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Bonjour,

Bilan du mois de novembre : les marchés d’actions ont été particulièrement baissiers !

En France, le CAC 40 recule légèrement ce mois-ci (-1,60 %) après avoir inscrit de nouveaux records historiques au-delà des 7100 points !

Le Covid-19 continue de faire des ravages et suscite de nouvelles craintes… La Bourse de Paris craquait en début de séance vendredi 26 novembre, chutant de plus de 4%, rattrapée comme d’autres places mondiales par l’émergence d’un nouveau variant particulièrement contagieux en Afrique du Sud. Il présente un potentiel de propagation très rapide, selon les scientifiques, qui ignorent à ce stade si les vaccins actuellement disponibles sont efficaces contre lui. L’indice CAC 40 chutait au point d’annuler ses gains depuis le début du mois. L’indice de la peur est monté au cours du mois de Novembre à 31.

La récente augmentation des cas de Covid-19 et l’émergence d’un nouveau variant posent des risques à la baisse pour l’emploi et l’activité économique et accroissent l’incertitude quant à l’inflation, selon le président de la banque centrale américaine (Fed) Jerome Powell. En effet, « de plus grandes inquiétudes concernant le virus pourraient réduire la volonté des gens de travailler en physique, ce qui pourrait ralentir les progrès sur le marché du travail et intensifier les perturbations de la chaîne d’approvisionnement », a-t-il précisé. Le nouveau variant Omicron du Covid-19, qui a poussé de nombreux pays à prendre des mesures de restriction de voyages, fait naître des craintes pour la reprise économique mondiale.

Le président de la Fed, que Joe Biden vient de renommer pour un second mandat, a également indiqué que les facteurs qui poussent l’inflation à la hausse persisteront largement l’année prochaine. Cependant, il a aussi souligné que la plupart des prévisionnistes continuent de s’attendre à une baisse significative de l’inflation au cours de l’année 2022, à mesure que les déséquilibres de l’offre et de la demande s’atténueront. L’inflation aux Etats-Unis est au plus haut depuis 31 ans, et s’est accélérée en octobre à 5% sur un an, selon l’indice PCE du département du Commerce.

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Résultat du mois d’octobre : un CAC 40 à 6721.16 points au 30/11/2021, soit une baisse de -1.60% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Parmi les indices sponsorisés, la plupart les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de –3.40%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en baisse de –3.95%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Les indices ISR sont également en baisse sur le mois de novembre avec une moyenne des performances de –2.90%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

Comme si les inquiétudes nées de la découverte du nouveau variant du Covid, Omicron, ne suffisaient pas… Pour ce dernier mois de l’année, la Bourse va devoir composer avec un nouvel obstacle, l’accélération potentielle de la réduction des achats d’actifs par la Fed, mécaniquement défavorable aux marchés actions, car elle pourrait conduire à un relèvement prématuré des taux d’intérêt aux Etats-Unis.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits structurés sur mesure !

Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant : https://eavest.fr/octobre-2021-performance-des-indices-pour-produits-structures/

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L’équipe EAVEST

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Reuters / Les Echos / Investeam


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STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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EAVEST dispose de la plus importante base de données des produits structurés émis sur le marché Français. En créant votre portefeuille en ligne, vous pouvez ajouter les produits auxquels vous avez souscrit. En une seule page vous avez un aperçu de vos investissements.

En plus des fonctionnalités de bases où chaque produit dispose d’une fiche récapitulative !

Vous avez ainsi accès aux caractéristiques du produit.
A savoir : le niveau de strike, les périodes d’observations / les différents niveaux de barrières / le coupon / la maturité / l’émetteur etc.

Mais aussi aux documents légaux, à savoir term-sheet ou document marketing. Cela vous permet de retrouver très rapidement les documents rédigés par la banque émettrice.

  • Deux nouvelles fonctionnalités ont fait leur apparition sur le site !

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Votre analyse graphique des produits Worst Of !

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Vous pouvez suivre l’évolution du ou des sous-jacents chaque jour. Les différents niveaux de barrière vous permettent de vous situer, des encadrés sont aussi à votre disposition pour connaitre la prochaine date d’observation ou le rendement attendu.

La typologie de produit « worst of » (« pire de ») qui fait référence à la pire performance des sous-jacents sélectionnés prend de plus en plus d’importance sur le marché Français.

Ainsi, avec cette nouvelle fonctionnalité vous pouvez suivre très facilement vos investissements au quotidien !

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Votre tableau récapitulatif du versement des coupons !

La typologie de produit appelé Phoenix, vous permet de percevoir des coupons mêmes en cas de baisse des marchés. Certains sont dits « mémoire », ainsi si le sous-jacent est au-dessus de la barrière de coupon votre coupon est versé, dans le cas contraire, votre coupon est mis en mémoire et versé sous condition lors des prochaines dates d’observations.

Ce nouvel outil, vous permet d’avoir un récapitulatif sur le nombre de coupons mis en mémoire et le nombre de coupons versés.

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Bonjour,

Bilan du mois d’octobre : les marchés d’actions ont été particulièrement haussiers !

En France, le CAC 40 a enregistré son meilleur mois (+4,76 %) depuis mars et les indices américains ont inscrit de nouveaux records historiques. Les craintes sur l’inflation et le ralentissement de la croissance économique sont effacées par des publications de résultats trimestriels encourageantes.

Dans cette reprise, l’économie mondiale devrait croître de +5,90 % en 2021 et de +4,90 % en 2022, soit 0,1 point de pourcentage de moins pour 2021 que dans la mise à jour de juillet. La révision à la baisse pour 2021 résulte d’une dégradation de la situation dans les pays avancés, en partie due à des ruptures d’approvisionnement, et dans les pays en développement à faible revenu, principalement en raison de l’aggravation de la dynamique de la pandémie. Cette évolution est partiellement compensée par des perspectives à court terme plus favorables pour certains pays émergents et pays en développement exportateurs de produits de base.

Parmi les grands pays de la zone euro, la France fait figure de premier de la classe et retrouve son niveau de PIB d’avant-crise au troisième trimestre. Depuis le début de l’année, l’acquis de croissance atteint 6,60 %. L’économie française s’est relevée plus vite que l’économie allemande notamment, du fait de sa sous-exposition au secteur industriel, qui pâtit encore aujourd’hui de fortes perturbations sur les chaînes d’approvisionnement, et de sa surexposition au secteur du tourisme bénéficiant d’un fort rattrapage ces derniers mois.

L’inflation était au cœur des discussions au sein du Conseil des gouverneurs de la BCE. L’institution a répété qu’elle jugeait temporaires ses facteurs, bien qu’ils s’avèrent plus durables qu’initialement prévu. Elle n’a donc apporté aucun changement à sa politique monétaire menée jusqu’ici. Comme annoncé en septembre, le programme d’achat d’urgence pandémique (PEPP) continuera sur un rythme plus modéré. La BCE a confirmé la fin probable de ce programme pour mars 2022. Malgré les hausses récentes de l’inflation globale dans les pays avancés et les pays émergents, les anticipations d’inflation à long terme restent ancrées.

En zone Euro, le rebond de l’économie depuis le printemps – après le choc des restrictions sanitaires liées à la pandémie du Covid-19 – continue d’alimenter l’embellie du marché du travail. Pour l’ensemble de l’UE, le chômage a reculé en septembre à 6,70% de la population active – contre 6,90% le mois précédent, et 7,70% en septembre 2020 – selon l’office européen des statistiques. Parmi les poids lourds de la zone euro, l’Allemagne affiche toujours la meilleure performance (3,40%), peu ou prou au niveau des Pays-Bas (3,10%), loin devant la France (7,70%) et l’Italie encore traumatisées par la pandémie du Covid-19 (9,20%).

Les pays du G20 ont entériné l’accord sur la taxation internationale, qui ambitionne de mettre fin aux paradis fiscaux. Cet accord avait été conclu début octobre sous l’égide de l’OCDE par 136 pays, qui représentent plus de 90% du PIB mondial. La réforme devrait permettre à ces pays de dégager environ 150 milliards de dollars de recettes supplémentaires par an grâce à un impôt minimal de 15% sur les multinationales.

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Résultat du mois d’Octobre : un CAC 40 à 6830.34 points au 29/10/2021, soit une hausse de +4.76% sur le mois.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +3.70%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en hausse de +4.07%. L’indice « Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% » sponsorisé par BNP connait notamment une hausse de +8.05% !

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

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Les indices ISR sont également en hausse sur le mois d’octobre avec une moyenne des performances de 3.87%.

Retrouvez toutes les informations des indices sur le EAVESTPEDIA.

La Réserve fédérale américaine devrait bientôt commencer à réduire ses achats d’actifs d’après Jérôme Powell, son président.

En revanche, la Fed ne devrait pas pour autant relever ses taux d’intérêt, le marché de l’emploi restant fragile. L’urgence à relever les taux est d’autant moins d’actualité que l’inflation devrait commencer à diminuer l’an prochain, a justifié le président de l’institution.

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Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits structurés sur mesure !

Retrouvez notre analyse du mois précédent sur le lien suivant :

https://eavest.fr/septembre-2021-performance-des-indices-pour-produits-structures/

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Quelle que soit son activité, le dirigeant d’entreprise est amené tôt ou tard à se poser ces questions : Comment placer ma trésorerie excédentaire d’entreprise ? Quelles stratégies et quels placements ?

Car en effet, au-delà du besoin en fonds de roulement nécessaire à l’activité, il est important de bien investir cette trésorerie. Il s’agit alors de placer selon les projets et les horizons de placement de la société. Il existe ainsi des placements courts termes et sécurisés, et des investissements plus long terme avec une meilleure espérance de rendement. Dans la pratique, les produits d’épargne et investissements seront donc adaptés selon ces 3 principaux critères : rendement, risque, liquidité.

On évoque la trésorerie d’entreprise, mais cela concerne également celle des personnes morales en général – dont les sociétés civiles immobilières (SCI), les holdings patrimoniales et les associations font partie intégrante.

Différentes options s’offrent à vous, et il est important de faire le bon choix !

Pour ce faire, il existe les produits structurés, accessibles en contrat de capitalisation et/ou en compte-titres ordinaire. Aujourd’hui, les investisseurs ont de plus en plus recours à ces solutions du fait de connaitre le ratio risque/rendement dès le lancement du produit. Certains d’entre eux permettant même de verser des coupons en cas de baisse des marchés tout en ayant une protection du capital importante.

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EAVEST, spécialiste des solutions structurées, vous accompagne dans la réflexion de solutions sur mesure.

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Profitons-en pour faire un petit rappel sur les différents contrats qui peuvent loger les produits structurés :

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– Le contrat de capitalisation

C’est une « enveloppe » d’épargne disponible pour les personnes morales où l’on peut investir sur plusieurs produits dans un même contrat : fonds euro, SCPI, SCI ou OPCI, fonds d’investissement patrimoniaux, actions, obligations, produits structurés, etc. 

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– Le compte-titres ordinaire

En lieu et place d’un plan d’épargne actions (PEA), les entreprises peuvent ouvrir un ou plusieurs compte-titres ordinaire (CTO) pour personne morale – sans plafond de versement.

Le CTO permet d’investir en bourse, sur différents marchés à l’international : actions, obligations et matières premières, produits structurés. Ainsi, l’univers d’investissement est large, également au niveau géographique.

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.Et si vous avez besoin de garder la disponibilité immédiate de votre trésorerie et acceptez des taux de rendement inférieurs à 1 %, vous pouvez toujours continuer à vous orienter vers les comptes et dépôts à terme !

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En Conclusion

Chaque dirigeant est décideur de ses projets, horizons de placement, sensibilité aux risques et généralement, il veillera à diversifier son portefeuille de placements. Ainsi, il pourra choisir de placer sa trésorerie à sécuriser à court terme sur un compte à terme (CAT). Et concernant sa trésorerie excédentaire – afin de la faire fructifier sur du moyen ou long terme – il pourra investir en immobilier (SCPI ou OPCI), en bourse (compte-titres en gestion libre ou pilotée) et en produits structurés. 

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Retrouvez l’article sur le site H24 Finance : https://www.h24finance.com/news-15421.html

Pour plus d’informations, nous avons mis à votre disposition des questions/réponses sur l’utilisation des produits structurés : https://www.eavest.com/eavestpedia?lang=fr_FR

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A l’approche de l’hiver dans l’hémisphère nord, l’envolée des prix de l’énergie – comme des matières premières d’ailleurs – monopolise l’attention des investisseurs et semble faire vaciller les marchés. Au point de voir ressurgir les craintes d’un « choc », prélude à une stagflation économique, comme celle des années 70.

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La comparaison est saisissante, elle n’est pas forcément pertinente. Il reste que l’envolée récente des prix des énergies nous invite à nous interroger sur leur caractère temporaire ou plus durable, et s’il faut redouter des pénuries.

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Le rebond de la demande mondiale et la concurrence des acheteurs pèsent sur les marchés. Traditionnellement, la période d’été est celle de la reconstitution des stocks d’énergie avant l’hiver. Le rebond de l’activité au sortir de la pandémie a accru la demande en provenance des industries, autant que pour la consommation finale. De plus la part de la demande d’électricité dans le mix énergétique mondial ne fait que croître. Selon l’Agence Internationale de l’Energie, sa part est passée de 9,5% en 1973 à 19,5% en 2019, tandis que la part de pétrole et de charbon consommés recule et que celle du gaz progresse plus modérément[1].

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Dans le même temps, la production d’énergies a été perturbée sur bien des théâtres. De fait la production de gaz naturel et son transport vers l’Europe a été ralentie par des incidents sur les sites de production russe et le retard de mise en service du gazoduc Nordstream2. La Norvège n’a guère augmenté ses exportations alors que la production hydroélectrique a été réduite. Il en a été de même aux Etats-Unis où les producteurs de gaz de schiste n’ont guère « poussé les feux » de la production. Les capacités de liquéfaction sont également saturées. La concurrence accrue venue d’Asie – et notamment de Chine – a « dérouté » les méthaniers vers les plus offrants.

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Stocks de gaz plus bas au sortir de l’hiver 2020/21, demande accrue, exacerbée par la volonté de réduire les émissions de CO2, baisse de production des énergies alternatives (le manque de vent a perturbé la production électrique en Allemagne comme au Royaume Uni), ont contribué à ces hausses, à des degrés divers. De plus, après une longue période de « basses eaux » les grands producteurs peuvent à nouveau engranger des recettes importantes. Ainsi, le prix du baril de Brent vient de franchir à la hausse le seuil de 80$/baril pour la première fois depuis 2014. Les pays membres de l’OPEP + n’augmentent leurs quotas de production qu’au compte-goutte (graphique ci-dessous).

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De telles hausses de prix sont propices à relancer la production d’énergie plutôt que de laisser s’installer la pénurie. Ainsi, face aux coupures de courant, la Chine vient de décider d’augmenter sa production de charbon. De même, la France demande à l’Union Européenne de revoir sa politique de prix en tenant compte de ses capacités de production électrique issues du nucléaire. Le Japon du Premier Ministre Kishida pourrait bien de son côté accélérer la remise en route des réacteurs nucléaires du pays.

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Si certains obstacles de court terme peuvent donc être surmontés, il reste à s’interroger sur le coût de la transition énergétique. La crise actuelle nous a montré que le recours aux énergies alternatives reste insuffisant et mal assuré. De même, la crainte des pénuries « fait sauter » les restrictions en matière d’émissions de CO2. La mise en service en Islande d’une « usine » de captation du carbone pourrait bien participer de la transition nécessaire vers une économie décarbonée. A l’aune de cette poussée des prix, on ne peut que constater que les coûts de ces procédés, comme la nécessité d’accélérer la recherche dans le transport et le stockage de l’électricité, seront aussi incontournables que coûteux.

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Ainsi, nous vous proposons une solution d’investissement en lien avec ces arguments :

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Pour en savoir plus sur ce type de produit rendez-vous sur la base produit Eavest en cliquant ici

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Valérie Plagnol X EAVEST


[1] https://www.iea.org/reports/key-world-energy-statistics-2021/final-consumption


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Bonjour,

En Chine, la société Evergrande a fait beaucoup parler d’elle au mois de septembre. Un défaut du promoteur surendetté à hauteur de 300 milliards de dollars, apparaît inévitable. Les marchés ont désormais intégré qu’une déflagration à la Lehman Brothers était néanmoins improbable. Une faillite du géant de l’immobilier pèserait en revanche sur la croissance chinoise, principal moteur de l’économie mondiale ces dernières années.

La société dispose d’un délai de grâce de 30 jours à compter du 24 septembre pour verser les 83,5 millions de dollars d’intérêts qui étaient dus à ses créanciers avant d’être formellement déclaré en défaut. La faillite imminente du géant de l’immobilier a de nouveau pesé sur les Bourses mondiales à la fin du mois de septembre, plombé par le secteur du luxe, très exposé à la consommation chinoise.

Côté hausse des prix à la consommation, lors d’un colloque qui s’est tenu la semaine dernière, la présidente de la BCE, Christine Lagarde, a affirmé que l’inflation qui a atteint 3,4% en septembre en zone euro n’était que le résultat de « chocs d’offre transitoires », lesquels n’avaient « aucune incidence sur le moyen terme ». La BCE prédit d’ailleurs un retour de l’inflation vers son objectif de 2% dès l’année prochaine. C’est pourquoi Christine Lagarde a estimé que l’institution ne devait pas resserrer trop tôt la politique monétaire et devait se garder de « surréagir » aux évolutions des prix découlant de difficultés dans la chaîne d’approvisionnement.

Les taux souverains se sont nettement tendus sur les marchés obligataires américains et européens depuis les dernières réunions de la BCE et de la Fed, qui se placent désormais dans l’optique d’une normalisation de leurs politiques monétaires, après 18 mois de crise sanitaire qui ont nécessité des mesures exceptionnelles de soutien.

La reprise économique mondiale est en bonne voie, et la pandémie de coronavirus semble désormais mieux contrôlée grâce à l’avancée des programmes de vaccination. Néanmoins, des rebonds épidémiques localisés entraînent des perturbations dans les chaînes d’approvisionnement, des pénuries et des hausses de prix qui inquiètent les marchés financiers, qui craignent le retour d’une inflation durable.

Résultat du mois de septembre : un CAC 40 à 6520.01 points au 30/09/2021, soit une baisse de 2.40% sur le mois.

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -3.12%.

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle en baisse de -2.10%. Néanmoins, l’indice « iStoxx® Europe 600 Energy ex Coal Decrement 50 » connait une hausse de 10.03% !

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Les indices ISR sont également en baisse sur le mois de septembre avec une moyenne des performances de –3.25%.

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Les Allemands étaient appelés à élire leurs députés le dimanche 26 septembre 2021. Le SPD d’Olaf Scholz devance d’une courte tête la CDU/CSU d’Armin Laschet. Les tractations commencent pour former une coalition et désigner le futur chancelier qui dirigera l’Allemagne pour quatre ans. Angela Merkel quittera ses fonctions après 16 années passées à la chancellerie.

Le président américain Joe Biden a indiqué ne pouvoir garantir que les Etats-Unis ne dépasseront pas le plafond de la dette publique, actuellement fixé à 28.400 milliards de dollars, exhortant les républicains à se joindre aux démocrates pour autoriser son relèvement. Le Congrès doit s’accorder rapidement afin d’éviter que l’Etat fédéral atteigne ce plafond, ce qui placerait les Etats-Unis en situation de défaut au risque de déclencher une crise financière.

Pour un suivi en temps réel, retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST !

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Comparer Tesla et EDF ? Pourquoi pas… Puisque Tesla veut officiellement devenir producteur d’électricité !

Les analystes les plus optimistes pour l’action Tesla estiment qu’il ne faut pas voir la société d’Elon Musk comme un simple constructeur automobile mais plutôt comme une société technologique – voire un futur conglomérat diversifié.

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Tesla leur a en partie donné raison il y a quelques semaines en présentant un projet de robot humanoïde grand public, une autre preuve de la volonté de Tesla de se diversifier et de révolutionner plusieurs pans de l’économie.

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Selon une demande déposée par la société auprès de la Public Utility Commission du Texas, Tesla voudrait vendre de l’électricité directement à ses clients dans cet Etat.

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Cette demande fait suite au lancement d’un projet de construction de batteries par Tesla à Angleton, au Texas, où l’entreprise souhaite connecter un système de stockage d’énergie de 100 mégawatts au réseau. La publication Texas Monthly a été la première à rapporter cette demande, qui a été déposée par Tesla Energy Ventures, filiale à 100% de Tesla.

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Tesla a également construit plusieurs systèmes de stockage d’énergie à l’échelle industrielle dans le monde, dont un à l’est de Los Angeles, un autre est en cours à Monterey en Californie, ainsi que deux en Australie – confirmant ces intentions sérieuses dans le secteur de l’énergie.

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Soulignons que cette décision intervient sans doute en réponse à une vague de froid qui s’est abattue sur le Texas en février de cette année, privant des millions de foyers d’électricité et d’eau pendant plusieurs jours. »

Investing

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Bonjour,

La rentrée des Bourses est très positive, particulièrement en Europe. Pour la première séance de septembre, le CAC 40 a dominé les principaux indices mondiaux (+1,18 %). L’indice enchaîne donc sept mois de hausse consécutifs, une série inédite depuis 2005 ! Au niveau européen, les indices restent également sur la même longueur d’onde que depuis plusieurs mois avec cependant une légère hausse, rassurés par l’accélération de la vaccination dans le monde.

Alors que les campagnes de vaccination sont en cours, l’économie mondiale se remet doucement de la pandémie, la plupart des pays développés ont déjà vacciné une grande partie de leur population, tandis que le bilan est plus mitigé dans les marchés émergents. Cela se traduit par un niveau record de l’inflation en dix ans : Au mois d’août, en rythme annualisé, le taux d’inflation atteint 3 % (1,7 % hors énergie) en zone euro. L’Allemagne publiait un taux d’inflation de 3,9 % : un plus haut depuis 1993. Le consensus s’accorde à dire que l’inflation continuera de grimper cet automne avant de redescendre progressivement.

Au deuxième semestre 2021, la croissance du PIB mondial sera principalement portée par les consommateurs. L’inflation rimant avec hausse des prix : celle-ci s’accélère nettement dans la zone euro et dépasse désormais largement la cible de la Banque centrale européenne (BCE) de 2 %. Plusieurs facteurs entrent en jeu : la hausse du prix du pétrole / le rebond de la demande avec la réouverture des économies mais aussi les pénuries de composants… La croissance du PIB mondial pourrait toutefois être menacée par la propagation de nouveaux variants du virus, plus transmissibles.

L’annonce d’un « tapering » – réduction des mesures de soutien monétaire – n’a pas franchement bousculé les marchés ; pour autant Jerome Powell l’a confirmé : il est favorable à une réduction de l’intervention de la Fed dans l’économie. A ce jour, la Fed injecte, via des rachats d’actifs, 120 milliards de dollars par mois. Powell n’a pas communiqué sur le calendrier, mais il est peu probable que la Fed réduise la voilure dès la prochaine réunion des 21 et 22 septembre prochain.

Résultat du mois d’août : un CAC 40 à 6680.18 au 31/08/2021, soit une hausse de +1.02 % sur le mois !

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +1.92% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de 1.83% ! Notamment avec l’indice « Solactive Home Staying Technologies 2020 AR 5% » qui connait une hausse de 3.13% !

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Les indices ISR sont également en hausse sur le mois d’août avec une moyenne des performances de +1.88% ! Notamment avec l’indice « Euro iStoxx® Equal Industry ESG 30 NR Decrement 5% » qui connait une hausse de 3.04% !

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Prochain rendez-vous européen : les élections allemandes le 26 septembre prochain – où la succession d’Angela Merkel à la tête de la première puissance économique européenne depuis 2005 est très attendue !

Concernant la situation sanitaire, les marchés restent sous la menace du variant Delta de la Covid-19, les investisseurs semblent un peu mieux appréhender la gestion de la crise sanitaire tous en restant très prudents, affaire à suivre dans les semaines qui arrivent !

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Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Reuters / Les Echos / Investeam


Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

Avertissement de SOLACTIVE

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Quel point commun entre Netflix / Amazon / Spotify… et les pharmas ?

Durant ces vacances studieuses et au vu des informations analysées, nous anticipons une évolution du business model du secteur pharmaceutique.

En effet, certains éléments laissent à penser que la stratégie des Pharmas pourrait tendre à ressembler à celle des entreprises à abonnements !

Si les populations sont capables de payer EUR 8.99 un abonnement Netflix mensuel pour du divertissement, pourquoi n’accepteraient-elles pas un abonnement de EUR 100 (ou davantage)/mensuel pour leur santé ?

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En pleine pandémie de la COVID-19 – où désormais le vaccin apparaît comme la seule solution pour espérer revenir à « une vie normale » – 42.82M de personnes sont vaccinés (selon les données de Tous Anti-Covid au 31/08/2021).

Les groupes pharmaceutiques ne peuvent donc être qu’optimistes sur leurs résultats prévisionnels !

Grâce à des commandes portant sur 2,1 milliards de doses de vaccins, Pfizer prévoit de générer un CA de USD 33,5 milliards cette année, contre USD 26 milliards attendus en mai dernier !

Et les ventes pourraient encore croître …

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Les confinements suite à l’apparition du COVID-19 ont fait exploser les résultats des valeurs dites « à abonnement ».

Le cours de bourse de Netflix, Amazon, Spotify, Apple Music, etc. a très fortement progressé, les marchés voyant dans ce modèle d’abonnement mensuel une pérennité et une visibilité chères aux investisseurs.

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La 3e dose de vaccin ou la sortie de traitements anti-COVID par PFIZER pourrait nous faire penser que l’abonnement donnerait accès à toutes ces « mises à jour » liées à la santé.

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Partons du fait que le vaccin du covid-19 nécessite un rappel régulier espacé de 6 à 8 mois selon les experts (et non les deux doses initialement prévues).

Sur cette base, nous supposons que les pharmas vont axer leurs stratégies sur le modèle des entreprises à abonnements pour préconiser un « abonnement » de rappel régulier.

Ainsi, les ventes pourraient encore croître, car Pfizer/BioNTech préconise une troisième dose de son vaccin pour le rendre plus efficace, au moment où le très contagieux variant Delta provoque des flambées épidémiques en Asie et en Afrique et fait remonter le nombre de cas en Europe et aux Etats-Unis.

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L’alliance Pfizer/BioNTech a évoqué début juillet « des résultats encourageants » et prévoit de demander l’autorisation pour une troisième injection de son vaccin, aux Etats-Unis et en Europe.

Moderna, à l’occasion de l’annonce de ses résultats du 2eme trimestre a publié un communiqué précisant que « l’efficacité du vaccin est de 93% six mois après l’injection de la seconde dose. De plus, les doses de rappel actuellement testées contre les variants montrent des résultats robustes. » Nous supposons alors que Moderna peut également axer sa stratégie dans des doses de rappel régulières.

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Fort de ses ventes en hausse, Pfizer a logiquement relevé ses prévisions de chiffre d’affaires et de bénéfices annuels. Il anticipe désormais pour l’ensemble de 2021 un chiffre d’affaires compris dans une fourchette entre 78 milliards et 80 milliards de dollars, contre 70,5 milliards à 72,5 milliards de dollars en mai dernier – porté par ses ventes de vaccins.

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Le bénéfice par action Pfizer, pourrait de son côté croître de 3,95 dollars à 4,05 dollars, contre 3,55 dollars à 3,65 dollars initialement prévu. Sur le seul deuxième trimestre, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 18,9 milliards de dollars – presque le double d’un an plus tôt (+92%) et au-dessus des anticipations des analystes qui tablaient sur 18,45 milliards.

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A noter également que la biotech américaine Moderna a rejoint l’indice de 500 grandes capitalisations boursières américaines ; conséquence logique de sa capitalisation qui a explosé de 6 à 130 milliards de dollars en l’espace d’un an et demi, grâce à son vaccin à ARN messager contre la Covid-19. Cette intégration devrait largement soutenir son cours de Bourse, au moins à court terme. En effet, les trackers (ETF) S&P 500 vont devoir acheter des actions Moderna, de même que – dans une moindre mesure – les fonds de gestion active qui se comparent au S&P 500.

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Bonjour,

Le mois de Juillet continue son ascension avec le CAC 40 en hausse de +1,61% et l’Euro Stoxx 50 en hausse de 0,62%.

Le marché semble suivre pour le moment nos projections du second semestre (cf perf Juin 2021). Nous confirmons notre avis, de nombreux indicateurs nous font penser que les marchés vont continuer de monter malgré leurs points hauts. Certaines actions ne sont pas si chères et sont encore décotées. Les marges sont bien orientées et le marché sous-estime l’ampleur de la reprise en 2022. Nous notons toujours notre seul doute sur la propagation du variant delta et la quatrième vague à laquelle nous faisons face.

Du côté des Etats-Unis, la Réserve fédérale américaine constate que l’économie américaine se redresse bien. Elle n’est pas encore prête à refermer le robinet des liquidités, et a décidé de maintenir en l’état son soutien monétaire : les taux directeurs sont donc inchangés et l’achat pour 120 milliards de dollars d’actifs par mois conservé. Toutefois, on observe un petit changement de ton sur l’inflation qui apparait « plus élevée et plus persistante » que prévu avec un taux anticipé de 3,40 % pour 2021. Cette variable joue en faveur d’un resserrement monétaire plus rapide.

Le FMI maintient sa prévision de croissance mondiale à 6 % pour 2021 et révise à la hausse à 4,90 % (+0,50 %) celle pour 2022. L’institution met en avant une sortie de crise de plus en plus inégalitaire entre les pays. Ainsi, les prévisions de croissance se dégradent dans les économies émergentes et en développement où l’accès aux vaccins anti-Covid est difficile. En Inde par exemple, le FMI ne s’attend plus qu’à une croissance de 9,5 % (-3,00 %) pour 2021. A l’inverse, les prévisions sont révisées à la hausse dans les économies développées : 7,00 % (+0,60 %) en 2021 pour les Etats-Unis notamment.

Nous continuons de favoriser certains secteurs pour qui la crise ne semble pas avoir d’impact. A titre d’exemple, le secteur du luxe qui a été le principal moteur de la hausse du CAC 40 depuis le début de l’année, grâce à l’envolée d’Hermès et aux belles performances de LVMH, Kering et L’Oréal. Ces groupes très internationalisés ont su tirer profit de la reprise précoce de la consommation en Chine et disposent d’un « pricing power » conséquent, c’est-à-dire d’une capacité à relever leurs prix sans faire chuter la demande.

A titre d’exemple nous avons également comparé les performances des GAFAS avec l’indice Euro Stoxx 50.

Le marché asiatique est fortement perturbé depuis début Juillet, cette baisse a été déclenchée par la surveillance accrue exercée par le gouvernement chinois sur les entreprises des secteurs de la technologie, de l’éducation et de la livraison de nourriture. Les inquiétudes concernant le niveau d’endettement et les éventuelles restrictions gouvernementales supplémentaires ont également eu un impact sur le secteur immobilier. Nous pensons qu’il y’a des points d’entrée sur certaines valeurs suite à ces évènements.

Résultat du mois de mai : un CAC 40 à  6 612,76points au 30/07/2021, soit une hausse sur le mois de +1,61.% !

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +0,95% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de +0,54%!

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Les indices ISR sont également en hausse sur la période de avril avec une moyenne des performances de +0,71%!

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A la fin du mois d’août, le symposium de Jackson Hole sur les sujets de politique monétaire retiendra toute l’attention. Enfin, en septembre, le calendrier politique en Europe braquera les regards sur les élections en Allemagne. Avec une inconnue en toile de fond : l’évolution de la situation sanitaire.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Tour de France, 14 juillet et chassés croisés, l’été est de retour, les vacanciers s’égayent et la France sera la destination favorite de nos concitoyens, sur les plages comme dans l’arrière-pays.

Sur le plan économique, la levée des confinements et autres restrictions d’activité a bien permis un rebond de l’activité que soutient la confiance des ménages et leur capacité à consommer, grâce à l’épargne accumulée ces derniers mois. Signe encourageant : les ménages sont moins inquiets pour leur emploi (graphique ci-dessous), et considèrent leur situation financière à 12 mois plutôt favorable.

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Du côté des marchés, la trêve estivale n’est pas toujours aussi calme. Du déclenchement de la guerre d’Irak, au défaut russe ou encore dans les semaines qui précédèrent la débâcle de 2008, la période durant laquelle les volumes sont plus faibles, est propice à d’importants soubresauts. Alors que la progression de nouveaux variants (notamment le variant Delta), préoccupent les autorités, les perspectives restent incertaines à plus d’un titre :

– Il ne fait pas de doute que cette « récession », liée à un choc exogène et qui a donné lieu à un formidable soutien d’argent public, a permis de préserver la liquidité et les pouvoirs d’achats des entreprises et des ménages.

– Mais l’assaut de demande finale a également provoqué une résurgence de l’inflation, dont on se demande si elle ne risque pas de déformer les anticipations des agents économiques. Le retour durable de l’inflation n’est pas une certitude et les effets de base vont continuer d’affecter l’analyse des données au moins jusqu’en 2022. Cependant, l’accélération de la politique de transition énergétique, la recomposition des chaînes de valeurs, sont des facteurs importants de maintien des prix à des niveaux plus élevés qu’auparavant.

– Nous l’avons vu, ceci n’est pas pour déplaire aux banques centrales, notamment aux Etats-Unis comme en Europe. Cependant on peut s’interroger sur leur tolérance à l’accélération du crédit notamment et la nécessité de tenir compte du tempo des Etats eux-mêmes quant à la normalisation de leur politique budgétaire. Bref quand va-t-on retirer le « bol de punch », qui des Etats ou des Banques Centrales va commencer ?

– Dans l’immédiat, les rendements obligataires sont de nouveau à la baisse ; le taux 10 ans OAT étant revenu en territoire négatif. Les marchés boursiers sont en repli sous le coup de la résurgence de la pandémie, et alors que certains pays et régions se referment.

– Pourtant la situation n’est plus tout à fait celle de la première vague :

1. Les taux directeurs des banques centrales des pays développés sont déjà au plancher ;

2. Les banques centrales de certains pays émergents sont d’ores et déjà sous pression et doivent remonter leurs taux directeurs pour défendre leurs devises.

3. Les inégalités se creusent entre les pays et au sein des sociétés. Les risques de tensions sociales et politiques majeures se sont accrus.

4. Les tensions commerciales et géostratégiques s’accentuent, alors que les Etats-Unis quittent l’Afghanistan.

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Les marchés seront à l’écoute de la réunion de Jackson Hole fin août, mais je serais bien étonnée si son patron choisissait cette rencontre pour donner des indications immédiates aux marchés. La situation reste trop incertaine pour que les Banques Centrales modifient leur politique à très court terme. En revanche, la situation n’est plus tout à fait aussi uniforme qu’au début de la pandémie.

(Achevé de rédiger le 19 juillet 2021)

Bonne lecture et à bientôt !


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Valérie Plagnol X EAVEST



La reprise bat son plein et pourtant les rendements obligataires se tassent

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Le rebond marqué de l’activité économique au printemps s’est traduit par de nouveaux records sur les marchés action, à peine ternis par la remontée des taux d’intérêt à long terme. Ainsi le 10 ans T-bond, repassait au-dessus de 1,5% (de 1% à plus de 1,70%) dès le mois de mars.
Au vu de la vigueur de la reprise et de la hausse non moins sensible des prix mondiaux (graphique ci-dessous), on ne pouvait que douter d’un maintien quasi-indéfini des taux directeurs des banques centrales au plus bas, à commencer par la Reserve Fédérale des Etats-Unis. 

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Et de fait, le dernier comité du FOMC a bien pris acte de la vigueur de la reprise, laissant entendre (c’est du moins ce que les marchés ont conclu) que l’amorce de la normalisation monétaire était désormais pour 2023, plutôt que l’année suivante. Il s’agit là de la fin des taux directeurs à 0,25%. D’ici là, la Fed pourrait également suspendre quelques-unes de ses mesures d’aide et d’apport de liquidités d’urgence.

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Le retour de la « goldilock economy » ?

Cependant, depuis quelques semaines on assiste à un léger reflux des rendements à long terme, et un aplatissement de la courbe des rendements par sa partie longue, ramenant le taux 10 ans américain sous les 1,5% (à 1,47% début juillet). En Europe et sur la même période, le taux 10 ans OAT a perdu près de 18 pb ; il en est à peu près de même pour le taux du 10 ans Bund, revenu un peu plus en territoire négatif (graphique ci-dessous). De même, et comme le précisait Jérôme Powell lors de son intervention devant la Commission du Congrès fin juin, la mise à disposition d’importantes liquidités par la Banque Centrale a permis de contenir les spreads de crédit, et permis également aux municipalités d’emprunter largement pour faire face à l’urgence. 

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Rappelons que le marché des taux d’intérêt américains reste le marché directeur des dettes publiques mondiales. Depuis le printemps, plusieurs facteurs se combinent pour limiter la pression haussière des rendements :

– Aux Etats-Unis même, les négociations budgétaires se prolongent et le Président Biden se heurte toujours aux Sénateurs Républicains comme aux modérés de sa propre majorité, qui refusent de lui accorder les dépenses de relance promises à grands renforts de déclarations. De même, l’Administration présidentielle ne semble pas en mesure de faire passer les importantes hausses d’impôts que son aile gauche lui réclamait. A l’heure actuelle, le Président ne compterait plus que sur un budget de relance et d’infrastructures de l’ordre de 1 000 USD, bien loin des 6 000 milliards USD (sur 8 ans), au grand dam des plus radicaux. L’accord international sur un taux minimum d’imposition pour les multinationales n’est qu’un maigre pis-aller, loin d’être encore activé, et alors que la Secrétaire d’Etat au Trésor Janet Yellen entend relever l’IS à 28% (contre 21% actuellement).

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– La perspective d’un retrait progressif des facilités de crédit exceptionnelles liées à la pandémie, qui devrait se matérialiser progressivement à partir de l’été, encourage également les marchés.

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La rechute des taux des rendements s’inscrit également dans un contexte plus général, marqué par

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Sur le plan international, la hausse récente du dollar contre toutes devises signale un reflux des investisseurs vers des positions de refuge, qui privilégient la dette américaine. Les pressions croissantes sur certaines devises de pays émergents expliquent ces inquiétudes.

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La crainte d’une résurgence de la pandémie avec l’apparition de nouveaux variants. Les succès des campagnes de vaccination concernent principalement les Etats-Unis et l’Europe. L’Asie-Pacifique – peu touchée jusqu’à présent – est en retard (d’où le retour de périodes de confinements localisés ; mais également les risques de tensions politiques lorsque l’efficacité de certains vaccins est mise en doute). En revanche le déploiement du programme Covax en faveur des pays émergents reste encore insuffisant pour assurer une immunité collective satisfaisante. L’accélération de la production et des transferts de doses en direction des pays les plus démunis devrait porter ses fruits d’ici la fin de l’année. En attendant, la vitesse de contamination du nouveau variant Delta inquiète virologues et investisseurs, qui craignent une résurgence de la pandémie et de nouveaux confinements.

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Le tassement – bien qu’à un haut niveau – des indices d’activité, notamment en Chine, témoignerait de la persistance de goulots d’étranglement au point de créer des pénuries et de ralentir l’activité en provoquant des interruptions sur les chaînes de production.

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Ainsi, la seule perspective d’une modération (toute relative) budgétaire et d’un soutien continu mais moins massif de la Banque Centrale, dans un contexte d’anticipations inflationnistes contenues nous ramènerait-elle aux glorieuses années Greenspan dites des « Goldilock « ?

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Cette situation est-elle durable ?

L’histoire de ces 40 dernières années est celle d’une baisse tendancielle des rendements obligataires, qui accompagne le repli général des prix, le ralentissement de la croissance potentielle et l’intervention croissante des Banques Centrales, comme acteurs majeurs des marchés obligataires. Depuis le début des années 2000 (je me souviens pour ma part d’un discours de Ben Bernanke à propos de la déflation japonaise et de la nécessité d’éviter un tel écueil), la crainte des autorités monétaires comme des gouvernants est de se voir confrontés à la persistance de rendements réels positifs – c’est-à-dire comme le montre le graphique ci-dessous, un coût croissant de la dette, malgré son niveau nominal si bas, du fait d’une baisse encore plus marquée des prix. Les « décennies perdues » qu’a connu le Japon ont pris fin avec les « Abenomics » et le retour – forcé mais temporaire – de l’inflation (qui se traduisit par une croissance nominale supérieure aux rendements à 10 ans de la dette). L’intervention massive de la Banque Centrale du Japon à partir de 2013 a permis d’abaisser le niveau général des rendements de la dette publique. Cependant, cela s’est réalisé au prix d’un accroissement spectaculaire de son bilan (elle détient désormais près de 40% de l’encours de la dette totale du pays, qui s’élève à plus de 250% du PIB).

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Jusqu’ici tout va bien …

A la différence du Japon, depuis la crise de 2008, les rendements obligataires américains et européens mesurés en termes nominaux, sont restés inférieurs à la croissance. L’économiste Olivier Blanchard a rappelé qu’une telle situation était propice, dans la mesure où le coût de la dette était en quelque sorte « absorbé » par la croissance des recettes et l’érosion – même modeste – des prix. Cette observation, reprise par de nombreux experts, a donné lieu à de nombreuses propositions de soutien plus marqué à l’investissement public, notamment en matière d’infrastructures et de transition énergétique, au motif que le coût supplémentaire d’un tel effort ne pèserait pas durement sur les ménages (via l’impôt) ou les entreprises mais, au contraire, contribuerait à élever le niveau de la croissance potentielle.

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Mise dans cette perspective, la crise de la pandémie de la Covid, semble avoir fourni aux tenants de ces mesures le parfait terrain d’expérimentation. L’ampleur des fonds versés par les Etats (surtout en Europe et aux Etats-Unis) pour soutenir le pouvoir d’achat des ménages, a permis un rebond massif de la demande finale et de l’inflation, dans un contexte où :

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– Les Banques Centrales ont non seulement mis en œuvre des mesures d’intervention d’urgence, mais ont en plus pris des engagements de soutien monétaire plus long en faveur de la transition climatique (achats d’obligations vertes).

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– L’arrivée au pouvoir de Joe Biden a donné corps à des propositions de dépenses d’infrastructures et mesures d’aides sociales, ainsi qu’à des mesures transitoires de réduction des investissements dans les énergies fossiles.

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– L’accord européen pour le lancement d’un plan de relance piloté par la Commission Européenne et financé par un emprunt direct – et probablement plus tard des ressources propres – permet d’engager un processus de cet ordre, avec le soutien et l’engagement de l’Allemagne. La perspective d’un virage vert, lors des prochaines élections générales Outre-Rhin devrait confirmer ces engagements.

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Forts de cette expérience – semble-t-il – et s’appuyant sur une urgence climatique que nous sommes d’ailleurs loin de nier, certains veulent aller encore plus loin :

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– En proposant l’annulation pure et simple de la dette détenue par la Banque Centrale, afin de dégager de nouvelles marges de manœuvres de dépenses.

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– En proposant de recourir – par le soin de la monnaie virtuelle Banque Centrale en passe d’être mise en œuvre – à la « monnaie hélicoptère », c’est-à-dire la distribution directe d’argent (de pouvoir d’achat) dans la poche des consommateurs.

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Rappelons que la dette publique détenue par la Banque Centrale, est une créance du Trésor sur lui-même, l’annuler signifierait se faire du tort à soi-même (l’Institut Monétaire reverse au Trésor les bénéfices réalisés), mais surtout on risquerait :

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– De détruire la confiance des épargnants (en France près de 800 milliards d’euros de dette publique sont détenus par les particuliers principalement au travers des assurances-vie) ;

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– De provoquer des fuites de capitaux et des hausses de taux d’intérêt de la dette nationale, soudain menacée de se détacher du « parapluie » de l’euro ;

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– Si c’était le cas, finir par devoir relever les impôts (c’est déjà dans l’air du temps cf le rapport Tirole/Blanchard ).

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Du point de vue strict du débat économique, la crise de la Covid-19 semble avoir donné l’occasion d’initier certaines propositions de financement massif de l’économie, un retour en force d’un keynésianisme de combat, déjà défendu dans le cadre des suites de la crise des subprime.

Achevé de rédiger le 3 juillet 2021


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Bonne lecture et à bientôt !


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Valérie Plagnol X EAVEST

Grand Forum du Patrimoine 4ème édition !

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En direct du Grand Forum du Patrimoine, Franck Magne le fondateur d’EAVEST spécialiste des produits structurés répond aux questions de Fanny Berthon !

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L’équipe EAVEST

Le premier semestre 2021 se clôture avec des records de performance inégalés depuis 20 ans !

En effet, la bourse de Paris s’est envolée de plus de +17.23%, soit près de +1000 points sur cette période !

L’indice parisien n’est pas le seul à atteindre des performances impressionnantes, la grande majorité des bourses mondiales ont elles aussi progressé depuis le début de l’année avec une bonne nouvelle : les bourses européennes sont en tête de la course !

L’indice paneuropéen STOXX 600 a grimpé de +13,5 % et le DAX de +13,2 %,tous deux ayant récemment inscrit des records historiques. Outre-Atlantique, le Dow Jones et le Nasdaq ont progressé de plus de +12 % et le S&P 500 de +14 %. Ils évoluent tous les trois à des niveaux proches de leur plus haut historique.

Les catalyseurs haussiers à l’origine des performances observées depuis le creux de mars 2020 sont bien identifiés :

  • d’abord les interventionnismes monétaires et budgétaires : il faut dire que l’impact économique de la crise sanitaire a été moins violent qu’attendu, en grande partie grâce aux généreuses politiques publiques de soutien. Ainsi, après un premier semestre 2020 particulièrement difficile, les grandes entreprises cotées ont redressé la barre dès la deuxième partie de l’année.
  • puis les campagnes de vaccination, et enfin la réouverture des économies.

Concernant les performances de ce mois de juin : un CAC 40 à 6 507.83 points au 30/06/2021, soit une hausse sur le mois de +0.94% !

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de +0.85% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de +2.05% ! Notamment avec l’indice iStoxx® Global Fintech 30 NR Decrement 5% EUR qui connait une hausse de +6.82%!

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Les indices ISR sont également en hausse sur la période de juin avec une moyenne des performances de +0.54%!

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En ce qui concerne le second semestre, les rendez-vous seront nombreux, à commencer par les résultats du deuxième trimestre 2021 qui seront publiés dans les prochaines semaines. En août, le symposium de Jackson Hole sur les sujets de politique monétaire retiendra toute l’attention des acteurs de l’économie et des investisseurs. Enfin, en septembre, le calendrier politique en Europe braquera les regards sur les élections en Allemagne. Une inconnue persiste cependant en toile de fond : l’évolution de la situation sanitaire.

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Projections possibles :

Après une hausse de +17% au premier semestre, certains analystes voient un CAC 40 battre son record historique d’ici un an. La sortie de crise s’amorce sous de bons auspices : le moral des chefs d’entreprises est à son plus haut niveau depuis 2007, et la confiance des ménages est repassée en juin au-dessus de sa moyenne de long terme – pour la première fois depuis le début de la crise. Les indicateurs avancés sont également très bien orientés : l’estimation flash du PMI de juin en zone euro pointe vers la plus forte croissance de la région depuis 15 ans.

D’autres pensent qu’après une telle ascension – et compte tenu des connaissances historiques – une phase de respiration serait logique ainsi qu’une correction. De leur côté, les investisseurs s’inquiètent, d’une part des valorisations boursières déjà élevées, et d’autre part de la progression du variant Delta en Europe.

A l’heure actuelle, il apparaît difficile de mesurer avec exactitude l’ampleur de la reprise en 2022, ainsi que les conséquences de la propagation du variant Delta – si les vaccins en cours venaient à ne pas être aussi efficaces qu’envisagé.

Aussi – et même si pour le moment les évolutions sont à la hausse – il convient d’être prudent et de s’orienter vers des produits défensifs.

Nous continuons par ailleurs de privilégier certains secteurs pour qui la crise ne semble pas avoir d’impact. A titre d’exemple, le secteur du luxe qui a été le principal moteur de la hausse du CAC 40, grâce à l’envolée d’Hermès (+40 %) et aux belles performances de LVMH (+29 %), Kering (+24 %) et L’Oréal (+21 %). Ces groupes très internationalisés ont su tirer profit de la reprise précoce de la consommation en Chine et disposent d’un « pricing power » conséquent, c’est-à-dire d’une capacité à relever leurs prix sans faire chuter la demande.

Pour un suivi en temps réel, retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST !

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

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L’équipe EAVEST


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.

Sources : Reuters / Les Echos / Investeam


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Produits structurés, comment construire la bonne formule ?

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Pour découvrir le sur-mesure, nous vous invitons dans nos bureaux à deux pas de l’avenue Montaigne ! 😉 

L’équipe EAVEST

« L’astronomie oblige l’âme à regarder vers le haut, et nous conduit de ce monde à un autre. » – Platon

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La conquête de l’espace profite à la balance commerciale de l’Europe !
 
Débordés par la communication triomphante de SpaceX – qui vient d’annoncer son centième tir de fusée réussi – les Européens ont tendance à développer un complexe d’infériorité. Ils n’avaient pourtant jusqu’à présent aucune raison de douter de leur statut privilégié sur ce secteur !
 
Au cours de la dernière décennie, la construction européenne de satellites a dégagé un surplus net de 640 millions de dollars par an, les services de lancement de 300 millions et les ventes d’équipements et de systèmes spatiaux de 150 millions. Qu’ils s’appellent Arianespace, Thales, Airbus, OHB, Telespazio, Sodern etc., les fabricants de satellites, de fusées et leurs équipementiers ont exporté pour 23,1 milliards de dollars au cours des dix dernières années (2011-2020).
 
Parmi les entreprises qui voient grand et se donnent les moyens d’atteindre leurs objectifs, trois d’entre elles font la différence.
 
Elon Musk, l’excentrique entrepreneur a un objectif beaucoup plus ambitieux : partir à la conquête de Mars. Il envisage d’ailleurs d’envoyer des humains sur la planète rouge en 2024 à bord de ses fusées Space X.
 
Vous cherchez une destination exotique pour votre prochaine voyage ? Moyennant 250 000 dollars, l’entreprise Virgin Galactic de Richard Branson vous propose de passer quelques minutes en apesanteur dans l’espace à bord d’une navette spatiale.
 
Enfin, la société Blue Origin de Jeff Bezos, fondateur d’Amazon, veut également placer des candidats en orbite. La fusée coiffée d’une capsule, New Shepard, a déjà atteint l’espace lors d’un vol à 107 km d’altitude… L’entreprise espère même commencer à offrir des croisières prochainement !
 
On terminera avec une citation d’Elon Musk :
 
“You want to wake up in the morning and think the future is going to be great – and that’s what being a spacefaring civilization is all about. It’s about believing in the future and thinking that the future will be better than the past. And I can’t think of anything more exciting than going out there and being among the stars.”
– Elon Musk

Proposition d’investissement

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Virgin Galactic Holdings est une entreprise aérospatiale qui propose des vols spatiaux habités aux particuliers et aux chercheurs. La société se concentre sur le développement d’un système de vol spatial pour offrir aux clients une expérience de plusieurs jours qui culmine par un vol spatial comprenant plusieurs minutes d’apesanteur et des vues de la terre depuis l’espace.

Son système de vol spatial se compose de trois éléments principaux : son avion porteur, son vaisseau spatial, et son moteur-fusée hybride.

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Amazon.com offre une gamme de produits et de services par le biais de ses sites Web. Les produits de la société comprennent des marchandises et des contenus qu’elle achète pour les revendre auprès de vendeurs et ceux proposés par des vendeurs tiers.

Blue Origin a été fondée par Jeff Bezos avec la vision de permettre un avenir où des millions de personnes vivent et travaillent dans l’espace au profit de la Terre. Afin de préserver la Terre, Blue Origin pense que l’humanité devra s’étendre, explorer, trouver de nouvelles ressources énergétiques et matérielles et déplacer les industries qui stressent la Terre dans l’espace. Blue y travaille aujourd’hui en développant des lanceurs partiellement et entièrement réutilisables, sûrs, peu coûteux et répondant aux besoins de tous les clients civils, commerciaux et de défense.

Tesla conçoit, développe, fabrique et vend des véhicules électriques et conçoit, fabrique, installe et vend des produits de génération d’énergie solaire et de stockage d’énergie. Les secteurs d’activité de la société sont l’automobile, la production et le stockage d’énergie.

SpaceX, constructeur spécialisé dans l’aérospatial, conçoit les lanceurs Falcon, les moteurs Merlin et Raptor ainsi que le vaisseau cargo Dragon qui assure le ravitaillement de la Station spatiale internationale (ISS). Installé à Hawthorne (Californie, États-Unis), SpaceX a été fondé en 2002 par Elon Musk qui est en aussi le dirigeant.

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L’équipe EAVEST

Le marché poursuit son ascension avec un mois de mai en hausse. Tout comme pour les mois d’avril et de mars les indices sont en hausse et ce malgré le contexte actuel. Les marchés restent soutenus par la générosité des banques centrales même si la question de l’inflation est arrivée sur la table ce mois-ci.

La confiance est toujours de mise sur les marchés actions. Malgré quelques mouvements les investisseurs continuent de faire abstraction de l’accélération de l’inflation, préférant se concentrer sur le rebond économique vigoureux favorisé par les progrès de vaccination contre le COVID-19.

Du côté Français, d’après IHS Markit, les grands groupes cotés de l’indice SBF 120 ont prévu de verser quelques 52 milliards d’euros de dividendes en 2021 (+42 % par rapport à 2020). Le niveau record de 70 milliards d’euros de 2019 ne devrait donc pas être atteint cette année.

La saison des publications de résultats trimestriels arrive à son terme. Le bilan est particulièrement bon de part et d’autre de l’Atlantique et le deuxième trimestre est attendu encore meilleur. La proportion d’entreprises ayant battu les attentes des analystes est de plus de 80 % aux Etats-Unis et d’environ 65 % en Europe. Les bonnes surprises ont surtout afflué dans les secteurs de la banque, du luxe et de l’automobile.

Du côté Américain, l’administration Biden table sur 6 011 milliards de dollars (+36,6 % par rapport à 2019) et confirme ses grands projets d’investissement dont l’American Jobs Plan pour les infrastructures et l’American Families Plan pour la réduction des inégalités. Outre ces projets, le budget 2022 prévoit une importante hausse des dépenses militaires et de sécurité intérieure (+8,6 %). Tout ceci sera majoritairement financé par des hausses d’impôts (de 21 à 28 % pour les bénéfices d’entreprises et de 23,8 à 43,4 % pour les gains en capital). Il faut maintenant voter le budget fédéral au Congrès : les discussions promettent d’être animées ces prochaines semaines !

Résultat du mois de mai : un CAC 40 à 6 447.17 au 31/05/2021, soit une hausse sur le mois de +2.83% !

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 2.19% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de 1.40% ! Notamment avec l’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% Index qui connait une hausse de + 5.53% !

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Les indices ISR sont également en hausse sur la période de mai avec une moyenne des performances de +2.11% !

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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La crainte d’une crise alimentaire ?

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Tous les ingrédients sont réunis pour alimenter cette théorie : depuis quelques semaines, les matières premières agricoles s’envolent sur les marchés alors que les revenus des ménages s’effondrent. Pour exemple à Paris, la tonne de blé s’échange contre 227 euros et l’huile de palme n’a jamais été aussi chère depuis les années 1990…

La hausse des cours se ressent déjà sur le porte-monnaie des consommateurs. La vigilance est d’autant plus grande que la situation actuelle présente des ressemblances inquiétantes avec la très grave crise alimentaire de 2007-2008.
Les ménages les plus pauvres sont les premières victimes – y compris dans les pays développés – puisqu’ils consacrent une large part de leur budget à l’alimentation, puis les pays dépendants des importations.

Pas de catastrophisme cependant car il existe des leviers :
– récupérer en partie les 30 % du maïs américain qui est transformé en éthanol.
– puiser dans les stocks de blé en Inde
– le riz reste produit en quantité suffisante et sert d’ailleurs de denrée de base pour près de 3 milliards d’individus dans le monde – notamment dans les pays pauvres.

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Du côté des matières premières industrielles ?


Les autorités chinoises cherchent en effet à limiter la flambée des cours des matières premières – les principaux marchés étant d’ailleurs dominés par les investisseurs particuliers qui alimentent, c’est un fait, la spéculation et la volatilité des prix.

Car non seulement elle renchérit les coûts de production, menace la croissance potentielle de la Chine, mais également détériore le pouvoir d’achat des citoyens chinois en alimentant une inflation galopante. Le contrôle des prix des matériaux – et avant tout des métaux – est donc une priorité absolue pour les autorités chinoises.
Comme souvent en Chine quand la volatilité des prix s’emballe, le gouvernement se tourne d’abord vers les marchés financiers – en l’occurrence ceux de matières premières.

Son objectif majeur consiste donc d’abord à calmer la spéculation – en punissant toute violation des règles de trading sur le minerai de fer et en rétrécissant les limites quotidiennes de variations maximales de prix. Enfin, des exigences en matière de marges réglementaires ont été renforcées, une réserve de capital pour absorber des pertes potentielles.

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Le fret maritime confirme la tendance


Largement dopé par l’envolée des matières premières, le Baltic Dry Index a atteint son plus haut niveau depuis 2010. En février dernier, le prix du transport maritime de matières premières en vrac avait plongé, il s’était même enfoncé en territoire négatif sur certains types de bateaux.

Il a maintenant repris des couleurs, les prix affichant même des niveaux jamais vus depuis 11 ans sur fond de reprise économique et de plans de relance massifs. Le Baltic Dry Index, qui donne une indication des coûts du fret de matières premières – minerais, charbon ou grains – sur une vingtaine de routes maritimes dans le monde, est d’ailleurs remonté à 3.240 points, son plus haut niveau depuis 2010.

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Le débat trouble sur l’inflation


La poussée actuelle des prix dans le monde annonce-t-elle une reprise de l’inflation ou n’est-elle que provisoire ? Les marchés auraient tendance à croire au scénario catastrophique, alors que les économistes optent plutôt pour un rapide retour à la normale – sous la poussée des forces déflationnistes, intactes.

Saurons-nous faire la distinction entre hausse de prix et inflation ? Une hausse des prix, des salaires et même des taux d’intérêt est, dans une certaine mesure, une remise à niveau qui peut être nécessaires C’est le cas aujourd’hui après la crise Covid-19.
Nous semblons être dans cette configuration, car l’inflation est une toute autre chose : un enchaînement des hausses – l’une appelant l’autre – les salaires s’indexant sur les prix, les prix remontant d’un cran, etc. dans une spirale incontrôlée.

Qui a raison ?
Sur le fond, les banques centrales et leurs économistes.
Les prix vont connaître un pic, les salaires augmenter et ces tensions vont sans aucun doute faire naître de la nervosité et de la volatilité. Après la surprise de la crise Covid, il est normal que la reprise soit forte et que des ajustements de prix s’en suivent.

Nos propositions :


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Bonne lecture et à bientôt !


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L’équipe EAVEST


La décision de retrait de la Bourse de Natixis a finalement été prise il y a quelques semaines, le conseil d’administration de Natixis ayant approuvé formellement – à l’unanimité – l’offre de rachat par sa maison-mère BPCE des 29 % de capital qu’elle ne détenait pas, au prix de 4 euros par action + dividendes.

Reste à voir le résultat de l’Offre Publique d’Achat (ou de Retrait) en juin prochain.

Les arguments de la BPCE sont nombreux pour soutenir la nécessité de cette opération – et notamment depuis l’émergence de la crise du coronavirus, car les inquiétudes de la communauté financière se concentrent sur un point faible des marchés : la dette des entreprises. Des années de taux extrêmement bas ont poussé les groupes à lever des montagnes de dette, une frénésie qui s’est alors logiquement accompagnée d’une dégradation de la qualité des émetteurs.
 
Quel impact pour les porteurs de produits structurés émis par NATIXIS ?
A priori, aucun.
La solidité financière de NATIXIS a toujours été garantie par BPCE.
Le porteur de produits structurés (donc d’obligation) devrait alors avoir maintenant un risque émetteur sur BPCE directement.

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RAPPEL

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Qu’est-ce que le risque émetteur ?

Un produit structuré sous format EMTN / BMTN / Certificat est considéré comme une obligation avec un remboursement lié à l’évolution d’un Sous-Jacent.

Par conséquent, et de la même façon qu’une obligation « classique », le premier risque d’un produit structuré est lié à son émetteur.
Si l’émetteur du produit structuré fait faillite, le remboursement de la formule du produit à l’investisseur ne pourra pas être assuré.
Si la solvabilité de l’émetteur se détériore, le cours peut chuter sur le marché secondaire.

Le choix de l’émetteur au moment de créer un produit sur mesure ou au moment de sélectionner un produit existant est alors important.

Comment apprécier le risque émetteur ?

Par le Rating

Il existe différents critères pour évaluer la qualité d’un émetteur. Le plus connu est sans doute la notation ou « rating ».
Les notations sont attribuées par les agences telles que Standard & Poor’s, Moody’s et Fitch.

Les notes décernées par ces spécialistes sont un instrument précieux pour l’investisseur. Leur rôle est clair : évaluer la solidité financière d’un émetteur et lui attribuer une note qui sera communiquée aux marchés.

Les notations sont abondamment utilisées dans le cadre réglementaire d’une part, et aussi dans les stratégies de nombreux investisseurs. Ce même cadre réglementaire s’est d’ailleurs beaucoup étoffé ces dernières années – et notamment en ce qui concerne les produits structurés – les investisseurs disposent maintenant de nombreuses informations et garanties pour faire leur choix en matière de produits financiers.
Les « ratings » se divisent en deux grandes catégories : « Investment Grade » et « High Yield ».
 
Dans la catégorie « Investment Grade » (ratings de AAA à BBB-) l’assise financière de l’émetteur est jugée solide : on estime qu’il pourra remplir sans difficultés ses obligations financières.
L’investisseur a toutes les chances de recevoir son remboursement à l’échéance, d’autant plus que la note est favorable.
 
Dans la catégorie « High Yield », la solidité de l’émetteur est moins bonne et l’obligation revêt une connotation spéculative.
Le remboursement à l’échéance est incertain, surtout si la note octroyée à l’émetteur est faible. Le risque de non-remboursement est important à partir de la note B-.
À la note CCC, l’émetteur est proche de la cessation de paiement, s’il n’y est pas encore…

Attention : les agences se basent sur les données disponibles (souvent historiques) à propos de l’émetteur et du marché où il opère. Elles ne sont donc pas en mesure de prédire les scénarios inattendus ou réagir rapidement à des dégradations soudaines de situations.

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Par le CDS (ou la prime de risque)

La prime de risque est la prime payée par l’émetteur en plus du taux d’intérêt d’un emprunt sans risque pour compenser le risque pris par l’investisseur.
Une hausse de la prime de risque entraîne une baisse du prix de l’obligation et inversement.
Le niveau du Credit Default Swap (CDS) matérialise la prime vue par le marché pour investir dans l’obligation d’un émetteur.
Le CDS peut évoluer dans un sens ou dans l’autre en temps réel. Il intègre tous les paramètres de marché lié à l’émetteur.
En période de haute conjoncture, quand l’activité dégage d’abondantes liquidités et renforce les profits, le risque de problèmes financiers est en général limité. Les entreprises qui veulent émettre des obligations peuvent se contenter de proposer un coupon un peu plus élevé que celui d’un emprunt d’État.
À l’inverse, quand la conjoncture se dégrade, comme c’est le cas actuellement, les entreprises risquent davantage des difficultés financières. Dans ces conditions, le CDS doit être plus important.
 
De même que la solvabilité des émetteurs eux-mêmes, différents types de titres possèdent des attributs innés en ce qui concerne les risques et les rendements dont ils sont assortis. Ces caractéristiques sont fonction du type d’émetteur, ce qui peut être implicite dans la définition du titre lui-même. Ces différences sont reflétées dans l’écart de rendement entre des titres concurrents. 
 
 
Nous l’aurons bien compris, les agences de notation restent des acteurs incontournables des marchés.
Mais la prise en compte des niveaux de CDS des émetteurs bancaires est maintenant indispensable pour une analyse complète de la situation.
 
EAVEST a mis en place des outils d’analyse et de suivi des différents émetteurs de produits structurés.
Sur notre site www.eavest.com vous pouvez retrouver la Term Sheet de vos produits structurés.
Celle-ci vous offre les caractéristiques exactes du produit, l’identité de l’Emetteur et du Garant.


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Bonne lecture et à bientôt !


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L’équipe EAVEST

Bonjour,

Le mois d’avril est sur la même longueur d’onde que celui de mars avec des indices en hausse et ce malgré la crise sanitaire.

Le marché semble être une nouvelle fois plus fort que la propagation du virus… La hausse du mois s’expliquerait grâce à l’accélération de la vaccination dans le monde – notamment aux Etats-Unis – ainsi qu’aux nouvelles mesures de déconfinement dans plusieurs pays de la zone euro. Également grâce aux différentes annonces de la FED et de la BCE de maintenir leurs taux directeurs stables.

Les données macroéconomiques et les résultats sont bons, mais la FED ne semble regarder ni l’un ni l’autre, si l’on décrypte son message du mercredi 28 avril. La situation sanitaire semble être son premier critère pour décider de sa politique monétaire.

Finalement, sans le dire, elle nous donne les indicateurs à suivre pour anticiper sa politique, une bonne nouvelle de plus probablement, car la visibilité sur la politique des banques centrales aide grandement les marchés et les investisseurs. Donc à la question de savoir quand les officiels de la Fed parleront de ‘tapering’, la réponse dépendra à priori davantage de la situation sanitaire que des progrès de l’économie US. Il devient alors plus facile d’identifier les risques, qui proviendraient des réticences des personnes restant à vacciner (60% aux Etats-Unis par exemple), ou d’une dégradation de la situation dans les pays émergents qui pourrait empêcher – entre autres – une reprise des déplacements vers ces zones, ou encore de problèmes d’approvisionnements en vaccins etc. A noter que la situation est actuellement assez préoccupante en Inde.

Résultat du mois d’avril : un CAC 40 à 6 269.48 au 30/04/2021, soit une hausse sur le mois de +3.33% !

Nous considérons que les indices actions européens sont vraiment sur un point haut. La volatilité n’est donc pas très élevée. A rappeler que techniquement, un niveau élevé de volatilité profite aux produits structurés de rendement (type Autocall ou Phoenix).

Nous préférerons ainsi nous tourner vers des actifs encore décotés tels que les valeurs bancaires ou les valeurs à forts dividendes (Euro Stoxx Select Dividend 30 : -1,27%). Ainsi les « values » sont de bons candidats pour construire des produits dans le contexte actuel.

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 2.08% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de +1.89% ! Notamment avec l’indice Nasdaq Yewno Global Innovative qui connait une hausse de + 5.77% !

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Les indices ISR sont également en hausse sur la période d’avril avec une moyenne des performances de +1.72% !

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Quelles perspectives pour les marchés dans les mois à venir ?

Le CAC40 a atteint un nouveau sommet annuel fin avril, correspondant aussi à un plus haut depuis novembre 2000. Avec des annonces de déconfinement et des mesures sanitaires qui semblent s’assouplir, le marché semble donc garder son optimisme.

Retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST.

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

L’équipe EAVEST

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


Avertissement de STOXX

STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

Avertissement de l’indice CAC 40®

Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

Avertissement de MSCI

Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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« America’s back » !

Comme il s’y était engagé, les 100 premiers jours de la présidence de Joe Biden semblent bien marquer le retour de l’Amérique – tant sur le plan économique que diplomatique et stratégique. Les marchés suivront-ils ?

A l’intérieur, le pari est gagné sur le front de la pandémie : plus de 130 millions d’américains ont d’ores et déjà reçu au moins une dose de vaccin : Joe Biden avait promis 100 millions pour les 100 premiers jours. Par ailleurs, le Président a pu faire adopter dans sa quasi-intégralité son plan de 1900 milliards de dollars de soutien à l’activité, comprenant entre autres de nouveaux chèques de 14 000 dollars aux ménages, l’extension de la période d’indemnité chômage et des fonds de soutien aux Etats.

Un programme ambitieux


Loin de s’arrêter à ce premier succès, le Président des Etats-Unis s’est presque immédiatement attaqué à la promotion de son grand plan de relance de plus de 2 000 milliards de dollars, qu’il entend cette fois-ci dédier à la construction et à la rénovation d’infrastructures, dans le cadre des engagements de l’Amérique vis-à-vis de la Cop21.


Le troisième front ouvert par la nouvelle administration concerne le durcissement de la législation en faveur du climat, comme le renforcement de la protection – et même de la promotion – des syndicats, dans le but assumé de favoriser un partage plus équitable de la valeur au sein des entreprises. Les nominations de Lina Khan and Tim Wu à la tête des commissions chargées des questions de concurrence et de monopole, sont également le signal d’une volonté de s’attaquer aux abus de positions dominantes, notamment des GAFAM.


Ainsi, le programme du Président Biden s’inscrit-il dans la plus pure tradition économique keynesienne du parti Démocrate, et nombre de commentateurs le comparent déjà à ses plus illustres prédécesseurs, Franklin Roosevelt ou plus encore Lyndon Johnson et sa politique de la « Great Society », à laquelle s’ajoute la dimension particulière de la transition climatique.

L’initiative sur tous les fronts


Pour ce faire, le locataire de la Maison Blanche peut compter sur l’appui de la Réserve Fédérale. Loin de la période des relations tendues entre cette dernière et l’exécutif, qui prévalaient sous la présidence Trump, la cohérence des objectifs entre le patron de la Banque Centrale et le Trésor apparaît à chaque intervention d’une partie ou de l’autre. Ainsi, poursuivant l’objectif de plein emploi incluant toutes les minorités – dont la situation moins favorable a souvent été noyée dans les moyennes nationales – Jérôme Powell entend maintenir une politique monétaire très accommodante, faisant fi des inquiétudes récentes des marchés sur le risque de résurgence de pressions inflationnistes, jugées temporaires.


Sur le plan extérieur, l’Amérique a renoué le dialogue économique et politique avec ses partenaires et alliés historiques. Le Premier Ministre japonais Suga est le premier chef d’Etat étranger à se rendre à Washington, pour s’engager plus avant dans la coopération militaire bilatérale. De son côté, le Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères n’a pas manqué de renouer un dialogue plus apaisé avec les partenaires de l’OTAN, tandis que Janet Yellen réengageait son pays sur la voie de la coopération fiscale au sein de l’OCDE, pour la plus grande satisfaction des partenaires européens. Les premiers discours de Joe Biden à l’encontre de la Russie comme de la Chine – suivis par des échanges pour le moins tendus entre des représentants des deux grandes puissances – ont été perçus comme le retour de la fermeté sans compromis à l’endroit des rivaux stratégiques et économiques – pour la Chine en particulier.


Ainsi l’Amérique reprend-t-elle l’initiative sur tous les fronts, accueillant même une grande conférence globale sur le climat ce mois-ci. Ceci risque de lui valoir d’essuyer les rebuffades de ceux qui trouvent qu’elle reprend un peu trop facilement les rênes des relations internationales, négligeant peut-être de prendre le temps de soigner les plaies laissées par l’Administration précédente, et oubliant que l’Amérique y avait quelque peu perdu de sa crédibilité.

Economie et fiscalité


D’autant qu’aussi « généreuses » soient-elles, ces initiatives laissent entrevoir les préoccupations toutes domestiques du Président et de ses équipes. Ainsi, lorsque la Secrétaire d’Etat au Trésor renoue avec l’OCDE en matière de fiscalité, les propositions qu’elle formule, en ligne avec son plan de taxation domestique des entreprises, ne révèleraient-elles que la volonté d’accroître l’emprise fiscale de l’Administration hors de ses frontières ? De même, tout en renouant avec ses alliés historiques, le Président Biden entend bien prendre le leadership de « monde libre » face à la Chine, au point de forcer ses « amis » à choisir leur camp ? En matière de défense enfin, la demande d’une répartition plus « adéquate » des coûts de défense entre alliés persistera, tandis que l’Amérique semble bien en passe de retirer la totalité de ses troupes de nombres de théâtres d’opérations – à commencer par l’Afghanistan.


Plus encore, la hausse récente des taux long terme américain fait craindre à nombre de pays un retournement brutal de la conjoncture provoqué par un resserrement pour le moins malvenu des conditions de crédit – alors même que beaucoup souffrent encore des conséquences humaines et économiques de la pandémie. Depuis le début de l’année, le taux 10 ans américain a progressé de près de 70 bp, repassant le seuil des 1% – celui-là même qu’il avait enfoncé au début de la pandémie l’an passé. La perspective d’un rebond marqué de l’activité explique en grande partie cette « envolée », qui au demeurant reste encore limitée au regard de la progression des prix finaux (en mars l’indice des prix à la consommation a progressé de 0,6% sur un mois – 2,6% sur un an). La perspective de voir la dette publique s’envoler encore cette année et le déficit budgétaire frôler les 3000 milliards de dollars, tandis que la balance courante se détériore à nouveau sous l’effet de la croissance des importations, préoccupe les investisseurs, qui semblent moins enclins à suivre aveuglément la Réserve Fédérale dans sa volonté de maintenir encore longtemps sa politique ultra-accommodante. En témoigne la progression des taux de référence futurs 5 ans dans 5 ans, qui dépassent désormais le seuil de 2,5%.


Les indicateurs avancés du marché obligataire (index-linked et 5 ans dans 5 ans), signalent les inquiétudes des investisseurs quant à la reprise de l’inflation – celle-ci pourrait s’avérer plus durable que les quelques mois de tensions devant nous – et l’augmentation des déficits publics et extérieurs au regard de la politique économique de la nouvelle administration. Or, même si la Réserve Fédérale s’en tenait à sa politique actuelle, elle ne pourrait contrôler la partie longue de la courbe des rendements.

A l’échelle internationale


Ces mouvements ne sont pas sans conséquences pour le reste du monde : bien que les taux européens surperforment les taux américains lorsque ces derniers se tendent (ce qui se traduit par un écartement des spreads Bund/T-note), elle finit tout de même par être sous pression. Ainsi, le taux 10 ans OAT flirte-t-il avec le seuil de Zéro, après plusieurs mois en territoire négatif. Plus grave encore, les économies émergentes sont directement exposées et menacées par la remontée des taux américains, qui attirent les capitaux à la recherche de placements rémunérateurs et sans risque.


Au regard de l’augmentation générale de l’endettement du fait des conséquences de la pandémie, les perspectives de rebond de l’activité pourraient se trouver amoindries et le ressentiment à l’encontre de l’Amérique, plus marqué.

Valérie Plagnol X EAVEST 

Nos propositions sur cette thématique:



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L’équipe EAVEST

Bonjour,

Le mois de mars s’inscrit dans la continuité de celui de février avec des indices qui surperforment (au-delà des attentes), et ce, malgré les annonces de durcissement des mesures sanitaires dans plusieurs pays.
Le marché semble être plus fort que la propagation du virus… La hausse du mois s’expliquerait grâce à l’accélération de la vaccination qui laisse entrevoir un futur proche optimiste. Également grâce aux différentes annonces de la FED et de la BCE de maintenir leurs taux directeurs stables.

Aux Etats-Unis, l’acceptation du plan de relance économique de Biden à hauteur de 1900 milliards d’euros explique la hausse des indices d’actions américaines. L’accélération des livraisons de vaccins, et la reprise économique qui s’en suivra (selon les dernières évaluations) compensent l’inquiétude sur la résurgence des infections. Joe Biden a d’ailleurs doublé son objectif de 100 millions de vaccinations pour la fin avril. La politique vaccinale redonne aussi de l’espoir à la bourse américaine.

Résultat du mois de mars : un CAC 40 à 6 067.23 au 31/03/2021, soit une hausse sur le mois de +6.38% ! L’Euro Stoxx Select Dividend 30 frôle les +10% sur le mois de mars. Ce qui permet de rattraper un début d’année compliqué (cf. performances janvier 2021) et de continuer dans la lancée du mois de février (cf. performances février 2021).

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Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 5.42% !

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La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive de 4.79% ! Notamment avec l’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% Index qui connait une hausse de + 7.27% !

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Les indices ISR sont également en hausse sur la période de Mars avec une moyenne des performances de +6.19% !

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La période de Mars a donc été le théâtre d’une forte hausse sur l’ensemble des indices.
Les nouveaux confinements annoncés à travers le monde auront-ils un impact sur les mois à venir ?
… Affaire à suivre…

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Solactive n’offre aucune garantie ni assurance, expresse ou implicite, concernant les résultats de l’utilisation de l’Indice et/ou de la marque de l’Indice ou de la valeur de l’Indice à un moment quelconque ou en quelque autre circonstance. Solactive AG met tout en oeuvre pour garantir l’exactitude du calcul de l’Indice. Solactive AG n’est pas tenue, quelles que soient ses obligations vis-à-vis de l’Emetteur, d’informer les tiers, y compris et sans s’y limiter les investisseurs et/ou les intermédiaires financiers de l’instrument financier, de toute erreur dans l’Indice. Aucune publication de l’Indice par Solactive AG, ni son utilisation au titre de l’instrument financier dans le cadre d’une licence de l’Indice ou de la marque de l’Indice, ne constitue une recommandation de Solactive AG d’investir dans le dit instrument financier ou ne représente d’une quelconque manière une assurance ou une opinion de Solactive AG à l’égard de tout investissement dans cet instrument financier. La présente décharge de responsabilité est fournie à titre exclusivement informatif et constitue une traduction libre de la décharge de responsabilité originale prévue par Solactive AG. Elle ne saurait en aucun cas engager Solactive AG. Seule la version originale en anglais fait foi. Pour toute information sur les indices Solactive, merci de consulter le site internet http://www.solactive.com.

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Les indices MSCI sont la propriété exclusive de MSCI Inc. (“MSCI”). Les instruments financiers basés sur les indices MSCI  ne sont en aucune façon sponsorisés, avalisés, vendus ou promus par MSCI, ni par aucune des entités impliquées dans l’établissement des indices MSCI. Aucun acheteur, vendeur ou détenteur de ces instruments financiers, ou toute autre personne ou entité, ne doivent utiliser ou se référer à un nom commercial ou à une marque MSCI dans le but de parrainer, endosser, commercialiser ou promouvoir ces instruments financiers sans avoir contacté préalablement MSCI afin d’obtenir son autorisation. En aucun cas, toute personne ou entité ne peut prétendre à aucune affiliation avec MSCI sans l’autorisation écrite préalable de MSCI.

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Alex Cresswell, anciennement du GCHQ (l’équivalent britannique de la NSA) estime que « les entreprises européennes ont des cyberdéfenses moins robustes qu’aux États-Unis », et qu’en 2021, une vague d’attaques en Europe pourrait remplacer la perte de revenus cybercriminels aux États-Unis.

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Un risque grandissant

En effet, l’incidence et la gravité des attaques de ransomwares et de cyber extorsion en Europe continentale ont fortement augmenté au quatrième trimestre 2020 et au premier trimestre 2021. Et d’après les analystes, près d’une vingtaine de groupes criminels utilisent la cybercriminalité pour infliger de graves pertes commerciales aux entreprises américaines du secteur privé – les membres opérant généralement depuis la Russie, la Biélorussie et l’Ukraine, et formant une « industrie » très rentable.

Il est vrai que les acteurs type Microsoft, AWS, Apple et Google emploient plus de 20 000 personnes dans le domaine de la sécurité numérique car ils connaissent bien les enjeux et l’impact potentiel sur leurs clients. L’Europe – quant à elle – n’ayant pas été autant attaquée, n’a malheureusement pas encore investi les moyens nécessaires pour faire face à ce type de menaces, et se trouve donc en situation de grande vulnérabilité.
Avec de plus en plus de gens connectés à un ordinateur, un téléphone ou une tablette, les pirates peuvent multiplier les tentatives d’infections pour soutirer de l’argent et des données personnelles.

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Vers une stratégie nationale


Consciente des risques grandissants – et afin de mettre en place une stratégie nationale pour la cybersécurité – l’État s’est récemment engagé à investir jusqu’à 20 millions d’euros pour cofinancer (à hauteur de 50 % maximum) au moins trois projets destinés à accentuer notamment la cybersécurité des collectivités territoriales, des établissements de santé et des infrastructures portuaires.

Il était temps !
Car le nombre d’attaques a fortement augmenté ces dernières années… Et particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19 et des périodes de confinement – celles-ci ayant accéléré l’interconnexion des vies privées et professionnelles des individus, et ainsi fait croître le risque de compromission des données des entreprises et des organismes publics. Pour exemple, en 2020, pas moins de 159 collectivités locales ont officiellement été victimes de cyberattaques – soit une hausse de 50 % par rapport à 2019. Et plus récemment, plusieurs mairies, mais aussi des hôpitaux ont été victimes d’attaques en ligne. Selon le FBI, la France serait même le huitième pays le plus touché au niveau mondial…

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Des acteurs essentiels


C’est un fait, les entités publiques et privées peuvent renforcer leur cybersécurité un minimum en suivant un processus simple : sensibiliser le personnel sur les risques d’attaques cyber, renforcer les mots de passe et effectuer les mises à jour de sécurité.
Au-delà de ces mesures de prévention, certains acteurs majeurs du domaine, type FireEye, CheckPoint, Cisco et autres, sont des valeurs sûres dans le développement et la gestion de la cybersécurité.

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CISCO – Date de création : 1984 – NASDAQ

Cisco Systems est une entreprise informatique américaine spécialisée, à l’origine, dans le matériel réseau (routeurs et commutateurs ethernet), et depuis 2009 dans les serveurs.
L’entreprise n’est pas exclusivement spécialisée dans la cybersécurité, elle propose parallèlement d’autres produits et services informatiques, mais un futur brillant l’attend dans le domaine de la cybersécurité.
Le portefeuille varié de produits et services informatiques de Cisco lui confère un immense avantage sur les entreprises qui travaillent uniquement dans ce domaine.
Outre sa stabilité financière, voici deux arguments qui donnent de bonnes perspectives à l’action :
– La première est que Cisco a racheté en février 2020 l’équipementier australien Exablaze, spécialisé dans la fabrication des périphériques réseau.
– La seconde raison d’un tel optimisme vis-à-vis de cette action est le lancement de la puce Silicone One par Cisco en décembre 2019. Selon Cisco, cette puce est déjà utilisée par des géants de l’informatique, tels que Facebook et Microsoft.
La puce permet aux entreprises de s’améliorer considérablement en matière de gestion des données.

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CHECK POINT SOFTWARE (CHKP) – Date de création : 1993 – NASDAQ

Cette entreprise de tech israélienne cotée au NASDAQ fournit des logiciels et du matériel de cybersécurité. Son revenu annuel de plus de 1 milliard de dollars fait de Check Point l’une des actions les plus prometteuses du secteur de la cybersécurité en 2020.
Les lancements de produits et les rachats de l’entreprise ont stimulé la réussite de Check Point ces dernières années.
Cela lui offre une place de choix au sein d’un marché qui continue de croître à toute allure.
Protego, une entreprise de cybersécurité sans serveur, fait partie de ses rachats les plus importants.
Les différents rachats ont aidé Check Point à sortir des solutions et services de cybersécurité de haute qualité, ce qui l’a poussée à continuer sur sa lancée.

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FIREEYE (FEYE) – Date de création : 2004 – NASDAQ

Située en Californie, cette entreprise fondée il y a 15 ans propose des logiciels et du matériel de cybersécurité. Ses produits et services aident ses clients à analyser les risques liés à l’informatique et à se protéger contre les logiciels malveillants.
Grâce à ses produits et services, ses rachats et ses partenariats, FireEye fait partie des meilleures actions en matière de cybersécurité sur le marché.
En 2013, FireEye a racheté Mandiant. Cette importante opération lui a permis de donner à ses clients la possibilité de repérer des violations de sécurité et d’accroître ses ventes.
Ses produits cloud ont été lancées en 2019 sur Amazon Web Services et joueront un rôle dans l’augmentation des revenus de FireEye.

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Nos propositions

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Bonne lecture et à bientôt !


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L’équipe EAVEST

La situation économique et notamment la crainte que le plan de relance américain n’entraîne une vague d’inflation ont engendré une hausse des taux d’intérêts sur les marchés financiers. Les investisseurs exigent en effet des rendements plus importants pour faire face au risque de dérapage des prix à la consommation.

Ce mouvement s’est propagé en Europe, semant quelques troubles sur les marchés, avec une ampleur toutefois bien moindre puisque les taux restent très bas voire négatifs.
 

Quelques chiffres :

La remontée des taux d’intérêt à long terme amorcée cet été s’est donc considérablement accélérée ces dernières semaines c’est un fait. Ainsi aux Etats-Unis, le rendement du bon du Trésor américain à 10 ans a pris plus de 40 points de base (1 point de base = 0,01 %) depuis le début de l’année. 

(Données du 24/02/21)

En Allemagne et en France, les taux à 10 ans sont remontés de plus de 20 points de base. Les taux allemands de référence à 10 ans, eux, sont toujours négatifs à -0,35 %, mais à très long terme (30 ans), ils sont redevenus positifs.

(Données du 24/02/21)


Dans les faits :

La crainte se situe principalement au niveau des Etats et des entreprises avec un endettement très élevé, puisqu’en effet une remontée trop rapide des taux pourrait avoir un effet fortement déstabilisateur et entraîner des ajustements de positions assez brutaux. Cet impact se situerait donc également sur la nouvelle dette ainsi que sur les anciens emprunts refinancés.

Pour ce qui est des autres sujets de préoccupation, la hausse des taux étant essentiellement due à la remontée des anticipations d’inflation, le risque est davantage celui d’un épisode de correction temporaire que celui d’un véritable krach obligataire à court terme. Et à moyen terme, que l’inflation soit simplement plus élevée qu’aujourd’hui – les banques centrales étant là à coup sûr pour endiguer la hausse s’il y avait une progression trop brutale.

Partant de ces éléments, il est à envisager que les taux bas sont là pour longtemps – d’autant que la BCE comme la Réserve Fédérale américaine continuent à racheter les obligations d’Etat sur les marchés et contrôlent donc – en partie au moins – les taux d’intérêt.

A noter également ces indicateurs qui confortent la tendance : les inégalités persistantes et le vieillissement de la population mondiale qui poussent l’épargne à la hausse alors que la moindre importance de l’industrie tire les investissements à la baisse.
Il est même à envisager que si ce phénomène était appelé à durer, cela pourrait impliquer que même une dette élevée pourrait être compatible avec un déficit primaire.
Aussi, si les taux d’intérêt remontaient parce que les investisseurs pensent que la croissance – et donc aussi l’inflation – va grimper, alors cela pourrait bien être paradoxalement une bonne nouvelle pour la soutenabilité de la dette publique.

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Notre proposition :

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* Le produit est exposé à la dette subordonnée Generali

** Le produit est rappelé par anticipation dès que la somme des coupons touchés  (coupons garantis inclus) est égale à 4.90%

CMS = Constant Maturity Swap

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L’équipe EAVEST

Vous accompagner et faciliter vos échanges avec vos clients, c’est aussi ça notre métier !

Pour rappel, EAVEST met à votre disposition une base de données de plus de 2000 produits structurés, vous pouvez suivre au quotidien leurs caractéristiques, analyses graphiques et même avoir accès à notre base documentaire…


Notre objectif : rendre votre gestion la plus simple et la plus efficace possible !


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L’équipe EAVEST

Valérie Plagnol intervient une nouvel fois pour Eavest

Le repli de l’activité au quatrième trimestre de 2020, du fait du deuxième confinement, puis du couvre-feu, s’est avéré moins marqué qu’anticipé (-1,3%, après +18,5% au 3ème trimestre), portant la récession pour l’ensemble de l’année à -8,3% par rapport à 2019 (contre 9% initialement anticipés). Dans sa première estimation, l’INSEE note que le confinement, moins strict de fin d’année, a fait la différence : le PIB se contracte de 5% au 4ème trimestre par rapport au 4ème trimestre 2019, alors que la contraction annuelle du Printemps avait été de -18,8%, par rapport à la même période de l’année précédente.


En 2020, la production de biens s’est contractée de 11,2%, la construction a baissé de 13,2%, l’activité des services marchands s’est repliée de 8,2%, celle des services non marchands de 3,1%. La consommation des ménages a baissé de 7,1% (après+1,5% en 2019), l’investissement recule de 9,8% en 2020, contre +4,3% en 2019), le commerce extérieur est en baisse de 1,5% après -0,3% en 2019.

Ces données annuelles, ne rendent pas tout à fait compte des tendances trimestrielles, qui ont été extraordinairement bousculées. Comme le montre le graphique ci-dessus – par rapport à l’année précédente – l’effondrement de l’activité, particulièrement marqué au cours du 1er confinement, a en partie été compensé par le formidable rebond de l’été. Le PIB a reculé de 5,9% puis 13,6% au premier et deuxième trimestre (par rapport au trimestre précédent). La reprise de l’activité au 3ème trimestre a été de 13,6%, pour se contracter de 1,35% en fin d’année (en glissement trimestriel). Au total l’économie française s’est affaiblie de 5% par rapport à 2019.
En fin d’année, la consommation des ménages a souffert de la fermeture de nombreux commerces, les produits finis et les services étant les plus touchés, tandis que la consommation de denrées alimentaires se maintenait. L’investissement, qui s’était redressé dès l’été, a continué de progresser en fin d’année (+2,4% en T4 après +18,2% en T3), grâce notamment à l’immobilier.

2021, au bout du vaccin, la reprise…


En France comme chez la plupart de ses partenaires économiques, le rebond de l’activité reste conditionné à la baisse des contaminations. La vitesse de déploiement des vaccins devient donc l’enjeu crucial de ce début d’année. En attendant, la persistance de la pandémie et des mesures restrictives d’activité, les perspectives de rebond de l’activité pour 2021 ont été revues en baisse. La Banque de France table désormais sur une croissance totale de 5% cette année (contre plus de 6% précédemment). L’indice de confiance des directeurs d’achats (ci-dessous) marque le pas dans les services, qui signalent toujours une contraction de l’activité dans ce secteur. En revanche, on peut noter que la production industrielle résiste et continue de progresser, une tendance que l’on retrouve dans les indicateurs mondiaux.

Comme pour d’autres pays, et comme le montre le graphique ci-dessous, les services ont été particulièrement touchés en France – le tourisme représente 8% du PIB – tandis que le secteur manufacturier résistait mieux – à l’exception de l’aéronautique.


Les mesures budgétaires mises en œuvre ont permis de préserver en grande partie les revenus des ménages : le revenu disponible brut des ménages aurait progressé de 0,5% sur les trois premiers trimestres de l’année 2020, soit un pouvoir d’achat stable. Cette moyenne de rend pas tout à fait compte des disparités de revenus, les quintiles les plus modestes ayant vu leurs revenus baisser, comme certaines professions indépendantes directement touchées par l’arrêt de leurs activités.


Au total les ménages ont accumulé une importante épargne (le surplus est estimé par la Banque de France à 130 milliards d’euros pour 2020), une tendance qui pourrait se poursuivre cette année (bien que dans une moindre mesure). Du côté des entreprises, le taux de marge s’établit en moyenne à 28,8% sur les trois premiers trimestres de l’année passée, contre 33,2 en 2019. Sans surprise, les taux d’épargne et d’autofinancement ont reculé, tandis que l’endettement a progressé grâce notamment à la mise en place des PGE (prêts garantis par l’Etat).


Ainsi, en 2020 le déficit public français s’est envolé à 178 milliards d’euros contre 93 milliards initialement prévus, ce qui le portera à 10,2% du PIB et la dette à 116,4% (contre 3% et 98,1% respectivement en 2019). L’Etat a joué un rôle majeur dans l’absorption du choc provoqué par la « mise sous cloche » de l’économie. La prolongation des mesures d’urgence et de soutien économique aux secteurs encore à l’arrêt, laisse présager du maintien d’un déficit public au-delà de 6% du PIB cette année (graphique ci-dessous), compensé seulement par les effets de la reprise de l’activité. Dans ce contexte, et nonobstant les financements attendus du plan de relance européen (40 milliards d’euros), la France reporte au-delà de 2022 la normalisation budgétaire que les marchés pourraient commencer à lui réclamer.

Plusieurs interrogations demeurent pour cette année : comme le montre le graphique ci-dessous, les faillites des petites et moyennes entreprises ont fortement reculé en 2020, ce qui ne cadre pas avec l’état de la conjoncture et laisse augurer de défaillances à venir au moment de la reprise de l’activité et du retrait des aides publiques. Ceci fait craindre une augmentation supplémentaire du chômage – notamment dans les secteurs des services et des emplois les plus précaires. Ces tendances sont propices à un maintien de l’épargne à des niveaux supérieurs à ce qu’ils étaient en 2019 (actuellement autour de 20% contre 14,9% fin 2019).

2021, le pivot asiatique

Au total, et comme le souligne le FMI dans sa dernière note, l’économie française a particulièrement souffert de la pandémie (graphique ci-dessous). Cependant, et comme l’a montré la reprise au cours de l’été, une fois libérées, les forces vives sont en capacité de produire et de rebondir. Soulignons-le, le choc actuel, n’est comparable ni à une crise économique classique, telle celle de 2008 ou de 1929 (pas d’effondrement durable de l’activité à la suite de l’éclatement d’une bulle de la dette), ni à une guerre (pas de destruction du capital). Elle en revêt néanmoins certains traits : dans le premier cas, le choc extérieur est tel qu’il pourrait se transformer en crise économique et financière, ce que craignaient les Banques Centrales et les Etats, qui sont intervenus massivement pour contrebalancer les effets des confinements. Dans le second, la pandémie et le confinement marquent l’accélération de tendances déjà à l’œuvre – digitalisation, robotisation, réorganisation des chaînes de valeur, avec ou sans guerre commerciale à la clé.

Rappelons également que la pandémie de la Covid-19 a frappé nos économies en « bout de course » d’un cycle de reprise certes modeste, mais particulièrement long, et qui marquait déjà le pas depuis 2018.
Le monde a été soumis à un choc d’offre et de demande quasiment synchrone. Le redressement rapide de la Chine, la reprise de l’activité autour du bassin Pacifique, ont accentué les tendances déjà en place qui voient le monde pivoter vers l’Asie. La signature en fin d’année dernière d’un vaste accord commercial dit RCEP[1], réunissant l’ASEAN, la Chine, le Japon, la Corée du Sud, l’Australie et la Nouvelle Zélande, constitue une zone économique qui représente 30% de la population et du commerce mondial, et ¼ de son PIB.

Pour l’ensemble du monde, le FMI dans sa publication de janvier, table toujours sur un rebond marqué de la croissance mondiale en 2021. Notre tableau de prévisions rend compte de ces perspectives. Celles-ci sont légèrement inférieures aux prévisions du Fonds, car nous prenons en compte les obstacles du début d’année qui risquent de peser sur les prochains mois et reportent encore la reprise, alors que l’immunité collective pourrait être atteinte en fin d’année seulement (et non à l’été) en Europe.


Dans l’ensemble, les perspectives pour 2021, se fondent sur un rebond d’autant plus marqué – et supérieur aux potentiels – qu’ils se compareront aux effondrements de 2020 (amplification de l’effet de base). Ces comparaisons annuelles risquent d’amplifier, sinon déformer, la perception de la reprise, dans la plupart des pays. Il n’est pas certain que tous les pays auront retrouvé leur niveau d’activité d’avant-crise d’ici la fin de l’année. Les secteurs tels que l’aviation civile, ou encore le tourisme ne prévoit de « retour à la normale » que pour 2023 voire 2024.


Notons les points suivants :

– Les scénarios économiques reposent tous sur une maîtrise largement acquise et générale de la pandémie d’ici la fin de l’année.

– Si le choc initial a été quasiment simultané, la récession est d’intensité diverse suivant les pays, et l’Europe a été particulièrement touchée. De plus, elle a accéléré le creusement des inégalités, touchant plus particulièrement les emplois précaires, les services – où le travail féminin est majoritaire – et a renvoyé des centaines de millions de personnes dans l’extrême pauvreté dans les pays émergents.

– La reprise pourrait s’avérer plus erratique et dispersée, et provoquer des tensions sociales et politiques dans certaines régions. – La Chine pourrait avoir retrouvé son niveau d’avant-crise dès cette année. Les Etats-Unis, malgré un bilan humain extrêmement lourd, ont bénéficié d’un plan de soutien important au printemps, puis d’un second plan d’aide à la toute fin de l’année, qui ont permis de limiter la crise, tandis que l’activité industrielle restait vigoureuse. Le Président Joe Biden entend faire adopter un nouveau plan de soutien de 1900 milliards de dollars. Même réduit, il est largement dirigé vers les ménages, et devrait soutenir la consommation au printemps et à l’été.


– Mais surtout l’investissement des entreprises et la production ont bénéficié des baisses de stocks et du rebond de la demande pour les biens de consommation et de l’accélération de la transformation vers la voiture électrique (graphique ci-dessous).


– Le pivot asiatique se confirme, contribution de la Chine et de l’Asie à la croissance mondiale dépasse les 2/3 de la croissance globale.


– Les tensions commerciales entre la Chine et les Etats-Unis devraient se poursuivre, voire s’intensifier, l’Administration Biden par la voix de sa nouvelle Secrétaire d’Etat au Trésor, Janet Yellen ayant directement mis en cause les pratiques commerciales de l’Empire du Milieu et les violations des droits humains. En réponse, le Président Xi Jinping a évoqué le risque d’une « nouvelle guerre froide », et la partition du monde technologique et commercial. L’Amérique, qui entend renouer avec ses alliés traditionnels en serait le fer de lance.


– La reprise et la forte demande de produits spécifiques tels que les microprocesseurs, créent des tensions sur les prix des matières premières comme de certaines fournitures. La recomposition des chaînes de valeurs pourrait accroître ces tensions.


– Faut-il pour autant craindre le retour de l’inflation ? Les Banques Centrales, considèrent qu’en l’état actuel, ces tensions seraient temporaires au regard de l’écart négatif entre croissance constatée et la croissance potentielle. Aussi, s’engagent-elles à maintenir des politiques monétaires très accommodantes pour cette année.


– A mesure que l’activité repart, les Etats – notamment en Europe – devraient réduire progressivement leurs mesures économiques de soutien. L’Europe a décidé et commencera à répartir entre ses membres, les 750 milliards d’euros du plan de relance économique qui doit accompagner les efforts de redressement et de transition de l’économie en faveur du climat.


– La France, qui a rejoint le « club » des pays endettés au-delà des 100% du PIB, bénéficie toujours de taux d’intérêt d’emprunt négatifs. Le poids de la dette sans envisager de réductions progressives des dépenses ne sera pas stabilisé à court terme.

Valérie Plagnol X EAVEST

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L’équipe EAVEST

Bonjour,

Après un mois de Janvier particulièrement négatif, le mois de Février en est le contraire parfait. Le marché est en hausse ce mois-ci grâce à l’accélération de la vaccination et au plan de relance économique aux Etats-Unis. Ces indices reflètent la reprise économique espérée dans les prochains mois.

En outre, la saison des résultats des entreprises se poursuit avec de bonnes surprises des deux côtés de l’Atlantique ; aux États-Unis, le secteur de la technologie se distingue, démontrant ainsi la capacité d’adaptation à cette crise sanitaire. Le mois de mars a démarré fortement avec une hausse immédiate de la grande majorité des indices.

Résultat du mois de Février, un CAC 40 à 5 703.22 au 26/02/2021 soit une hausse sur le mois de +5.63% ! Ce qui permet de rattraper un début d’année compliqué (cf. performances Janvier 2021)

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en hausse avec une moyenne mensuelle des performances de + 3.79% !

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle positive + 4.37% ! Notamment avec l’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% qui connait une hausse de + 16.46% !

Nous avons ajouté à notre liste de suivi deux nouveaux indices thématiques de Morgan Stanley :

L’indice Solactive Top 50 France Germany Benelux EW 5% composé des 20 plus grandes capitalisations Françaises, des 20 plus grandes capitalisations Allemandes et les 10 plus grandes capitalisations du Benelux. (A noter : ABinBev, Adidas, Heineken, Total, AXA…).

L’indice iStoxx Global Fintech 30 NR Decrement 5% EUR composé des 30 plus grandes capitalisations du secteur fintech (A noter : PayPal, Visa, Mastercard, Moody’s, Nasdaq, S&P Global…).

Les indices ISR sont également en hausse sur la période de Février avec une moyenne des performances de +3.01% !

La période de Février a donc connu une forte hausse sur l’ensemble des indices et la situation est prometteuse pour les mois à venir.

Retrouvez chaque mois l’évolution de tous les indices sur le blog EAVEST.

Nous sommes à votre disposition pour aller plus loin dans l’analyse de ces sous-jacents et vous accompagner dans la création de produits sur mesure !

L’équipe EAVEST

 


Les indices ici évoqués sont purement systématiques, sans aucune contribution discrétionnaire d’aucunes parties.

Les règles des indices sont accessibles au public.


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STOXX et ses Concédants ne soutiennent, ne garantissent, ne vendent ni ne promeuvent en aucune façon les valeurs ou les titres financiers ou les options ou toute autre appellation technique basées sur les Indices et déclinent toute responsabilité liée au négoce des produits ou services basés sur les Indices.

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Euronext Paris S.A. détient tous droits de propriété relatifs à l’Indice. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne se portent garantes, n’approuvent, ou ne sont concernées en aucune manière par l’émission et l’offre de produit. Euronext Paris S.A., ainsi que toute filiale directe ou indirecte, ne seront pas tenues responsables vis-à-vis des tiers en cas d’inexactitude des données sur lesquelles est basé l’Indice, de faute, d’erreur ou d’omission concernant le calcul ou la diffusion de l’Indice, ou au titre de son utilisation dans le cadre d’une émission et d’une offre. L’Indice est accessible sur le site d’Euronext (www.euronext.com), ainsi que sur différents sites d’informations financières. « CAC 40® » et « CAC® » sont des marques déposées par Euronext Paris SA, filiale d’Euronext N.V.

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Bonjour,

Le premier mois de l’année 2021 revire en territoire négatif après un mois de décembre 2020 avec des indices en hausse. Le marché parisien a laissé la place au doute à l’idée d’un potentiel re confinement. La nervosité du marché reste palpable due à l’incertitude des mesures que le gouvernement prendra au cours du mois de février.

La volatilité du marché est restée stable au cours du mois janvier avec un pic en fin de mois. Cela est dû à la guerre qui fait rage entre particuliers et hedge funds. A l’origine de cette progression, des groupes de boursicoteurs individuels. En se retrouvant sur des forums pour échanger des idées ou des revendications, ils sont parvenus à faire envoler le cours de l’action Gamestop et faire de l’ombre à certains hedge funds.

Résultat du mois de janvier, un CAC 40 à 5 399.21 points au 29/01/2021 soit une baisse sur le mois de -2.74%

Parmi les indices sponsorisés, toutes les valeurs sont en baisse avec une moyenne mensuelle des performances de -2.39%.

La catégorie des indices sponsorisés « thématiques » affiche une performance moyenne mensuelle négative (-1.21%).

Nous avons ajouté à notre liste de suivi 4 nouveaux indices thématiques de BNP Paribas :

L’indice Solactive Home Staying Technologies 2020 AR 5% composé des dix entreprises leader mondiales du secteur de la tech et du divertissement (A noter : Amazon, Facebook, Netflix, Twitter, Alphabet, Alibaba …). L’indice est en hausse de +45.09% sur l’année 2020.

L’indice Solactive Europe & US Top Banks 2020 5% composé des 10 plus grandes banques américaines et européennes (A noter : Bank of America, Citi Group, JP Morgan, UBS, BNP…). L’indice abandonne -1.31% sur le mois de janvier.

L’indice Solactive Europe & US Top Pharmaceuticals 2020 AR 5% composé des dix plus grandes entreprises américaines et européennes du secteur de la santé. (A noter : Astra Zeneca, Johnson & Johnson, Novartis, Pfizer, Sanofi …). L’indice est en baisse de -0.39% sur le premier mois de l’année.

L’indice Nasdaq Yewno Global Innovative composé des 100 plus grandes entreprises leader mondiales du secteur de l’innovation techno. Il s’agit du seul indice en hausse sur le mois de Janvier avec une performance de +0.81%.

Les indices ISR sont également en baisse sur la période du premier mois de l’année avec moyenne des performances de -2.02%

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A peine élu, Joe Biden a annoncé qu’il ne comptait pas revenir pour le moment sur les termes de l’accord signé par son prédécesseur avec la Chine.

Il est établi qu’à ce moment critique où le monde est aux prises avec une crise sanitaire mondiale – dont les retombées économiques se font et se feront durement sentir – il est plutôt de bon augure de ménager les relations sino-américaines, voire que chacun revoit sérieusement sa copie !

Durant son mandat, l’administration Trump aura fait de son mieux pour anéantir les relations bilatérales des deux plus grandes puissances du monde. Il était donc temps qu’une nouvelle équipe vole au secours de ces dernières pour tenter de désamorcer les tensions – même si une baisse des droits de douanes n’est pas encore à l’ordre du jour…

La nouvelle donne

Partout à travers le monde, le volume des investissements s’effondre – partout sauf en Chine et en Inde. En effet, ces deux pays ont enregistré une hausse des investissements étrangers sur leurs territoires respectifs en 2020. Et ce sont surtout les industries de haute technologie et le secteur des produits pharmaceutiques qui ont attiré les fonds.

Parallèlement à cela, de nombreuses sociétés se sont positionnées pour profiter des liquidités abondantes, de valorisations élevées et / ou prendre leur distance avec Wall Street.

De fait, les actions technologiques se sont envolées à la Bourse de Hong Kong, tirées notamment par l’action Tencent.
La tech Chinoise se rue donc en Bourse et certains leaders cherchent là-même à lever des fonds pour financer leur expansion sur d’autres marchés asiatiques.

Et avec le projet de loi voté par le Congrès Américain en décembre dernier bloquant l’accès à la Bourse américaine pour les entreprises chinoises peu transparentes sur leurs audits financiers – puis les annonces de la Bourse de New York sur son intention de retirer de la cote les trois géants chinois des télécoms (China Mobile, China Telecom et China Unicom) – la place de Hong-Kong profite maintenant d’une situation propice à son évolution.

Pour preuve, les Bourses de Chine continentale (Shanghai et Shenzhen) et de Hong Kong ont connu en 2020 leur meilleure année depuis dix ans en termes d’introduction en Bourse, levant au total 119 milliards de dollars, soit environ 45 % du total mondial.

Les autorités de Pékin – qui cherchaient depuis longtemps à garder en Chine ses pépites technologiques – se réjouissent de cette opportunité.

L’inévitable compromis

Le deal commercial Chine – US – qui était déjà jugé totalement irréaliste avant même que la pandémie ne vienne pénaliser fortement les flux commerciaux – n’a bien entendu pas tenu ses promesses.

Cependant, l’administration de Biden devrait revoir la qualité de ses relations avec la Chine.

Historiquement, les deux parties avaient décidé dans les années 1970 de reconnaître et de respecter leurs systèmes politiques et sociaux respectifs, et, malgré leurs différences, elles avaient adopté une attitude faite de compréhension mutuelle et cherché à élargir leur terrain d’entente – que ce soit sur la scène politique ou économique.

Il est indéniable que la coopération mutuellement avantageuse au fil des ans a véritablement servi leurs intérêts et ceux de leurs peuples – et même s’il n’est pas aisé de gérer les enjeux de la concurrence, la responsabilité et les intérêts nombreux de part et d’autre appellent à la restauration d’une collaboration serrée.

Face à cette pandémie dévastatrice de la Covid-19 (et des potentiels coronavirus qui pourraient voir le jour dans les temps à venir), aux terribles difficultés économiques au niveau international, et à l’aggravation du changement climatique, les deux plus grandes économies du monde ont aujourd’hui – plus que jamais – tout intérêt à se remettre en rang face à l’avenir !

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La crise économique liée à la pandémie de Covid-19 n’a rien à voir avec la grande crise financière de 2008 et les études montrent que le retour à un niveau de PIB pré-crise devrait être beaucoup plus rapide.

En effet, aux États-Unis, il aura fallu 13 trimestres pour que le PIB retrouve son niveau d’avant choc lors de la grande crise financière de 2008 et on estime qu’il en faudrait seulement 4 aujourd’hui pour qu’il retrouve son niveau du quatrième trimestre 2019. Et concernant la zone euro, il en faudrait 9 contre 22 précédemment.

En 2020, le choc de consommation a donc été extrêmement brutal à cause des fermetures administratives et des restrictions aux frontières, et le secteur des services a été le plus touché. Cependant, les exportations mondiales de biens ont plutôt bien résisté, principalement grâce au rebond des ventes chinoises et d’Amérique latine.

Avec le soutien des plans de relance massifs et selon les perspectives, un redémarrage rapide en Asie et aux États-Unis est donc à envisager.

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Vers un regain d’activité du commerce

Le commerce a été beaucoup plus résilient qu’anticipé, et contrairement à 2008, la chute d’activité n’a pas été synchronisée à travers le monde mais a plutôt suivi la pandémie de Covid-19. L’Asie a alors été la première touchée, ensuite l’Europe, les États-Unis et l’Amérique latine. La chute des échanges de biens mondiaux a été plus brutale qu’en 2008, cependant le rebond apparaît comme plus rapide – d’autant que la forte réactivité des banques centrales a permis d’éviter un effondrement des financements à l’exportation.

La généralisation du port du masque, l’application des règles d’hygiène et le lancement de la campagne internationale de vaccination devraient également soutenir la reprise de la consommation au niveau mondial.

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Un changement d’ère monétaire et des effets durables

L’arrêt de pans entiers de l’activité économique a engendré un recul historique de l’inflation, par conséquent les taux d’intérêt de court terme devraient rester bas pour quelques temps.

Aux Etats-Unis, les anticipations d’inflation ont déjà engagé un mouvement à la hausse… aussi l’inflation tant attendue pourrait, cette fois-ci, bien accélérer !

Mais ces modèles d’épidémie invitent à appréhender des conséquences majeures sur le long terme : changements de comportement des consommateurs, diminution de l’offre de travail, modification de la notation relative des pays. Des modifications structurelles en découleront et il conviendra de s’y adapter.

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Des impacts sectoriels et des effets sur la dette publique

Les fermetures administratives et le confinement ont touché plus particulièrement les secteurs du loisir, de la culture et des voyages.

Toutefois, la diffusion généralisée d’un vaccin efficace permettrait une reprise de ces activités sur le moyen-terme. Le développement du télétravail et des échanges virtuels a mis sous tension les infrastructures informatiques et les entreprises ont donc investi dans ces domaines – ce qui devrait par ailleurs engendrer un accroissement de la productivité.

Malgré les plans de relance massifs des gouvernements, les mesures de confinement et de restrictions aux frontières ont entraîné une chute du PIB, aussi le ratio de la dette publique et du PIB a augmenté significativement. Toutefois, une fois les mesures restrictives levées, la rapidité du rebond devrait être de nature à limiter la progression de ce ratio. Le stock de dettes – même conséquent – pourra donc être refinancé à maturité si besoin.

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Et le Brexit dans tout ça


La crise économique liée à la pandémie de Covid-19 n’a rien à voir avec la grande crise financière de 2008 et les études montrent que le retour à un niveau de PIB pré-crise devrait être beaucoup plus rapide.

En effet, aux États-Unis, il aura fallu 13 trimestres pour que le PIB retrouve son niveau d’avant choc lors de la grande crise financière de 2008 et on estime qu’il en faudrait seulement 4 aujourd’hui pour qu’il retrouve son niveau du quatrième trimestre 2019. Et concernant la zone euro, il en faudrait 9 contre 22 précédemment.

En 2020, le choc de consommation a donc été extrêmement brutal à cause des fermetures administratives et des restrictions aux frontières, et le secteur des services a été le plus touché. Cependant, les exportations mondiales de biens ont plutôt bien résisté, principalement grâce au rebond des ventes chinoises et d’Amérique latine.
Avec le soutien des plans de relance massifs et selon les perspectives, un redémarrage rapide en Asie et aux États-Unis est donc à envisager.

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