laurent Fleury, président de Manymore déclare : « Avec ce nouveau service, et avec l’appui de Eavest, nous apportons à Prisme une fonctionnalité novatrice et à forte valeur ajoutée. Nous sommes ravis de faire connaître aux clients de Prisme la plateforme online de conseil en produits structurés d’Eavest »

Franck Magne, président de Eavest ajoute : « Ce nouveau partenariat unique s’inscrit pleinement dans la volonté d’Eavest de démocratiser l’utilisation et la compréhension des produits structurés. Nous sommes fiers d’apporter cette valeur ajoutée à Manymore. Cela va aussi nous permettre d’intensifier notre présence et notre activité auprès de tous les acteurs de la place. Je suis convaincu que nous sommes au début d’un très belle aventure humaine et professionnelle. »

En effet, s’il est aisé de suivre les fonds ‘classiques’ et de les intégrer dans les outils de gestion comme Prisme grâce à des data providers, il est en revanche très difficile de suivre les fonds structurés provenant d’une multitude de ‘structureurs’.

Les utilisateurs de Prisme auront directement accès aux services d’Eavest sur les produits structurés
sur la plateforme https://www.eavest.com/ : analyse produits, alertes sur les événements, consolidation automatique du portefeuille, génération de reporting grâce à une synchronisation des données issues de l’agrégation dans Prisme.

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Contact : Xavier Millischer
+33 (0) 6 89 24 93 77 – xmillischer@eavest.com

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À propos d’Eavest :

Eavest est la structure créée en 2013 par Franck Magne, spécialisée dans le conseil en produits structurés. Indépendante de tout groupe bancaire ou assureur, elle accompagne ses partenaires CGP, Family Office, Banques Privées et entreprises dans la construction, le suivi et l’analyse de leurs
produits. Forte de son équipe de collaborateurs, analystes et spécialistes des marchés financiers, et au-delà de son implantation parisienne et en région, Eavest intervient également dans toute l’Europe francophone.

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À propos de Manymore :

Manymore est la résultante de la fusion en cours de Manymore créée par Pierre-Laurent Fleury et PLPSoft créée par Gilles Artaud. Manymore est un acteur clef des outils pour les CGP, les sociétés de gestion et les banques privées à travers une suite logicielle allant du KYC, en passant par le réglementaire, l’agrégation de données, le CRM, les outils de calcul, de diagnostics et préconisation patrimoniale. Par ailleurs Manymore est leader dans les outils de digitalisation des actes en ligne pour les compagnies d’assurance.

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L’équipe EAVEST

23-25 RUE DUMONT D’URVILLE

75116 PARIS

FRANCE

+33 (1) 85 73 44 20

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Paris, le 13 septembre 2022

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Manymore fait évoluer « Prisme » en nouant un partenariat avec Eavest pour suivre la vie des produits structurés

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Manymore, acteur clef, des solutions logicielles à destination des Conseils en Gestion de Patrimoine à
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produits structurés ont décidé de lier leurs outils pour apporter la meilleure expérience utilisateur
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A cet effet, Manymore et Eavest ont construit une fonctionnalité novatrice pour permettre aux utilisateurs de Prisme de suivre la vie des produits structurés distribués à leurs clients à travers des alertes sur les principaux événements d’un structuré :

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Pierre-Laurent Fleury, président de Manymore déclare : « Avec ce nouveau service, et avec l’appui de Eavest, nous apportons à Prisme une fonctionnalité novatrice et à forte valeur ajoutée. Nous sommes ravis de faire connaître aux clients de Prisme la plateforme online de conseil en produits structurés d’Eavest »

Franck Magne, président de Eavest ajoute : « Ce nouveau partenariat unique s’inscrit pleinement dans la volonté d’Eavest de démocratiser l’utilisation et la compréhension des produits structurés. Nous sommes fiers d’apporter cette valeur ajoutée à Manymore. Cela va aussi nous permettre d’intensifier notre présence et notre activité auprès de tous les acteurs de la place. Je suis convaincu que nous sommes au début d’un très belle aventure humaine et professionnelle. »

En effet, s’il est aisé de suivre les fonds ‘classiques’ et de les intégrer dans les outils de gestion comme Prisme grâce à des data providers, il est en revanche très difficile de suivre les fonds structurés provenant d’une multitude de ‘structureurs’.

Les utilisateurs de Prisme auront directement accès aux services d’Eavest sur les produits structurés
sur la plateforme https://www.eavest.com/ : analyse produits, alertes sur les événements, consolidation automatique du portefeuille, génération de reporting grâce à une synchronisation des données issues de l’agrégation dans Prisme.

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produits. Forte de son équipe de collaborateurs, analystes et spécialistes des marchés financiers, et au-delà de son implantation parisienne et en région, Eavest intervient également dans toute l’Europe francophone.

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À propos de Manymore :

Manymore est la résultante de la fusion en cours de Manymore créée par Pierre-Laurent Fleury et PLPSoft créée par Gilles Artaud. Manymore est un acteur clef des outils pour les CGP, les sociétés de gestion et les banques privées à travers une suite logicielle allant du KYC, en passant par le réglementaire, l’agrégation de données, le CRM, les outils de calcul, de diagnostics et préconisation patrimoniale. Par ailleurs Manymore est leader dans les outils de digitalisation des actes en ligne pour les compagnies d’assurance.

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Bilan du mois d’août 2022 :

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Le chiffre du mois :

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5,8%

C’est le taux de l’inflation en France, fin août 2022

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source : LesEchos


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Le résumé du mois

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Les actions européennes et les contrats à terme sur les actions américaines augmentent après deux jours de baisse.

Les actions européennes et les contrats à terme sur les actions américaines sont repartis à la hausse mardi, après deux jours de baisse provoquée par les craintes que les banques centrales augmentent les taux d’intérêt de manière agressive pour maîtriser l’inflation.

L’indice régional Stoxx 600 a gagné 0,7 % en milieu de matinée, tandis que CAC40 a gagné 1,05%. L’indice FTSE 100 de Londres a augmenté de 0,1%.

Ces mouvements sont intervenus après l’affaiblissement des actions mondiales lors de la session précédente, à la suite du symposium économique annuel de la semaine dernière à Jackson Hole. Lors de ce sommet, les banquiers centraux ont réaffirmé leur volonté de s’attaquer à la croissance rapide des prix, alors même que la perspective d’un resserrement de la politique monétaire menace d’induire un ralentissement prolongé. Les investisseurs pourraient profiter de la récente chute des cours pour acheter à bas prix des actions convoitées.

Les autres marchés d’obligations d’État sont restés relativement calmes au cours de la matinée en Europe, le rendement de l’obligation de référence du Trésor américain à 10 ans ayant baissé de 0,03 point de pourcentage pour atteindre 3,08% et le rendement allemand équivalent étant stable.

Les chiffres de l’inflation dans la zone euro pour le mois d’août seront publiés mercredi. Les économistes interrogés par Reuters s’attendent à une lecture en glissement annuel de 9%, contre 8,9% en juillet.

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Les responsables de la fixation des taux de la BCE craignent que la faiblesse de l’euro n’entraîne une hausse de l’inflation.

Les responsables de la fixation des taux de la Banque centrale européenne ont exprimé une inquiétude croissante quant à la possibilité que la faiblesse de l’euro alimente une hausse de l’inflation lorsqu’ils ont décidé, le mois dernier, de relever les taux d’intérêt pour la première fois en plus de dix ans.

Lors des délibérations du conseil des gouverneurs de la BCE en juillet, les préoccupations relatives à la flambée de l’inflation, dont certains craignaient qu’elle ne puisse être maîtrisée même si la crise de l’approvisionnement énergétique s’intensifiait, ont semblé l’emporter sur les inquiétudes liées à l’affaiblissement des perspectives de croissance.

Certains responsables politiques ont fait valoir que la BCE devrait s’en tenir à son plan antérieur de relèvement des taux de 25 points de base en juillet, plutôt qu’à la hausse de 50 points de base finalement décidée.

Les responsables de la fixation des taux ont identifié un nombre croissant de risques à la hausse pour l’inflation, qui a atteint un niveau record de 8,9 % pour la zone euro en juillet.

Il a été avancé que même une récession ne diminuerait pas nécessairement les risques à la hausse, en particulier si elle était liée à une coupure de gaz ou à un autre choc d’approvisionnement.

Les hausses de taux agressives aux États-Unis sont l’un des facteurs à l’origine de la chute de l’euro par rapport au dollar, tout comme la détérioration des perspectives économiques de la zone euro et le rôle traditionnel du dollar en tant que valeur refuge en période de ralentissement économique.

Jeudi, l’euro s’échangeait à 0,9966 dollar, soit le plus bas niveau en 20 ans.

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L’inflation de la zone euro atteint un niveau record de 8,9 % en raison de la flambée des prix de l’énergie

L’inflation dans la zone euro a atteint un niveau record de 8,9 % ce mois-ci, comblant ainsi l’écart avec le taux de 9,4 % du Royaume-Uni.

Le renchérissement de l’énergie est responsable de la majeure partie de cette hausse, qui était de 8,6 % en juin, alors que les retombées de l’invasion de l’Ukraine par la Russie continuent de frapper de plein fouet les économies européennes.

La France, l’Italie et l’Espagne, qui ont le mérite d’avoir partiellement contrôlé les coûts énergétiques nationaux afin de minimiser l’impact de la crise du coût de la vie, ont enregistré la plus forte croissance. Ils ont également bénéficié d’un retour du tourisme et de la réouverture d’entreprises après les fermetures dues à la pandémie.

La France a rebondi après une contraction de 0,2 % au premier trimestre pour atteindre une croissance de 0,5 % au cours de la dernière période, tandis que l’Italie a progressé de 1 % et l’Espagne de 1,1 %. En Allemagne, où l’industrie manufacturière a été touchée par la flambée des prix de l’énergie et le fléchissement de la demande chinoise, la croissance a stagné.

L’inflation des denrées alimentaires et l’inflation de base continuent d’être orientées à la hausse, tandis que la crise du gaz maintient l’inflation de l’énergie à un niveau élevé. L’offre, plutôt que la demande, reste le principal moteur de la hausse de l’inflation.

De plus la banque centrale pourrait ajouter à la hausse de 0,5 point de pourcentage plus tôt ce mois-ci une hausse similaire lorsqu’elle se réunira à nouveau en septembre.

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Les chiffres du mois

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Résultat du mois de juillet : un CAC 40 à 6125.10 points au 31/08/2022, soit une baisse de 5.02% sur le mois.

Source : Refinitiv / EAVEST

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Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de –4.30%.

Source : Refinitiv / EAVEST

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de -4.30%.

Source : Refinitiv / EAVEST

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Les indices ISR sont en hausse sur le mois de mars avec une moyenne des performances à -5.34%.

Source : Refinitiv / EAVEST

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Source : Reuters

Les actions mondiales ont chuté mardi et l’euro a atteint son plus bas niveau depuis deux décennies face au dollar, les craintes d’un resserrement de la politique monétaire et d’une crise énergétique en Europe assombrissant le sentiment du marché.

L’indice boursier européen Stoxx 600 a reculé de 0,3 % dans les premiers échanges, après avoir enregistré lundi sa plus forte baisse en plus d’un mois. Le Dax allemand a perdu 0,3% et le FTSE 100 de Londres 0,3%.

L’euro a reculé de 0,3 % à 0,9913 dollar pour atteindre son plus bas niveau en 20 ans, après être passé sous la parité avec le dollar lundi, les craintes que la Russie n’étrangle l’approvisionnement en gaz de l’Europe en représailles du soutien occidental à l’Ukraine assombrissant les perspectives économiques de la zone euro.

Pesant également sur le sentiment des investisseurs, les contrats de gaz naturel européens TTF ont atteint un niveau record à la clôture lundi, et ont étendu leurs gains mardi, après que le monopole gazier russe Gazprom ait annoncé de nouvelles fermetures pour maintenance de son gazoduc Nord Stream 1, crucial pour l’Europe.

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Bilan du mois Juillet 2022 : un mois chargé d’annonces.

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Les chiffres du mois :

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1€ = 1$

C’est la première fois depuis le 15 juillet 2002

qu’il y a une parité entre l’euro et le dollars.

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source : Reuters / Courbe Euro – Dollar de 2002 à 2022


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Le résumé du mois

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Parité euro/dollar : 

Phénomène historique depuis 2002, l’euro a atteint la parité avec le dollar le 12 juillet dernier.

Cette dépréciation soudaine et importante de l’euro face au dollar s’explique en partie en raison de nombreux chocs macroéconomiques qui ont affaibli cette devise. Comme avec le conflit ukrainien, qui fut l’un des facteurs déclencheur d’une forte inflation d’une zone euro bien trop dépendante des importations de gaz et de pétrole en provenance de la Russie. Mais cette dégradation ne touche que l’euro face au dollar et non face aux autres monnaies. En effet, ce n’est pas tant l’euro qui faiblit, mais le dollar qui se renforce en raison des nombreuses augmentations des taux directeurs de la FED. L’inflation américaine atteignant des niveaux inégalés depuis plus de 40 ans, du fait notamment des nombreux plans de relance menés par Joe Biden.

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Résilience des marchés : 

Tirant des enseignements de la crise sanitaire, les marchés financiers ont su démontrer une résilience remarquable face au contexte économique tendu de cet été, avec en toile de fond le conflit ukrainien et les prétentions de la Chine envers Taiwan.

L’hypothèse d’un conflit généralisé n’a jamais été aussi tangible depuis la guerre froide. Sans oublier l’économie américaine qui est officiellement entrée en récession en enregistrant sur deux trimestres de suite une baisse de la croissance de leur PIB. Au vu de ces informations nous étions donc en droit d’attendre une forte baisse des marchés financiers. Cependant ce ne fut pas le cas, le CAC 40 enregistrant rien que sur le mois de juillet une hausse de 8,7% similaire à celle de près de 8% enregistrée sur le S&P 500.

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Remontée de taux en zone euro : 

Juillet marque également un tournant pour la zone euro, avec la décision de la banque centrale européenne d’augmenter ses taux directeurs de 50 points de base. Une première depuis plus de 10 ans.

Cette décision représente une fracture vis-à-vis de l’ère Draghi et marque la fin de « l’argent gratuit ». La France – qui jusque-là empruntait à 0% – doit désormais payer 2,2%. Cette hausse des taux retranscrit bien le désir de la BCE de lutter contre la forte hausse du taux d’inflation annuel dans la zone euro estimé à 8,6% en juin. Mais cette annonce représente également un changement de paradigme, la BCE qui, par le passé, annonçait l’amplitude de ses hausses de taux adopte désormais le mode opératoire de la Banque Nationale Suisse, qui elle, procède à des hausses de taux surprises.

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L’Italie, un danger pour la zone euro 

La zone euro est sur le qui-vive, la situation critique de l’Italie peut à tout moment faire replonger la zone euro dans une récession.  L’augmentation des taux directeurs par la BCE pourrait bien pousser certains états membres vers la faillite du fait de leur haut taux d’endettement.

L’Italie deuxième pays le plus endetté de la zone euro derrière la Grèce fait peser une épée de Damoclès sur celle-ci. Le pays pourrait ne plus avoir la capacité de rembourser sa dette en raison de l’augmentation de son taux d’emprunt. Une situation similaire à celle observée en 2012 est alors envisageable avec le cas de la Grèce.

L’augmentation des taux laisse planer le risque d’une fragmentation des taux d’emprunt venant alors détériorer les conditions d’emprunt de pays déjà en difficulté comme l’Italie.

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Ralentissement des IPO  

À la suite de la publication du rapport EY mentionnant que depuis janvier 2022, le nombre de premières cotations a été divisé par 2 par rapport à 2021. L’instabilité de la situation économique dû à la guerre en Ukraine, mais aussi à cause de l’inflation historique, sans oublier l’augmentation des taux directeurs pousse à la porte les investisseurs. De plus, l’engouement des SPAC étant retombé, les introductions en bourse ont plongé à Wall Street. Le nombre de sociétés ainsi que les montants levés ont été divisés par 2 passant respectivement de 1171 à 630 et de 227 milliards à 95 milliards.

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Les chiffres du mois

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Résultat du mois de juillet : un CAC 40 à 6448.50 points au 29/07/2022, soit une hausse de 8.87% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de 7.54%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de 6.82%.

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Les indices ISR sont en hausse sur le mois de mars avec une moyenne des performances à 7.16%.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de vos produits sur mesure !

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Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

Avertissement de SOLACTIVE

Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

Avertissement de MSCI

Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Ce jeudi 21 Juillet Christine Lagarde, présidente de la Banque Centrale Européenne, annonçait la décision d’un relèvement des taux à hauteur de 50 points de base. En sortant de l’ère des taux négatifs, la BCE met fin à la décennie d’une politique monétaire accommodante au sein de la zone euro. La « forward guidance » (pilotage des anticipations de marché) n’est plus considérée comme suffisamment efficace pour combattre fermement l’inflation. Désormais, les décisions sur le rythme de hausse seront prises lors de chaque réunion, en fonction des dernières données disponibles.

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La BCE a également dévoilé un nouvel outil appelé « Instrument de protection de la transmission » (TPI) . Celui-ci aurait pour objectif d’apporter une nouvelle aide aux pays les plus endettés de l’Union Européenne et ainsi éviter une fragmentation de la zone euro. En effet, chaque pays dispose d’un niveau endettement différent. A titre indicatif, l’Allemagne est un des pays les moins endettés tandis que l’Italie l’est considérablement. De ce fait, il est plus coûteux pour certains Etats de se financer via l’émission d’obligations. Avec une dette souveraine importante, les coûts d’emprunts de ces Etats sont élevés compte tenu du risque que prennent les investisseurs, risque qui doit être rémunéré. De plus, les investisseurs qui craignent pour la stabilité financière des États membres très endettés peuvent se réfugier dans les obligations perçues comme plus sûres, exacerbant ainsi l’effet inégal de la politique monétaire. De ce fait, les spreads de taux des obligations souveraines peuvent devenir bien trop grands. Cet écartement trop important des coûts de financement d’un Etat par rapport au reste de la zone euro peut provoquer une nouvelle crise de la dette.

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Source : Reuters / Évolution des obligations souveraines Septembre 2008 – Avril 2013

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Source : Reuters / Évolution des obligations souveraines Mai 2020 – Juillet 2022

GR10Y / ES10Y / IT10Y / FR10Y / DE10Y

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Face à cela, la BCE souhaite soutenir financièrement les Etats qui ont du mal à emprunter. Concrètement, ce mécanisme va permettre à la Banque centrale européenne d’acheter des titres de dette des Etats, sur le marché secondaire, quand ces Etats font face à « une détérioration des conditions de financement non justifiée par les fondamentaux propres à chaque pays » ( Institution de Francfort). Ces achats viseront des obligations souveraines d’une maturité entre 1 et 10 ans, selon le communiqué. La BCE a également indiqué que l’ampleur des achats dans le cadre du (Transmission Protection Instrument, TPI) dépend de la gravité des risques auxquels est confrontée la transmission de la politique monétaire. Cet engagement intervient alors que l’Italie fait face à une grave crise politique après la démission du président du Conseil, Mario Draghi. Néanmoins, Christine Lagarde veut se montrer stricte et assure que l’éligibilité au TPI est soumise à des critères bien spécifiques :

. ne pas avoir de déficit excessif

· ne pas avoir de déséquilibres macroéconomiques graves

· avoir une dette « viable »

· avoir des politiques macroéconomiques saines et durables

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La BCE indique également qu’elle examinera la viabilité budgétaire d’un pays et qu’elle vérifiera s’il a mis en place des « politiques macroéconomiques saines et durables ». Des critères assez flous, qui seront interprétés au cas par cas par la BCE et les autres institutions de l’Union européenne. Le Conseil des gouverneurs pourra alors seul activer l’IPT après « une évaluation complète des indicateurs de marché et de transmission » de sa politique.

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Cet outil vise bel et bien à maintenir la stabilité au sein de l’Union Européenne mais n’en reste pas moins surprenant. En effet, dans son mécanisme, le TPI ressemble beaucoup au programme d’achat d’actifs (APP) – qui permettait à la BCE d’acheter des obligations d’Etat pour baisser leurs taux d’intérêt- qui vient justement d’être arrêté par la BCE pour combattre l’inflation.

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23-25 RUE DUMONT D’URVILLE

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Les entreprises par le biais de leurs actions, ont la possibilité de verser aux actionnaires une partie de leurs bénéfices par les dividendes. 

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Les produits structurés sont une alternative d’investissement intéressante car il offre de nombreux mécanismes avantageux pour les investisseurs. Un produit structuré utilise les dividendes des sous-jacents pour offrir par exemple des protections en capital et des coupons. Plus les dividendes sont conséquents, plus les conditions sont attractives pour l’investisseur. 

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Les banques d’investissement proposent maintenant des actions à « decrement ».

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Les valeurs de ces actions sont obtenues à partir d’une action classique à laquelle est soustrait un decrement, et est réintégré le dividende versé par l’action.  

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Les indices à decrement sont une solution pour réduire le risque de non-versement dividendes en fixant préalablement un niveau de dividendes synthétiques. Les produits qui ont comme sous-jacent des indices à decrement offrent donc aux clients des meilleures conditions de pricing et donc des coupons plus élevés. 

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Ces sous-jacents représentent cependant un risque supplémentaire pour les investisseurs.

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En effet, si le dividende synthétique est supérieur au dividende réellement versé par l’action, alors le sous-jacent à decrement réalisera une moins bonne performance que l’action classique.

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Cependant si le decrement est inférieur au dividende versé par l’action, alors l’indice a decrement réalisera une meilleure performance que l’action classique.

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Il est donc intéressant pour l’investisseur d’avoir une anticipation sur le niveau de dividende qui sera réellement versé par l’action afin de choisir au mieux l’indice à decrement. 

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Nous pouvons observer dans le graphique ci-dessus deux actions avec des valeurs de decrement différentes ainsi que l’action classique. Les cours ont été rebassés en 100, au 31 décembre 2020. La courbe bleue représente l’action Orange avec un decrement de 70 centimes. La courbe verte représente l’action à decrement avec un dividende synthétique de 65 centimes. L’action classique d’Orange est, elle, représentée en noire. Sur l’année 2021, le titre Orange a versé un dividende de 80 centimes.

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On observe que les deux actions à decrement ont mieux performé que l’action classique d’Orange, du fait de leur decrement qui étaient inférieur aux dividendes versés par l’action.

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L’action Orange est un exemple d’action à decrement parmi les nombreux indices à decrement existant. 

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EAVEST suit pour vous un grand nombre d’autres actions à decrement sur des sous-jacents, que vous pouvez dès à présent découvrir auprès de nos équipes. 

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Bilan du mois Juin 2022 : La fin d’un semestre riche en rebondissements

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L’annonce du mois

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« Nous avons connu une série de grands chocs, sans

respiration entre eux, ce qui s’est bien sûr répercuté

sur les anticipations d’inflation. Quand on les met

ensemble, ils ne sont plus transitoires ​au sens

traditionnel du terme »

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A souligné Andrew Bailey au Forum de la banque centrale européenne, dans la ville de Sintra au Portugal.


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Le résumé du mois

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Le contraste est saisissant !

L’année 2021 avait été une année record, l’ensemble des bourses mondiales avaient fait l’objet d’un rebond massif après la crise du COVID-19. En dressant le tableau de ce début d’année 2022, la situation est plus à l’incertitude… Inflation galopante, guerre en Ukraine et son impact sur le secteur énergétique, confinements en Chine et ses impacts sur les chaînes d’approvisionnements, autant de facteurs qui ont amené une forte volatilité sur les marchés. Ces derniers sont les principaux responsables des baisses que subissent les marchés actions.

D’autant plus sensibles aux aléas économiques, les valeurs de la Tech ont connu un véritable contrecoup. Ce revirement, aussi soudain, devra trouver son point bas. De nombreux analystes et prévisionnistes s’essayent à trouver la lumière au bout du tunnel. Cet exercice offre aux investisseurs de l’espoir compte tenu de l’état économique et géopolitique mondial.

L’Europe a su mieux résister, mais les portefeuilles portent les stigmates du choc inflationniste et monétaire. Le sentiment global du marché s’améliore de jour en jour. L’optimisme repose essentiellement sur la perspective d’une embellie des relations entre les Etats-Unis et la Chine. Joe Biden pourrait alléger une partie des surtaxes commerciales qui affectent les importations de produits chinois depuis l’ère Trump, notamment sur des produits de consommation de base. Cela enverrait un signal déflationniste sur les prix, ainsi qu’une relance de l’économie chinoise.

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Récession : de quoi parle-t-on réellement ?

Ce phénomène économique préoccupe significativement l’ensemble des acteurs des marchés financiers en cette fin de semestre. La récession, dans sa définition économique, correspond à la survenance de deux trimestres consécutifs avec un taux de croissance négatif du PIB. Le premier trimestre de cette année 2022 répond à ces critères, d’où l’inquiétude actuelle portée sur les chiffres du second trimestre. En conséquence, la probabilité d’une récession pousse les investisseurs à sérieusement repenser leurs stratégies de portefeuille. Même les banques sont contraintes de s’ajuster.

L’autorité bancaire européenne va contraindre les banques à intégrer le risque de récession dans leurs trajectoires de fonds propres. Elles, qui, avec des liquidités au plus haut, ont ardemment accordé des prêts aux particuliers à des taux très bas ces dernières années, sont sous la menace de défauts de paiement. D’un point de vue global, les marchés ont intégré ces derniers mois la remontée des taux, mais ils doivent encore digérer le ralentissement économique à venir dans le but de stabiliser l’économie.

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Les banques centrales à la manœuvre :

Une nouvelle fois, les banques centrales ont largement influencé les mouvements boursiers de ce mois de juin. Les politiques monétaires d’une grande partie de celles-ci ont un seul et unique objectif à court terme, faire reculer l’inflation. Le pouvoir d’achat des ménages est bousculé par la hausse généralisée des prix qui continuent de battre des records. Aux grands maux les grands remèdes. La Réserve Fédérale américaine a procédé à un tour de vis historique à l’issue de la réunion de son comité de politique monétaire, ce 15 juin 2022. Une remontée de ses taux d’intérêt de 0,75 point, du jamais-vu depuis 1994. Cette décision marquante laisse planer une forte inquiétude de récession chez les investisseurs. Ils s’interrogent alors sur l’intensité de ce resserrement monétaire et sur ses conséquences.

Entre croissance et inflation, la flexibilité des mesures prises par les banquiers centraux semble créer la controverse. D’autant plus que l’appréhension de ce phénomène inflationniste n’a pas été correctement établie. À l’occasion du forum de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde, Jérôme Powell et Andrew Bailey ont reconnu leurs méfaits. Jérôme Powell s’est voulu rassurant lors de cet évènement.  Il a alors affirmé qu’il était possible de poursuivre la remontée des taux sans tuer la croissance. « Mais ce sera plutôt compliqué ». Ces perspectives n’ont pas rasséréné les marchés. Les investisseurs ont naturellement mobilisé leurs capitaux à la faveur des valeurs refuges avec en tête de liste les rendements des obligations souveraines.

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La Chine comme la lanterne verte des marchés :

Après deux années difficiles pour l’économie chinoise, les perspectives d’un rebond ont tardé à résonner dans la tête des investisseurs. Les confinements en série ont lourdement affecté la chaîne logistique et la production manufacturière. Cependant l’immobilier a significativement servi de moteur à la croissance en Chine, qui a subi l’onde de choc des communiqués de promoteurs étranglés par une dette abyssale. Les indicateurs de confiance des investisseurs sur les marchés ont naturellement pointé au plus bas ces deux dernières années. Ainsi, en dépit de fondamentaux parfois solides, le marché actions propose des points d’entrée qui ravivent l’intérêt des investisseurs.

De plus, la Banque populaire chinoise a confirmé apporter son soutien à l’économie avec une politique monétaire accommodante. L’indice MSCI China prend à contre-pied la grande partie des marchés mondiaux ce mois-ci et signe une performance d’environ 6 % à la hausse. Néanmoins, les relations qu’entretient le gouvernement chinois avec la Russie poussent les investisseurs à rester prudents.

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Les chiffres du mois

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Résultat du mois d’avril : un CAC 40 à 5922.86 points au 29/04/2022, soit une baisse de -8.44% sur le mois.

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Parmi les indices sponsorisés, les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de 8.82%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en baisse de -9.38%.

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Les indices ISR sont en baisse sur le mois de mars avec une moyenne des performances à -9.81%.

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Sources : Refinitiv / Investeam / Les Echos


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STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Avertissement de MSCI

Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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VIVA TECH

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C’est l’événement incontournable sur les thématiques de l’innovation et de la Tech. Le salon Viva Tech s’est tenu la semaine dernière, pour sa 6ème édition, à Paris. A cette occasion, la célèbre banque d’affaires GP Bullhound publie chaque année son rapport du Salon Viva Tech mettant en valeur les start-up de l’écosystème tech européen. Le rapport de 2021 révélait que l’Europe avait franchi un cap. La création de valeur cumulée par les start-up et entreprises européennes atteignait pour la première fois 1.000 milliard de dollars, soit autant de licornes créées qu’au cours des trois dernières années cumulées !

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EUROPE VERSUS CALIFORNIE

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La Californie est la capitale mondiale de la High-tech. Des grands groupes américains mais aussi des jeunes pousses spécialisées dans l’innovation technologique se partagent les lieux. La puissance économique et technologique californienne a connu une ascension considérable depuis 20 ans largement reflétée par la croissance de l’indice américain Nasdaq. Son cours s’est valorisé de 400% depuis les années 2000 et s’élève aujourd’hui à 11 560 points. Cette croissance s’est accélérée avec l’arrivée des applications, du cloud et des technologies connectées. La Californie a également profité des conséquences de la mondialisation financière de l’ensemble des pays industrialisés et des conditions de financements attractives mises en place par Alain Greenspan au début des années 2000.

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L’Europe, quant à elle, a pour objectif de créer ses propres géants internationaux à l’image des GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) aux USA et des BATX en Chine (Baidu, Alibaba, Tencent et Xiaomi). Elle souhaite jouer un rôle prépondérant dans l’écosystème tech et devenir plus compétitive face à une concurrence rude. A ce jour, la France conserve sa troisième place des pays de l’innovation dans le monde, derrière les États-Unis et le Japon. Le pays atteint cette place régulièrement depuis quelques années maintenant. Chaque année, elle dépose environ 30 % des brevets sur le marché et progresse au sein de ce secteur.

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En 2021 la French tech était déjà en pleine effervescence avec 11.6 milliards d’euros, 11 licornes et l’entrée en Bourse d’OVHcloud sur Euronext ainsi que l’indice du SBF120. Euronext est l’initiative la plus sérieuse destinée à faire émerger une place boursière européenne dévolue aux valeurs technologiques. Cet indice « tech » rassemble plus de cent sociétés européennes, dont 41 de l’Hexagone. Au total, celles-ci pèsent plus de 1 000 milliards d’euros de capitalisation boursière. Une nouvelle initiative semble être en discussion pour mettre en lumière les leaders du secteur de la tech avec l’indice “Euro Tech Leader ». Cet indice sera composé de plus de 100 entreprises leaders en Europe.

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L’organisation d’événement similaire au salon “Viva Tech” montre aussi que l’écosystème de la tech européenne a franchi un cap. Chaque année, de nouvelles licornes sont révélées au grand jour et mises à l’honneur tout au long de ces événements. En 2022, l’Europe regroupe 25 licornes dont Blackmarket, Blablacar ou encore Vestiaire Collective.

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Dans le monde de l’entreprise, une licorne est une start-up évaluée à plus de 1 milliard de dollars (soit environ 820 millions d’euros). Un grand nombre de licornes sont des start-up de la finance, appelées aussi des fintechs. Ses entreprises Fintechs sont des entreprises axées sur l’utilisation de la technologie pour aider les actionnaires à investir plus facilement.

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LA TECH CHEZ EAVEST

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L’innovation est au cœur du changement et de nombreux investisseurs souhaitent y prendre part. La crise du Covid-19 a démontré comment l’innovation permet de s’adapter à un monde qui change. Cette expérience inédite du confinement forcé, ainsi que les mesures de distanciation sociale laissent des marques profondes. Tout ceci a été le catalyseur d’une accélération profonde, bouleversante et nécessaire vers la transition numérique pour beaucoup d’industries. Cependant, la valorisation du secteur de la tech a tendance à inquiéter. Même s’il laisse espérer des rendements attractifs, ce secteur est significativement soumis aux aléas économiques et présente donc une forte volatilité.

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Parmi les valeurs qui seront présentes dans l’Euronext tech Leader, Eavest propose de réaliser un “Autocall Worst Of” sur Adyen et ASML Holding. Ces deux entreprises ont connu une forte croissance entre 2017 et 2021 comme en témoigne la forte évolution de leur résultats net ci-dessous :  

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Les analystes prévoient une hausse du prix de l’action de 70% pour Adyen et de 55% pour ASML. (Source : Reuters)

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Voici le dernier Worst of proposé chez EAVEST :

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

POINTS CLES !

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  • Viva Tech réunit l’ensemble des grands acteurs économiques et technologiques dont le but est de générer de la croissance pour les entreprises.
  • Une licorne est une start-up évaluée à plus de 1 milliard de dollars (soit environ 820 millions d’euros).
  • La France conserve sa troisième place des pays de l’innovation dans le monde. Chaque année, elle dépose environ 30 % des brevets français et valorise ainsi le secteur de la tech.
  • Vous retrouverez le dernier WOF proposé par EAVEST ci dessus :

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QU’EST-CE QU’UN PRODUIT STRUCTURE A CAPITAL GARANTI ?

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Les produits structurés à capital garanti sont des produits d’investissement qui ont comme caractéristique de garantir le capital investi initialement. Dans ce type de placement on privilégie son capital par rapport au rendement. Cette garantie en capital ne dépend pas de la tendance des marchés, cette sécurité est absolue.

Il est aussi important de préciser que la garantie en capital n’est effective qu’à maturité. En cas de sortie anticipée, celle-ci ne s’applique pas et ce sont les conditions de marché qui déterminent les niveaux de sortie du placement. De plus la garantie du capital à l’échéance n’est pas assurée si l’émetteur fait défaut.

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LE MECANISME D’UN PRODUIT A CAPITAL GARANTI

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Pour garantir ce capital on achète une obligation zéro coupon.

Le prix d’une obligation zéro-coupon est déterminé par l’actualisation du montant investi par le client. Le prix de cette obligation est inférieur au capital investi par le client ce qui finance l’achat d’options permettant de procurer du rendement au client.

Il existe de nombreuses façons d’obtenir de la rentabilité avec le montant qui n’a pas été investi dans l’achat du zéro-coupon.

On peut par exemple acheter des options d’achats (Call) qui permettront de participer à la hausse du sous-jacent si ce dernier est supérieur au niveau d’exercice de l’option.

On peut également acheter des options digitales qui permettront de verser des coupons.

Cela fonctionne comme un Autocall : si le sous-jacent est au-dessus de sa barrière de rappel alors l’investisseur reçoit des coupons ainsi que l’intégralité de son capital investi.

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CONTEXTE LE PLUS PROPICE POUR INVESTIR ?

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Le contexte le plus propice pour investir sur des produits à capital garanti est lorsque les taux sont particulièrement élevés, car le prix des obligations zéro-coupon est plus faible.

(T= 10 ans)

Dans ce cas, le montant à investir devient plus important ce qui offre des meilleures perspectives de rendements. Avec une hausse des taux généralisé, le produit à capital garanti est un bon choix d’investissement qui permet de protéger le capital même en cas de baisse des marchés.

Voici le dernier produit à capital garanti ayant été commercialisé chez EAVEST :

Pour plus d’information consultez notre page EAVESTPEDIA.

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POINT CLES !

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  • Un produit structuré à capital garanti protège le capital investi.
  • Les produits structurés à capital garanti peuvent offrir un rendement.
  • Un produit structuré à capital garanti peut permettre de toucher des coupons tout au long de sa durée de vie.
  • • L’actualisation d’un produit structuré est meilleure lorsque les taux sont plus élevés, donc le rendement est meilleur.

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COMPRENDRE LE

FONCTIONNEMENT DE LA

VOLATILITE ?

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La volatilité, c’est l’amplitude des mouvements de prix sur les marchés financiers. Le cours d’une action varie en permanence à la hausse ou à la baisse en fonction de nombreux facteurs. Ce qui explique que les investisseurs soient particulièrement attentifs aux annonces de la BCE, et de le FED.

Il est important d’analyser la volatilité afin d’optimiser sa gestion de risque en période d’incertitude. Celle-ci est calculée sur une période donnée et permet de visualiser le risque.

La volatilité est calculée par l’écart-type des rendements. Celui-ci mesure la somme des écarts à la moyenne des rendements. Il est important de savoir que certains actifs sont plus sensibles à la volatilité des marchés. Les actions individuelles sont davantage touchées par la volatilité par rapport aux obligations et aux produits structurés.

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QU’EST-CE QUE LA

VOLATILITE HISTORIQUE

ET IMPLICITE ?

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On peut distinguer différentes catégories de volatilité : historique et implicite.

La volatilité historique indique la volatilité d’une action pour une période passée.

La volatilité implicite correspond à la volatilité anticipée par le marché. Elle se base sur les fluctuations du prix des options liées à cet actif. Un titre avec une volatilité implicite de 20 % et un prix initial de 100 € indiquent que le sous-jacent devrait varier entre 80 € et 120 €.

Cependant la volatilité implicite n’est pas une science exacte, il ne s’agit que d’une projection qui peut s’avérer fausse. Le S&P 500 VIX est un indice calculant la volatilité implicite des options qui ont une maturité de 30 jours. Cet indicateur, connu également sous le nom d’indice de la peur, est utilisé comme référence pour mesurer la volatilité des marchés.

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LES MECANISMES DE LA

VOLATILITE

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En période incertaine, la volatilité est élevée ce qui signifie qu’il y a plus de risque à investir en cette période. Ce risque sera compensé par des coupons plus élevés, donc un rendement meilleur.

Un investisseur en période incertaine ayant déjà un produit structuré sur le marché est sujet à une baisse de valorisation. Cependant, cette baisse est temporaire si la volatilité vient à baisser.

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CONTEXTE RUSSO-

UKRAINIEN

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Le 24 février 2022 à 5h48, Vladimir Poutine lance une offensive militaire en Ukraine. Les principales villes Ukrainiennes se réveillent en feu, avec des immeubles bombardés, des combats dans les aéroports et des blindés dans les rues. C’est le début de la guerre et d’une grande période de trouble pour le reste du monde. Ce contexte de tensions/géopolitique engendre la dégradation du marché économique.

Les effets psychologiques d’une période incertaine ainsi que la hausse de l’inflation affolent les ménages. Cela entraîne de nombreuses perturbations sur les marchés financiers.

En effet, en cette période de crise ou de tension économique, les marchés financiers entrent dans des périodes d’instabilité, ce qui ne plaît pas aux investisseurs.

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CONTEXTE ACTUEL

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Evolution de la volatilité implicite sur 4 mois :

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Dans les graphiques ci-dessous, la volatilité implicite est retracée sur différentes maturités. Pour chaque maturité, on regarde les volatilités implicites des options à la monnaie (ATM).

Si l’on fait un point de comparaison entre le commencement de la guerre en Europe et le contexte actuel, les marchés se portent mieux.

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On observe à travers les graphiques que les options de maturité plus longues (5 ans) ont vu leur volatilité beaucoup moins fluctuer à fin février. En effet, un investissement à long terme se préoccupera moins d’une volatilité qui s’affole de manière temporaire.

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En revanche, beaucoup de trader à court terme prennent en compte la volatilité au moment de composer leur portefeuille. Avant le début du conflit Russo-Ukrainien, en février 2022, la volatilité implicite des options à maturité 3 mois était à 17 %. Au commencement de la guerre elle atteignait 35 %. Celle-ci est redescendue aux alentours de 20 % ces dernières semaines. Cependant, ces derniers jours, le marché connaît une forte hausse de la volatilité. Cette dernière est dûe à la publication des chiffres de la Fed sur l’inflation en glissement annuel, bien supérieurs aux attentes du marché (8.6% contre 8.3% attendu).

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Le graphique ci-dessus montre que sur une maturité courte (3 mois), le conflit Russo-Ukrainien a eu un fort impact sur la volatilité implicite, d’autant plus sur l’Euro Stoxx 50. On peut voir que la volatilité a doublé depuis février. Pendant la période de forte tension en Europe, le marché américain a moins été impacté avec une volatilité relativement faible par rapport à l’Europe. Le marché européen, quant à lui, a subi à un pic de volatilité face à l’incertitude de la situation. La proximité géographique peut expliquer cette différence entre les volatilités. Cependant, on peut tout de même souligner que les Américains sont moins réticents face aux investissements à risques.

Cette augmentation de la volatilité permet d’offrir des coupons intéressants sur les nouveaux produits proposés par Eavest.

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Evolution de la volatilité implicite sur 1 an :

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Les produits structurés ont tendance à être des investissements sur une maturité longue en moyenne de 5 ans à 10 ans. Comme le montrent les graphiques ci-dessus, la volatilité implicite des options à maturité 5 ans a connu des fluctuations beaucoup plus faibles que celle des options à court terme lors du conflit Russo-Ukrainien. L’avantage des options à maturité 5 à 10 ans permettent de limiter l’aspect négatif.

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POINT CLES !

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  • La volatilité, c’est l’amplitude des mouvements de prix sur les marchés financiers. Si la volatilité est élevée cela signifie que le risque est plus important.
  • Il existe différentes volatilités (historique et implicite) celles-ci permettent de faire des prédictions sur le marché.
  • Si la volatilité est élevée alors les coupons seront plus importants.
  • Lors d’une période de forte volatilité, les investisseurs déjà présents sur le marché sont sujet à une dévalorisation de leur produit. Cependant, ce mécanisme reste temporaire.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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